Mon livre se lit dans un plein, à partir du vide - une sorte de roche osseuse - ou mélodie...
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Mon livre se lit dans un plein, à partir du vide - une sorte de roche osseuse - ou mélodie...
"De la poésie au roman se fait le pas unique dont il sera le chemin doux, captif de nos vérités manifestes - Panino, tandis que la vie copie des noblesses éteintes et conduit au passage...".
"De la poésie au roman se fait le pas unique dont il sera le chemin doux...". Cette petite phrase résume une démarche littéraire reproduisant la rumeur du torrent. Si j'éprouve du plaisir à écrire un poème sans trop le travailler, j'aime aussi décrypter les phrases, et ainsi vérifier qu'une forme vitale aura visité le fonds de l'expression intuitive de mon intimité.
Je m’explique : ce que je préfère dans mon travail, en est la prise mesurée du risque. Je me laisse fasciner par les nécessaires rééquilibrages en cherchant la clarté de la source pure, me plaisant à parier que la créativité conduit à restaurer cette antique oeuvre d'art, et donc à justifier de son application...
"...captif de nos vérités manifestes - Panino, tandis que la vie copie des noblesses éteintes et conduit au passage...". Vérité, vie, noblesse et passage. L'écriture a offert d'entrer dans la ronde en demeurant libre d'échapper à son tourbillon. Elle permet de se connecter aux sources souterraines de notre pensée, évitant surtout de se laisser victimiser.
En effet, la libre expression continue de ce qui nous arrive, oblige d'avancer, et de considérer le temps que nous vivons, en fonction de l'endroit dont nous arrivons. L'écriture donne aux mots d'une nouvelle vision la possibilité de s'affranchir de l'inoubliable douleur passée. Avoir recours à l'écriture est peut-être une façon de donner sens à une difficulté de vivre parfois extrême...
De l'un à l'autre se lit comme ce patchwork du passage poétique dont je ne reviens pas, offrant d'y trouver de meilleurs commencements. Vous - les yeux de biseaux - montrez-moi ce chemin, fréquentable : je veux y souffrir les caresses, et conduire - votre peuple, au roi... j'aime avant tout écrire - fichant les contradictions... debout - assise, ou rien derrière - j'ai besoin de faire l'amour. Vous m'avez avertie - que je serais - peut-être, celle dont vous avez besoin - pour consumer, quoi ! - l'ardeur de vos vingt ans ? Ce balbutiement est erreintant : je veux un homme... ouvert... à la parole... des autres... un mec... s'offrant, à - soi ?
Ô mon Amour... des bas de soie qu'on jette
Ô Tourterelle... au ventre lourd
Sois donc tournée !
Vanté l'atour litigieux !
Et velu ton retour !
Ô absence, cadence de ma vengeance !
Tu mentirais son coeur...
Je vomirais le sien...
Et nous vivons quand même ?
Vous osiez l'ombragée : je suis ici dans l'idée seule de plaire : Rebecca Huppe : poète en atmosphère. Robotisée, a traduit juste - dévissant l'esprit - promis d'y faire un axe de vies demeurées un enfer... Aura livré, sans vos pardons - la guerre de drus calices - parfaitement développés. Mesurez, le premier - cet effet - de l'étoffe - parée - pour vous - de son coeur - ouvragé - puisqu'enfin, vous lisez ?
Je pose ma langue - sur un désir de fourche, mon âme - réduite, tandis que, de sa trace - associe, ventre - et sein - coeurs au dos, de ce qui contient, le beau moellon - offert de boire, à l'ongle d'une proie, giflant - la griffe - au visage, de traits - silencieux. J'ai besoin... du pardon.
Because it's you.
Because it's me.
Allez, mon Frère... allons, Grand coeur Sauvage ! Nous partons - tous les deux, au revers de ma page - bénis du seul désir de vous, dont la voix suffit même à mentir à ce fou qui dit de l'anathème - qu'il est - Amour de tout... Lisons des pages écrites, échappons au détroit volage, et quittons ce malheur - étant, toi et moi - nous ?
Because it's you.
Because it's me.
Monsieur mon étranger, je crois que vous lisez dans la faction de mon épaule... et devine un visage aigu, ma main mise à l'écart, votre lecture d'une page froissée du banc des heures timides... Je vous lis ce double couplet dont un rejet fera la porte étroite, et vous continuez la confidence ?
I'm fucking right in love with you...
Je pose ma langue - sur un désir de fourche, mon âme - réduite, tandis que, de sa trace - associe, ventre - et sein - coeurs au dos, de ce qui contient, le beau moellon - offert de boire, à l'ongle d'une proie - giflant, la griffe, au visage, de traits - silencieux. J'ai besoin du pardon...
Vous osiez l'ombragée : je suis ici dans l'idée seule de plaire : Rebecca Huppe : poète en atmosphère. Robotisée, a traduit juste - dévissant l'esprit - promis d'y faire un axe de vies demeurées un enfer... Aura livré, sans vos pardons - la guerre de drus calices - parfaitement développés. Mesurez, le premier - cet effet - de l'étoffe - parée - pour vous - de son coeur - ouvragé, puisqu'enfin vous lisez ?
Ô mon Amour... des bas de soie qu'on jette
Ô Tourterelle... au ventre lourd
Sois donc tournée !
Vanté l'atour litigieux !
Et velu ton retour !
Ô absence, cadence de ma vengeance !
Tu mentirais son coeur...
Je vomirais le sien...
Et nous vivons quand même ?
La huppe fasciée...
De l'un à l'autre se lit comme ce patchwork du passage poétique dont je ne reviens pas, offrant d'y trouver de meilleurs commencements. Vous - les yeux de biseaux - montrez-moi ce chemin, fréquentable : je veux y souffrir les caresses, et conduire - votre peuple au roi... j'aime avant tout écrire - fichant les contradictions... debout - assise, ou rien derrière - j'ai besoin de faire l'amour. Vous m'avez avertie - que je serais, peut-être, celle dont vous avez besoin - pour consumer, quoi ! - l'ardeur de vos vingt ans ? Ce balbutiement est erreintant : je veux un homme... ouvert... à la parole... des autres... un mec... s'offrant, à - soi ?
Voilà ce que l'infidélité rend possible impossible.
Je dis que l'on n'oublie jamais.
Et puis la douceur d'élan chère - préservée.
Nous sommes le propre voyeurisme.
Queue de je m'en fichant des survivances à l'autre.
Base et menton des mots, demeure en fonds...
Il arrive de connaître un avis de l'ordre du sensible... non pas du monde.
Onde au plaisir et le nôtre et le mien qui n'est rien sans la retrouvaille.
Eternité perdue d'un temps des inductions coulant source au savoir.
Et sans vous ? A la question du tort ? Du vrai baiser...
GIOTTO, Saint-Jean l'Evangéliste
Je vous salue Marie,
pleine de place,
le Seigneur est entre nous,
vous êtes bénie dans toute femme,
et je suis avec vous.
Est-ce un homme de Dieu - un homme, ou Dieu - qui ressuscite ?
Am I... really, really, wrong ? Am I... really, really, wrong ? Yes ! Do you really think so ? So, am I...
Je crois en Dieu - manifeste... Votre contact me satisfait. J'étrangle un peu seulement les pages.
FRA ANGELICO
PAOLO UCCELLO
Un flash...