Je vous suppliais de votre page ouverte afin de lire et décrire un visage.
Votre porte de bois lourds se fermait, insuffisante, quand mon passage avait le sens et l'expression du signe...
Jeu de go de larmes, laissiez-vous pleurer ma flamme et recevoir ce don gratuit pour une dame ?
J'embrassais, incarné, tandis que vous veniez au cou veiné poète, orfèvre ou ce que vous seriez charmant, inspiratrice - connue plus tôt que découverte amie, alors...
TO BE, OR NOT TO BE PRESENT ?
Extraversion,
coupable averse,
trousseau de la nation ouverte...
dire que je l'aime...
quand il prend ma main !
…trahir, les gens peureux ?
Caravane, ville reine, peinait, milieu cristallisé, à l’essence de cieux...
Nous avions récité, l’histoire, au miroir...
J’avais craint de décevoir celui qui de nos sœurs épouserait la mineure, blâmé l’oubli castrateur, créé les sons du cœur hasardant - d’un champ d’erreurs les ultrasons menteurs...
Tu meurs... je meurs, entre vous deux...
Je lis - dans vos insomnies l’envers d’un conte !
Le vent - sale des cieux soufflait-il ?
Des mots soldats entraînés, aux crampes vaginales, jamais sortis du cœur - jamais outrageusement soleil levant je les aime, lueurs de chemins repentants - j’éteins ma voix qui est ailleurs…
Commentaires
AVEC LA FOUDRE
Une fragrance étincelante
Nimbe ton aura d'Amoureuse
Bienvenue à toi ô Vivante
Dans l'atmosphère bienheureuse
L'écho d'azur salue l'absente
Dans une étreinte savoureuse
Ta parole devient brillante
De plus en plus entrepreneuse
L'aurore sera éxubérante
Pour célébrer la courageuse
Je vais m'en tenir au texte de MG et de cette section vert bouteille où la tendresse transpire entre mystère et amante. J'aime ces scènes que je peux me figurer, ce silence que je vois compénétrer deux êtres qu'une semblable distance interdit d'un baiser. MG.Je ne dis pas que j'ai compris ce que vous avez voulu dire, mais je me contente de vous décrire ce que j'ai cru lire.
J'ajoute, quand je passe chez vous et que je vois un nouveau texte, je me dis à chaque fois, chouette, quelque chose à lire !
Si si c'est vrai.
pas de souci, koan, inutile de vous excuser, gmc n'attendait pas une réponse de votre part. vous lisez ce qu'il vous semble bon de lire. gmc pratique plutôt une lecture objective, voyez-vous, et le texte ne se limite pas à ce vert bouteille auquel vous attribuez votre tendresse.
oui, Koan, comme quoi... le fait d'être une "femme à muse" (et non "qui amuse") - comme le disait si bien Cat ces jours derniers, tantôt mousquetaire ou chevalier (qui auront bien leurs équivalents aujourd'hui), androgyne de fait dans l'attitude, n'empêche en rien à la féminité de s'épanouir, bien au contraire. Ce qui aurait fait d'elle un buvard, un sous-main, un désir infini du Masculin.
Moi aussi, j'apprécie votre force désinvolte (la force peut toujours se décliner tandis que d'autres mots pourraient eux, bien sûr, s'être présentés à mon choix...).
Cette idée d'accoucher d'une parole "Des mots-soldats entraînés aux crampes vaginales-jamais sortis du coeur-"C'est un peu comme parler de prophétie, cette sorte de fureur à proclamer, inextinguible...
Oui Koan , j'ai eu la même pensée .
désolé, réponses pas visibles d'ici.
Quant à moi... je vous laisse pour le week-end... et avant de partir... vous livrerai ces mots... au travers desquels ma cadette (7 ans)... m'a collée ce matin... (donné langue).
Je suis rouge, orange, jaune et bleu.
Quand je mange, je grandis.
Et quand je bois, je meurs.
Qui suis-je ?
Un indic : il mange du bois !
Bail du bail !
Fort amicalement,
pardon... ma langue aura fourché : un indicE.
Tchüüss !?
c'est une très jolie devinette à laquelle tous les incendiaires sont sensibles.
J'avais pas trouvé moi .