Un sexe qui pénètre ronge et range édifice d'audace requise à de nouveaux supplices. Mes peurs auront séché son oeil rougi par la brise des cieux, corsettant le dieu sincère que j'étais en colère du dessein des adieux au choc maléfique.
(A mi-parcours, p. 90)
Commentaires
Il est très violent cet extrait, je trouve.
Wyden, j'ai écrit le poème plus long auquel il s'en est référé spontanément, en Juillet de l'année dernière, sans me rendre compte vraiment de ce qui s'y vivait.
J'ai encore un peu de mal à figurer le corset, mais grâce à vous je vois à relecture et me souviens. En fait, s'y trouvent toutes, ou plusieurs des dimensions. La mienne parlait seulement de sécher des larmes en pleurs, par exemple...
Bien amicalement, à vous.
Contondance et remontrance ?
La réalité pourtant... pas toute...
Edulcorée hors-corps et pourtant vécue...
On dit le senti et le sentiment
lèse personne ?
La violence du sexe qui la boit ?
quoi l'évite ?
Poussée de tendresse
Propulsion du respect de soi d'abord
Est-il une objection au regard de l'abjection ?
L'ablation des consciences est la pire castration
qui soit...
Point de vue et de mire
Excusez-nous du peu
qui peut si peu contre la ...
colère...
LES LARMES pendant n'apitoient pas
ELLES excitent...
"L'ablation des consciences est la pire castration
qui soit...".