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La blessure

 

 

L'abus du maître... met à l'envers ce corps.

 

Tu sieds, tu ne sais pas.

Tu dois, ne le dis pas.

 

La blessure est ce qui te sauve d'un nouvel aurevoir.

 

Je sais où dans ton coeur puiser la dime faisant régner l'erreur, dirait-il, magnanime - le maître en foi !

Seul, est un maître nu, cratère de mue sans âge... sevrage de nos rues...

 

 

 

 

 

A la question qui suis-je je répondais comment il servirait de le savoir sans connaître mon nom...

Grande paresse de qui s'en est allé quêter l'Amour...

 

Passer par le plaisir pour accéder à l'être...

Commencer d'écrire un poème à travailler, en traduire les idées maîtresses...

 

 

 

 

 

Plus besoin de coussins, ni de parade, la porte refermée, il cède là où l’appréhension physique masquait la peur plus spirituelle : sa nature…  Embrasse-moi, emmène-moi - embrasse-moi - aux mains sales - écoeurée, l’amour brassé, regard poilu, sourcil félin exorbité de singe, désir moribond -  meurtrière - vague et trépas anguleux blasphémant tes pas... Ne m’oblige pas, mais sauve-toi : ils viendront protéger ton souffle... Il ne voit pas. J’oublie, face à l’amplitude couvrant gêne bourgeoise et vers éjaculés quadrillés des faits mal armés de notre courage des mots malhonnêtes. Ouvrage catin, experte en lendemains de  femmes assorties utérines : paradoxal, amical, oral, peureux, moral - amour au féminin désireux du lien. Plus bas : au romarin épris de repentir : « reviens, reviens, demain… ». Cet amour - au pré des verbes mensongers épargnait le regard sulfureux du seul amoureux combattant l’heure duelle - d’une plainte et sosie - chantant, quand vous parlementiez - riant, quand vous émerveilliez, égoïstement travestie… sa maison faille au plébiscite.  

 

 

 

 

 

Le jour est aujourd'hui celui d'hier...

 

 

 (A mi-parcours, p.7 et 8)

 

 

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