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23/01/2008
D'un seul oubli

- Enfin, tout me parut pyramidal, tant l'arme est aux rebelles ce corps identifié... S'en est allée ta vie, son doigt - qui, sans espèce, orienta notre vie. Ta main, retombée sombre, au seuil d'un seul oubli.
14:30 Publié dans Fille de père | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature, Poésie, Vampirisation