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Voyeur

 
Les chemins sont dansants
qui mènent à l'océan...

Voyeur ?

Dépassé le méchant va branlant
les mots et puis la pêche

Voyeur ?

Un grain de beauté pend
revêche...

Voyeur ?

Mes seins sont beaux,
rosée de firmament

Voyeur ?

Dans la flambée des sangs,
des pleurs, et de serments

Voyeur ?

Vous échapper seulement
en écartait la peur

Voyeur ?

Redresser notre erreur !
tel un filet de peurs...

Voyeur ?

Vis ton fait, voyeur, vite on fait, voix ailleurs...

 

 

... à la caisse à tiroirs... et l'embout du mouroir... à l'affût du miroir... encaustique !

 

 

Un corps dit « non » aux rêves de trêve, je pense à vos armées. J’ai peur, écarte un peu les jambes - évertue vingt ans fossoyeurs. Mon squelette est jauni par la foudre, blanchi par la cendre et rougi par l’encens, le magma de pleurs enjambe les corps bannis et j’oublie de prier - auréolée de la jeunesse des anathèmes… Fais chanter l’or désargenté antenne dévolue hautaine à l’encéphale rue… orgasme désordonné… Un chef, blessé au sol, lève sa lourde jambe dans l’axe à la mort harnachée du vent : je marche… Je dirai tout : main de dentelle - tour de main blanc... Je vous assure que je ne suis pas pure telle que vous m’entendez dans vos injures ! Vous avez d’autres leçons à me donner, citoyenne - la manière - à m’enseigner, le fond, la forme  charité. Les femmes ont à leurs formes l’axe que les hommes ont difforme… Mon Amour - à ce fond de haine où tu m’aimes, faisons l’amour… Passants, au Paradis d’enfants bénis. Je veux que tu m’embrasses et me voies et me lies - être à toi plus qu’un lit à l’étroit entre toi et moi. J’avance, adepte des dieux nombreux, quêtant l’ombre farandole.  

Commentaires

  • La traque du lecteur ou quand le poème se retourne contre celui qui le lit
    heureusement pour lui, le triptique rétablit des espaces où la conscience peut se cacher et même mentir un peu utilisant même pour cela l'abondante matière tantôt disponible tantôt rétive ... mais pas trop (sourire)²

  • Le bateleur... merci de ta visite !! je suis un peu sonnée par beaucoup de ces choses... alors, permets-moi : ..."heureusement pour lui"... le "trip" ?
    By the way, j'aime beaucoup ton soyeux italien, ou -anisant.

  • Salut. Un voy... pardon un admirateur...

  • koan > poésif (votre autre blog...) de voyou... votre avis m'importe. Merci beaucoup.

  • Les chemins sont dansants qui mênent à l'océan. J'ai envie (sans vouloir attenter à l'oeuvre originelle) envie de dire : les chemins sont vagues.
    Je crains que mon avis ne vous déçoive, trop peu de culture, de références... Je chope la formule qui me chante à la volée, et je suis content de l'avoir goutée. Ce que je dirais de plus serait ce que je dirais de trop.

  • koan : vagues au sens de "maritimes"... et je suis un peu concernée par vos paroles, Koan, comme par un fait.

    "Ce que je dirais de plus serait ce que je dirais de trop". : moi aussi...

  • Oui, je pensais à maritime. Mais je ne trouve pas bien d'écrire en appui sur l'écriture des autres. Quand vous changez de couleur, cela signifie t'il une rupture de forme, de son et de substance dans le texte ou la survenue d'un texte différent ?
    Ont-ils à vous yeux, si c'est le cas une âme, une trame commune, ou bien les détachez-vous entités disctinctes ? La question m'est posé par la présence d'un seul titre. Et si je vous assome de questions, c'est simple, oubliez les.
    J'ajoute que je ne suis pas partisan de l'esprit scrutateur: je ne mène pas une enquête, je m'enquiers du cheminement de votre travail.

