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Cent 10

 

 

HARCELES PAR LA DESESPERANCE...

 

 

 

 

Commentaires

  • une petite larme?

  • Vous qui entrez, laissez tout désespoir.
    (Lautreamont)

  • "X" > Merci... cela fait dix syllabes aussi, comme une consigne - que je me suis donnée ici et pour un temps (dans "Cent"). Merci de ce que je reçois ici comme une simple fleur, sa tige longue et son parfum délicat.

  • harcelé par l'espérance, voilà la désespérance...

  • Ouïe ! Dehors-dedans (DD)... c'est exactement ça, et je n'y avais pas pensé (...aux deux huit)... parce que ça fait trop mal - sans doute.

    Le tout serait justement pour moi aujourd'hui de savoir estimer le temps d'une douleur - de celles qui durent... - et sa siginification du moment, et puis ce qu'elle implique, et quelle action mener, ou bien à quelle inaction nous tenir - face à son état, et caetera.

    Ce que je veux dire, c'est également mon souhait de comprendre ce qui - depuis Charles Péguy, a bien pu se passer pour l'Espérance. Je me rappelle avoir vu devant moi "casser", par un enseignant - de 6ème... - "l'espoir" (appliqué ?), au profit de l'espérance (ouverte ?).

    Or, je suis vraiment tentée de croire que la confiance aveugle, qu'il nous serait demandé de vivre, contient peut-être un très grave danger, lorsqu'en chaîne / et en scène - les mots eux-mêmes seraient encore en train de perdre de leur valeur (pourquoi/comment ? parce qu'on les aura fait - une fois ? - précéder la pensée ?) : et surtout la vigilance, et la patience (mais d'avantage sur le fond que concernant sa charge de signification).

    Notre langue est un très beau jardin - ne le pensez-vous pas ?

  • Nous décrochons les mots comme nous décrocherions des armes longtemps remisées au clou. Les armes d'une autre guerre.

  • Hum... Serait-ce là la sobriété d'un cri ?

  • I'm afraid, yes...

  • Je peux vous taquiner ? Haïku(s) au pluriel, ce n'est pas Haïkaï ?
    Je vous remercie de votre petit mot chez nous encourageant, vous m'avez aidé à me sentir moins seul au fond de ma tête !

  • Vos mots coulent à flots, les miens goutte à goutte.
    Votre jardin est luxuriant, le mien est désertique.

  • Et ça veut dire quoi, exactement ? (Haïkus)
    Et que pensez-vous du respect du nombre de syllabes (je ne me rappelle plus bien, mais ça se totalise vers 17, non ?) valable en Japonais, mais - en français ?
    Et Haïkaï, ça veut aussi dire quelque chose (supposée) ?

    Je vais méditer votre dernière phrase. Encore.

    Anew... portez-vous bien ! Joruri.

  • DD > Hier, nos mots se sont croisés dans leur envol... et j'ai aimé à les lire dans un songe où demeurer.

    J'ai un peu peur d'entrer dans le mouvement auquel m'invite ici votre image. La pluie ? - avant... après. Le ruisseau ? La rosée ? La sueur...

    En tout cas des mots farcis de cette image forment une vie différente, où la lumière de l'ombre se ressent naturellement.

    Cela qui s'apparente au constat, à l'observation d'un aveu timide - cela, dans son affirmation de... chef d'orchestre...

    Il est encore autre chose derrière le "séchage" des mots, et c'est peut-être ce travail - que vous avez décrit si bien sur votre blog hier - comme étant celui du regard de l'artiste.

    J'aime ainsi votre profondeur.
    Quand à mes mots... si je vous racontais - leur histoire sombre...

    Plus loin que la songerie, le rêve.

  • "Plus loin que la songerie, le rêve."
    Hôte cruel de la songerie, le rêve.

  • Pourquoi, cruel ? Parce qu'il met au défi ?

  • Cruel car il ne promet pas le pain aux ailes du moulin, mais le four.

  • Son et lumière..

  • Vous en dites beaucoup et c'est trop peu...

  • Harcelés... toujours... la désespérance n'a de cesse de harceler... de soumettre... mais, comme dirait Dante, il faut lever la tête vers l'étoile et débarasser ses souliers de la poussière de l'enfer... et puis marcher pleinement...

    Baisers...

    @)>-->--->---

  • DD > j'apprends beaucoup PAR vous... en est-ce la raison ?

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