Le corps exulte de sa ridicule essence : j'en aime infiniment la fraîcheur. Plutôt que détachable, il serait présentable toujours - ce corps-là - présence en terre proche de ce corps-là - tendu dans notre espace. Sa masse en devient détestable dès lors qu'on y consent à ce que s'y attable le caprice d'un voeu stupide. Le corps qui se regarde fait un vide autour d'eux.
Commentaires
Enthousiasmé.
"Le Corps, cette Raison Supérieure." Nietzsche
... encore et toujours...
Baisers
@)>-->--->---
Un corps enterre, qui se débat : "qui se débat ?".
Toi... dans le noeud des Vous qui te nient...
Touchée.
En ce cas... tranchez le noeud d'un coup de sabre.