  • ROUTE 66

    D'option en option se promène
    L'acrobate des phénomènes

    Un diadème en pluie de frissons
    Féminité de la passion

    L'Amour au coeur, insatisfaite
    Cherchant encore une alouette

    Un autre fantasme éthéré
    Uniquement pour prolonger

    Un train fantôme dans l'océan
    Pas l'ombre d'un prince charmant

  • Koan, merci. C'est tout à la fois ce que vous dites, et moi - je parle maladroitement "de cran d'arrêt (chez moi, cela signifie la résistance...) en cran d'arrêt" ... ce qui est dire combien je suis parfois "sauvage" - ou d'ailleurs pas.

    Les textes sont réunis. Oui... comme des cours d'eau (pas de place alors pour la solution de continuité ?). C'est aussi de l'artisanat. C'est enfin pour moi un moyen de me construire et de tracer la route à suivre.

    Le titre... vous avez raison de me laisser le temps d'y réfléchir à temps en me le rappelant dans sa globalité. Me permettez-vous de garder le secret de son origine ?
    Amicalement,

  • Vous pouvez gardre le secret sur tout ce que vous voulez Marie G, ce sont vos textes.

  • Mais non ce ne sont plus ses textes . N'est-ce pas son drame ?

  • anonyme >> il me faudrait être plus longue pour répondre à ce "trait" du zig... et du zag - accidenté... je le ferai sans nul doute et sans mettre en scène, plutôt en cause.

    ...soyez alors patient ?

    Par ailleurs, j'ai retenu de ce sens du "secret" partagé avec Koan, le terme alors omniscient d'une seule tradition à transmettre... "culinaire" vous siérait-il, pour l'entendre - anonyme ?

    encore (...et tout jour) anonyme ? Ego trip ?

  • |> C'est donc entre expurger, expier et exprimer que la poésie aurait donc ici à trouver sa place ? Mais dans toute poésie "à l'autre" (M.G. dixit, je crois), n'est-ce point le geste qui déjà est poète ?

  • Oui Varna je le crois mais que devient le geste quand l'autre vient à manquer ?

  • Varna : je vous réponds par e-mail.
    anonyme : merci de votre fidélité.

  • Oui, j'ai déjà pensé (mais pas au pojnt d'y réfléchir) au poême qui devient le bien du lecteur. Et bien je continue à penser qu'il reste aux mains de l'auteur : Manne de sa seule main qu'il peut refermer demain...

  • Ego trip ? ...Dans le meilleur des cas son épreuve et son dépassement ?

  • Je me ferais bien editer chez le cygne aussi, si mon l'editeur où gésit mon manuscrit ne me répond pas...Non mais; j'ai pas le niveau d'accord, mais qui s'en apercevra ?

  • SWAMP DOG

    Dans le marais le demi-dieu
    Va pour expier ses nombreux feux

    De nombreux leurres seront présents
    Pour soumettre le fils du vent

    Des traits de pourpre en oriflamme
    Pas de pitié dans cette lame

    Attendons le retour du preux
    Avec les oreilles et la queue

    La roue tourne vers le Levant
    Demain entendra-t-il son chant

  • Tour de main , ou tournemain ? La question attire l'ire...:))

  • anonyme > "épreuve" ? - un terme (vocable) utilisé en traumatologie... alors nul besoin de dépassement : simplement se sentir capable... (et non coupable ?).
    Il serait aussi question d'intensité (le bouton du volume plus ou moins ouvert...) - dans l'épreuve.

    koan > mais si, bien sûr que vous pouvez l'envoyer ! Tentez voir... on ne sait jamais (et informez-moi/nous, s'il-vous-plait... sur ce travail). A suivre !

  • "tournemain", Koan, je ne suis pas sûre que cela corresponde à une terminologie déjà existance... en revanche, prendre quelques libertés d'interprétation à ce qui ressemblerait à une exagération suggestive, autant qu'intempestive - oui, cela demeure possible ici.

  • En fait tournemain, c'est le mot juste , mais devenu rare et qui est un terme de cuisine. Il existe même un tournemain.com. Ceci dit je chipote (ce qui n'a rien à vois avec chipolata) mais ayant besoin de compagnie, je papote par-çi par là, flop pop, flo pop, comme...Un casse-bonbons- Désolé :))

  • oh ben merci (pour l'adresse). Un casse bonbon ? mais (ça c'est un comble !), c'est encore, à moi... d'en décider !!!?
    Bonne soirée Kohan...

