TANT DE VOIX QUI CIRCULENT LES DEVOIRS QUI S'ECULENT SECULIERS NOUS DISONS NON A QUI OUI A QUOI LA SOURDINE EST LE FREIN MIS A MA RAISON LE DERNIER QU'IL ME RESTE OUI J'AURAIS OURDI L'UNISSON BALLET D'ETREINTE EMANATION DU CORPS PLAISIR BUCAL ASPIRATION DU SON ORCHESTRE EN VA D'UNE EJACULATION MON EQUILIBRE N'EXISTE PAS JE LE CHERCHE VOUS ETES LA.
SANS nom SANS père !
Rive à thème comptoirs obscènes... La rime à terme est à vous ! Vous vouliez que je vous dise « je t’aime ». Vous étiez saoul, seul devant vous. J’étais votre autel… étant celle qui se trouvait, en face de vous - que je morcelle, à cause de vous - au fond du trou... vous étiez - vous ?
J’ai besoin de m’exprimer d’une façon voilée, ne l’ai-je pas dit ? Il existe un DERNIER…
Combien sommes-nous - à chanter quand on pleure ?
La pâleur est résolution - aux mœurs.
Je ris, de mon lit vide ATTENDU un jour meilleur - entonne l’hymne…
Entendons le crime.
Je n’ai parlé à personne : ni homme, ni femme - mais de mon charme, lorsque l’énergie stagne.
Pourquoi lui, pourquoi l’erreur - pourquoi deux yeux en vie au bagne ?
Il était un mouton - appelé Blason ; la vie du chœur faisait son bonheur... fragile - utile donneur.
Durable, aimable, mais coupable, et encastrable.
Mes yeux couverts suspendaient l’attente de cieux épineux réveillés par l’hypnose...
Je me suis évadée évasée, embrumée - buvant n’importe quoi - afin de m’aliter si près ! - creux, feu de bois... fond de petit bois - à moi.
Commentaires
ALWAYS YOUR CHOICE, DEAR
Ouvre la porte et tu sauras
Le bagne est si tu n'ouvres pas
A chaque instant tu as le choix
Le refus est source de croix
Tu as tout construit de tes mains
Seule la peur est ce chemin
Qui n'est que pure stagnation
En lieu et place d'absolution
Et s'il te plait d'avoir des fers
Vois donc celui qui te digère
COULISSES D'ASPHALTE
Dans le charme de la nuit, les velours perdent leur dimension satinée, ne reste que les parfums de gentiane pour distraire de l'ennui. Un soleil bleu au teint gluant rampe dans les profondeurs abyssales, une lumière boréale s'épanouit derrière une porte sans armature. Les vagues de poudreuse scintillent dans tous les firmaments, les polarités se lassent des tourments rieurs, les contraires seront-ils semblables ou non? Une fiction sinusoïdale regarde d'un air interrogatif un réverbère aux dents sans plomb, un rossignol s'envole dans l'erre d'un aigle aux espaces infinis, qui saurait dire pourquoi les trames dévergondées ont des allures de mulet? Au petit matin, les déjeuners dans l'herbe ont un goût d'anciens aromates, fragrance iodée de sirène aux yeux noirs, pollen féérique de comètes à l'âge canonique.
boire n'importe quoi, amer et doux à la fois, juste comme tentative de s'habiter même quelques temps ... sans voiles !
merci
cat
sans voiles, on ne peut pas dire que ce soit très appropriée comme expression dans le cas présent.
cat > oui, ressembler seulement au pivot décharné.
Merci à toi de me rappeler d'une girouette qu'elle est aussi sympathique (car c'est ici ce que j'ai envie de penser)...
...salut,
une tête auxiliaire ne peut plus faire office de pivot; désolé, c'est une évidence technique...
Une girouette ne s'évade ni ne s'évase ni ne s'embrume , n'indique le vent que rivée à l'axe mobile .
qu'elle emballe... pour un Kdo commun
J'aime tant votre poésie (informée), Simone.
Merci,