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Un feu d'Helvétius

 

Vêtu du bleu d'orange, à votre peau grainée, que je malaxerai humide, étage en transition du mot sauvage, à l'ex voto maussade d'une histoire debout, tendresse aux à côtés, feux vos miroirs à mon salut courtois, ma main soumise à ma jouissance en vous règne là-bas.

La bouche au coeur, vos paroles à moi soufflent de leur voix double l'erreur. Contraint par vos doigts, le feu en loi frigorifiée, fort du songe qui vit en moi, partage déjà scarifié ce nuage d'amour sublimé me laissant dévoré, mais sucé par la goût ambré d'un jour à la vedette aux quatre tours d'éternité.

Combien est lourd celui qui te porte à mon Amour à ce détour d'une rue, je le vois qui t'emporte à cet enfant de suie calibré par l'ennui aux lenteurs océanes, qu'une idole de buis écartèle en quartiers tandis que moi, je me demande à le suivre comment l'adopter.

La course des baisers volés, à son écart chevaleresque, j'entraine ma bride vers sa vague désenclavée, pour un visage à la crinière de ligne d'eau transpercée. Mon âme de silence, sa parole de trame, sa guise de semence à la mienne de lame, au fond, serions-nous flamme ?

Temps éteint du jour ancien, bénédiction des tombes, rape, lape, flèche, lèche, feu du nom d'indigène vertu à l'arbre de couronne une enseigne échancrée de l'arbitre au blasphème qui vient.

Le recueil étanche étouffe la voile éclaircie de leurs angles, ancrage à la plume admirable où je pends immondice effaçant le sable qui servait au vice, oubliant le monde et le fils sans que jamais glisse à ma gorge le collier qui se tisse en calice.

Un sexe qui pénètre ronge et range édifice d'audace requise à de nouveaux supplices. Mes peurs auront séché son oeil rougi par la brise des cieux, corsettant le dieu sincère que j'étais en colère du dessein des adieux au choc maléfique.

Accouplée à mon chemin de trève, sa vie espère en d'autres temps que des mots la révèlent au coeur de mon amant. Je n'ai rien à dire, rien à montrer, ni à aimer, tout à donner.

 

 
    

Je m'interroge à ce paradoxal échange où d'aucuns seront autistes... et ne l'apparaîtront pas.

Je ne comprends, ni ne conçois que d'autres - ou certains... aient à supporter l'héritage de quelque trou dans l'atmosphère - et du langage humain ?

 
Je crois bien que cela est très lourd à porter !




 

Depuis quand l'enfant vivait-il sa nuit ?  Une nuit le jour ? Ce capricieux enfant qui n’attendrissait pas dérobait des anneaux. Ses vœux trop tendres seraient agneaux sacrifiés à l'orifice ouvert des mots factices… Les mots qui ressuscitent - plus jeunes encore ? - légitimes - légaux - nous feraient faire le tour de leur doux hémicycle maintenant  son niveau...  Je ne pourrai porter une charge à l'épaule ayant su exprimer le placenta du sans courage - ignorant la raison à aimer une vie habitée du sens de ton effort vivant de l’intérieur ta douleur crue unique. Ignorait-on seulement l’heure advenue qu’on avait attendue taisant alors l’erreur vécue ? La rencontre de l'homme exilé, blessé, imposé, n’est pas le mensonge d'une parturience à la vérité peu voilée, mais bien souvent l'absence d'une femme qui tut le rêve de la fée frôlant sa médisance...



Commentaires

  • c'est magnifique! j'aimerai bien savoir écrire ainsi…

  • Je vous lis par paliers: je remonte l'avalanche.

  • Yoyostero > ...ainsi que vous, moi aussi. Merci...

    X > je n'y arrive pas.

  • l'enfant n'est pas capricieux, sa mère ne l'est pas non plus, mais ses tantes....

    "La rencontre de l'homme exilé, blessé, imposé, n’est pas le mensonge..."

    rien que le fait de le supposer exilé, blessé, imposé est déjà un mensonge.

  • Moi non plus mg, en vérité.

  • C'est je crois qu'il s'agissait d'une avalanche de livres.

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