  • |> Quand l'autre vient à manquer ? "L'oeuvre qui voulut être homme" peut-être...

    |> Ego trip : épreuve et dépassement ? C'est très bien pour "soi-même", mais c'est là un dépassement qui outrepasse le rapport à l'autre dès lors qu'on installe, en lui parlant, un rapport avec lui. A dépasser "soi", ne conviendrait-il pas alors de dépasser aussi l'autre...? (sans guillemets celui-là). Ca me paraîtrait plus juste...

  • | > Vous n'aurez pas manqué, bien sûr, de faire le lien entre mes deux commentaires !

  • Il me semble Varna, à la lumière de ma jeune expérience , qu'une fois bien avéré le dépassement du soi maladivement égotiste, s'initie logiquement un autre rapport même s'il s'en faut encore de beaucoup qu'il soit admis par l'autre . Je ne sais pas si je le dis bien mais il me semble voir se lever parfois une tribu d'un autre type ...

  • Alors en ce cas le geste poétique d'adresserait à l'autre comme dépassement potentiel ?

  • Voire même un type d'une autre tribu.

  • ...oui, vous avez raison de décrire le lien tel qu'il semble exister encore, ou depuis cet "aujourd'hui"...

    Une autre tribu, oui.

    Pour ma part j'aurai, j'en ai peur - réussi à perdre la vision fugitive (mais un choc, aussi...) et sans doute trop rarement partagée... de : 1/la quantité d'humains à vivre sur Terre 2/nos différences.

    Je ne cherche pas à m'interroger (trop dur, trop dangereux en ce moment), mais je constate la valeur qui s'accorde :
    1/ aux affinités électives 2/ à ce garde fou que représenterait l'amour du dit prochain.

    C'est pourquoi, malgré ce que je sens comme une incapacité bientôt naturelle à "englober" la réalité humaine à vivre sur Terre, je crois que l'on peut "faire simple" et qu'à à défaut de garder les yeux ouverts (jamais larmoyer resterait doloureux), il se peut que l'on ouvre les yeux...

  • | > C'est amusant, c'est exactement ce que je pense, je pourrais employer les mêmes mots que vous ! Et pourtant c'est justement parce que je parle à quelqu'un que je ne suis pas anonyme. De plus, parler en anonyme, c'est conforter le discours-qui-parle-tout-seul, notre ennemi à tous (au s'entredire)... Votre anonymat ne met rien à la place !

    Dans ces conditions, pas de tribu en vue, seulement un rappel (pour vous, pour rester dans vos références) de ce qui fut dit il y a plus d'un siècle, en substance : "Demain, nous les solitaires | nous formeront un peuple ||| ". Des solitaires plus ou moins forcés de l'être, "|", oui, mais pas des personnes pour autant souveraines pour avoir dépassé leur moi ! Tu parles ! Celui qui écrivit ces lignes savait de quoi il parlait, pour lui-même, DANS LES DEUX CAS.

    Se "garder" de son propre moi n'est pas la meilleure preuve de son dépassement...

    Enfin, on peut se demander ce que signifie avoir dépassé son propre moi quand on ne cesse de citer un Personnage...
    Vous l'aurez compris, ça n'est pas à vous que j'en veux, c'est à la tribu des anonymes...

  • Mais Varna ! Vous êtes bien plus que moi-même et vous enragez de le savoir une entité anonyme ! Ma vie trop chaude , trop vraie , trop heureuse pour être encore fédératrice qu'il n'en soit plus question, car la question a pris un autre tour ! Ce n'est pas un personnage de roman que je cite mais une coquille dont le vide appelle à la chair et là j'en parle en connaissance de cause .
    Combien de siècles nous séparent d'Héraclite l'obscur ? Et alors !

  • Je m'appelle Simone . Et vous ?

