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Trompée

  

Trompée par l'audace d'un coin de cuirasse rime facile et larme lasse dure l'envie... As à l'as dos à dos plus de trace on a monté le train de nuit pièce après pièce progressant dans l'oubli à l'affût d'une saveur de chair élevée fière nature odorifère à l'autre panoplie d'outre Terre... Chaque maille reprise après l'avoir cousue était à s'y méprendre le lien conçu. De l'escorte assez rare faite confiance aveugle ou barbare il ne demeurait rien car un roi immobile projettant son espace déplaçait les mystères du seul univers qui lui serait soumis... promesse vaine et trahie portée du mot maquillé de ses cris.

  

 

 Ne rentre pas qui veut.

 
 
 
Ma voix n’est que prison de bois : je m’accroche à celle... qui n’était pas le roi. Je suis doublée en nos cœurs attendris... par la saveur, du choix. J’ai  besoin... d’un vous étrange conduisant à d’autres touts ! Vous acclamez ma détresse ? - elle est à vous car j’étais sa maîtresse - sans être vous : vous - étiez son ivresse - j’étais son loup, loin de tout - proche après vous. Vous daignerez lire mon adresse - sans atout - et m’enverrez quelques caresses - malgré tout. Vos caresses habilitent les nôtres - enorgueillies d’autres prouesses, sans maladresse. Je ne comprends pas de mots sans tristesse ; défaite au nœud de votre paresse. Je fonds. Je n’ai rien dit rien écrit qui soit bon ; mais j’ai transmis mon savoir émue par ta gloire, et sans baiser. La tendresse aux histoires ventrues rejoint les femmes unies par l’avis d’un miroir : je me tue : pardonne à ma vertu qui attend, que ta mémoire me lâche un « que veux-tu ? », pointu - de publier - enfin... cet objet de mes vertus ?

 

Commentaires

  • A FAREWELL TO ANGELS

    Tout ce que tu as écrit n'était qu'Amour, regret de tes détours, dimension du manque de glamour des Oradours. Ceci servira à d'autres éclats qui souhaiteraient se perdre dans les bois. Dans l'ultime ligne droite, tu retrouveras tes vertus adroites et le sein qui t'accueillera reconnaîtra tes exploits et ta pédagogie des trépas. Tout est utile dans ce monde si futile que les penchants atrabiles seuls noircissent aux épices de Narcisse. Chacun s'esclavagise à son gré dans d'improbables effluves de mort-né, omettant de sentir la liberté de n'être jamais né, la caresse de tendresse du foyer énamouré, l'aurore de clarté de la Paix. Merci de laisser tes fleurs d'oranger à la disposition des élèves du prochain quartier, merci pour le cours de générosité attribué à certains des étudiants qui t'ont croisée et merci pour la reconnaissance tienne qui, même tardive, n'en est que plus resplendissante aux yeux des formes de la poussière.

  • lire ou ne pas lire ne change rien à ce qui doit advenir.
    seule la peur te fait coire le contraire.
    censurer est signe de faiblesse, rien de plus.

  • pays où règne la peur...

  • superbe ... qui resterait de marbre à de tels aveux comme une déclaration ?

    merci
    cat

  • cat l'a trouvé superbe, ce serait dommage de t'en priver, non?

    A FAREWELL TO ANGELS

    Tout ce que tu as écrit n'était qu'Amour, regret de tes détours, dimension du manque de glamour des Oradours. Ceci servira à d'autres éclats qui souhaiteraient se perdre dans les bois. Dans l'ultime ligne droite, tu retrouveras tes vertus adroites et le sein qui t'accueillera reconnaîtra tes exploits et ta pédagogie des trépas. Tout est utile dans ce monde si futile que les penchants atrabiles seuls noircissent aux épices de Narcisse. Chacun s'esclavagise à son gré dans d'improbables effluves de mort-né, omettant de sentir la liberté de n'être jamais né, la caresse de tendresse du foyer énamouré, l'aurore de clarté de la Paix. Merci de laisser tes fleurs d'oranger à la disposition des élèves du prochain quartier, merci pour le cours de générosité attribué à certains des étudiants qui t'ont croisée et merci pour la reconnaissance tienne qui, même tardive, n'en est que plus resplendissante aux yeux des formes de la poussière.

  • et le légendaire sens de l'humour féminin, il n'a plus cours ici?ou est-ce le fait que l'endroit manque d'homme?

  • Tu as raison gmc, mais il faut lui laisser le temps de défaire les noeuds .

  • .,
    tu sais bien que raison ou tort n'ont pas de place dans ces échanges et que gmc n'est qu'un outil, rien de plus.
    tout est déjà écrit depuis fort longtemps, il ne sert à rien d'espérer que le contraire de ce qui doit advenir advienne, ceci n'est techniquement pas possible.

  • merci... Cat. La solitude du masque oblige la position debout.
    A bientôt,

  • AUTO ABUSEE

    Nul ici n'acclame la peur
    Et les prolongements d'erreur

    Tes errances créent des jardins
    Où d'autres sont dans le serein

    Tu les soulages de problèmes
    En portant de vils phénomènes

    C'est là le rôle des déchus
    Concentrer la misère nue

    Pour qu'ailleurs jaillisse du coeur
    L'inverse sous forme majeure

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