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Dieu

 

Reconnaissance en toi à ce devin d'amour...

Appartenance en moi à ce triste détour...
 

Ton alphabet croisé

sonde sans le chasser

son désir

enchanté

par l'attrait de la nuit

préservant

ce regard absent

transfiguré

par l'intimité du lieu

de l'ensemble de vie

fait encore de matières...

ton corps, sa triste affaire,

Dieu... 

 

 

Commentaires

  • Dieu, même si la triste affaire est massacrante à ses heures... n'est-ce pas ?

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