  • Varna > ...je crois que je n'aimerais pas vous avoir comme adversaire sur un échiquer, tant votre intelligence dominante y serait absente du pion "stigmatisé" (systématisé), et pourtant si attentive à son "avancement"...

    Un Personnage, tel que semblerait l'être pour vous "Zara" ressemblerait à un modèle : d'untel-modèle... ne dirait-on pas qu'il guide ?
    ... alors, restons seulement vigilants sur notre choix du guide, sans battre notre culpe.
    Nous prenons le droit d'être "religieux" et religieusement affairés, n'est-ce pas ? Il n'y aurait encore pas lieu de créer de problèmes...

    Une question, Varna : j'admire votre optimisme ambitieux, cependant, est-ce à dire que vous verriez bientôt en chaque anonyme, un solitaire ?

  • Simone > Voilà un premier pas ! Mais non, Simone... Pour être franc, en réalité je vous reconnais partout jusqu'ici quel que soit le blog ou votre pseudo. Je ne dirais cependant pas à quoi... ;-)
    Je serais vraiment très heureux que vous ouvriez un blog, non seulement notre relation serait plus équitable (nous à découvert, vous à couvert sous votre blog - lol), mais surtout il serait l'occasion de parler de l'anonymat et des ravages qu'il provoque sur le net.... Voyez, je ne sais toujours pas si vous êtes la dénommée Rosée. Est-ce elle que vous cachez ?

    Quoi qu'il en soit, surtout c'est votre indéniable richesse intérieure dont vous nous feriez profiter. Je suis parfaitement sincère.

  • Vous ne m'avez pas répondu Varna . Qui êtes-vous ?

  • Si ç'avait été pour rester sous la couette je n'aurais certainement ouvert un blog Varna . Je serais restée dans ma maison .

  • Et puisqu'on en est au stade de la réponse du berger à la bergère , à votre incongru soupçon d'identification de ma personne à Rosée du matin j'ose exprimer celui qui me taraude : Varna ne serait-elle pas Marie-Gabrielle ?

  • Marie-Gabrielle > Sur votre échiquier je serais sans doute ce fou qui coupe toute ligne droite à la transversale et lui imprime par là même l’idée (simple suggestion) d’une autre façon de parcourir l’espace. D’ailleurs, la diagonale n’est-elle pas à l’intérieur d’un quadrilatère la ligne droite la plus longue, et donc celle qui parcourt et voit le plus de paysage ? ;-))

    Arhh ! Comment pouvez-vous croire que je me soucie de l’avancement de quiconque ! Suis-je un maître d’école ? Je suis convaincu de l’iniquité de l’anonymat sur les commentaires, je le dis ! J’ai même été victime récemment des effets de l’anonymat de Simone, effets involontaires de sa part !
    Si j’enjoins S|mone à ouvrir un blog, c’est parce que je suis personnellement convaincu de son intérêt (à d’autres je conseillerais de fermer le leur !) et ce, même si elle n’est autre que Rosée, laquelle a récemment semé le trouble autour de moi, trouble auquel l’anonymat DE CŒUR d’autres personnes ont fait écho. Qu’on s’accommode sur le net du soupçon généralisé me dégoûte…
    Bref, le sujet me tient à cœur… Je veux bien semer au vent s’il n’y a rien d’autre à faire parce que rien d’autre à attendre (…), mais non point n’être, quand je discute, qu’une « idée », que « du vent ». Nombres d’internautes font précisément du net « du vent », et y font des vents…

    Je ne nie pas mon intérêt pour l’énigme Zara, mais je n’en fais pas pour autant un modèle. Je répondais à l’attitude de Simone.

    Anonyme pour soi, ça regarde chacun, mais anonyme envers l’autre quand celui-ci s’avance vers lui à découvert, ça me paraît pas très équitable. L’un s’avance, l’autre émet simplement sa voix, ou mieux, celle d’un Autre ?
    Mais le problème posé n’est pas tant le sniper en lui-même que les dérives de comportement à partir de l’anonymat et les ravages qu’il cause dans nos relations.

    Quant à l’optimisme ambitieux…. Ce que j’en dis…

  • S|mone > "Qui êtes-vous ?" - Perfide injonction quand on n'est pas soi-même quelqu'un mais simplement un anonyme, et de surcroît de la part de quelqu'un qui a très bien saisi l'impossibilité pour chacun de répondre à la question. Vous savez très bien que c'est à la VISIBILITE de chacun qu'il ait fait allusion ! Qui je suis ? Non, Simone : OU l'on peut me voir, me rencontrer...? Sur mon blog. (voire par mail, si vous le désirez).

    Idem de votre soi-disant soupçon ! Vous forcez les autres à s'accommoder de votre anonymat, mais ne vous privez pas de soupçonner les autres d'en faire autant ? Si vous n'êtes pas Rosée, pourquoi vous énerver ainsi ? Bien. Je crois que c'est rapé pour votre blog. J'ai tout faux, n'est-ce pas ?... :-(

  • Pour le moins paradoxale attitude de celui qui part en guerre en anonyme contre l'anonymat . Je ne juge pas . Je m'interroge ...

  • Moi je ne pars pas en guerre contre l'anonymat , sauf quand il est manipulateur . Combien de douleur trouve à s'exprimer et à s'évacuer ainsi !

  • Varna, il aura gelé cette nuit... et l'échiquer force le patinage - artistique ou pas, mais certains grands écarts un peu tout de même ! je trouve.

    (...) alors, nous dirons "optimiste" (pour "petit bateau").

    Ma très grande hantise, hors blog, a toujours été de me laisser entraîner par d'autres à être un "courant d'air" (le terme est plus fort et plus enrobant/englobant que "petit machin", voyez-vous). Vous saisissez qu'à mon seul point de vue, le souci remonte déjà à loin...

    Je voudrais vous entendre vous exprimer un peu sur l'usage des pseudos, d'une manière qui s'entende distinctement, et pas confusément, d'après la distinction d'avec ce qui a trait à l'anonymat.
    Tout ce que nous soulevons là commence bien franchement à m'écoeurer...

    Merci d'avance,

    ps : par un souci d'échapper à la fausse modestie qui nous pend au nez à tous, je ne vous demanderai pas si vous pensiez à mon blog au sujet des fermetures.

  • Sorry Marie Gabrielle de m'être laissé entrainer dans le courant d'air ... Mais n'ayant pas de vocation christique ...

  • Bon, j'ai encore fait le con. Alors oui, autant être pour vous un courant d'air...

  • Gare à la tornade blanche... les gascons.

  • Je ne vous en veux vraiment pas, ni à l'un, ni à l'autre (vous me metteriez presque mal à l'aise, si je vous écoutais).

    Depuis toute jeune, je parle en coin de cette réalité tenace : l'air est de partout : je danse (...) - et je remue des cubes... n'est-ce pas tout aussi prenant, que de songer ainsi à ces pleins qui habitent si habilement nos ondes ?

    C'est vrai Varna, pourquoi ne nous pencherions-nous pas, au microscoop - sur la notion de COURANT (...déduction faite), si vous aviez un jour du désirer vous y adapter... Vous aussi, Simone, vous prêteriez alors à l'expérience d'observateur-observé, n'est-ce pas ?

    Peut-être aurai-je été trop approximative dans mon... infiltration ? (Si c'est déjà le cas, voulez-vous bien me le pardonner ?)

  • Entrrrrraînés par la foule ! qui s'enroule, et se déroule... (tadidada.. tadidadère ?)
    Je suis ici pour la transition. Seulement.

  • Oui, c'est vien un réseau qui s'inflitre... de courant à réseau, il n'y a qu'un...

  • de réseau à courant, j'entendais dire...

  • Moi j'aime bien la foule, qui me donne la conscience de mon pas .

  • Je serais pour un peu de vacance ? Pas vous ?

  • N'y sommes nous pas déjà ? En vacance de l'Histoire ?

  • là non plus

  • La question c'est : qu'est ce qu'on en a à b... des conseil de varna ?

  • La question c'est : qu'est ce qu'on en a à b... des conseils de varna ?

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