Nous ne sommes pas parfaits, et nous fichons de l'être. Pourquoi s'était-on dit qu'il n'y avait pas d'histoire ? Je crois à ce simple miroir, mais toujours pas au forum, car il empêche le temps de se flétrir - de s'oublier à cet effet jouissif de la déduction : ce sont nos chairs qui lissent, ambres du jour, osé...
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Commentaires
Ce n'est pas qu'il n'y a pas d'histoire... Il y a trop d'histoires et nous tentons de garder tête-corps-coeur au dessus de la vague en ses déferlantes, ses défaire -promptes... Toujours ça commence et recommence... On est parfaitement convaincus de ça et ça élime la "patience en l'azur", pas celle des mots qui nous tiennent sur leur planche de rescousse. On flotte à vie , on flotte à vue , tentant de décrisper la méprise au plus fort des mépris et des embruns. Imparfaits et endurants... un temps... Et la conscience qui va avec : un plaisir de Sisyphe...
Beau, mais le style est un peu différent de ce que je suis habitué à trouver sous votre "plume" (sic... virtualité oblige). Etrange. Pourquoi pas? Très appréciable en tout cas.
Mthp > pardon, mais je n'ai pu m'empêcher... un plaisir dé-cif...
Ezrah > Oui ?
Parfaits façon Puzzle … (Pour Ezrah etc... ? )
Ne sommes pas au forum parfaits. Car nous nous fichons de cet effet jouissif , à la déduction de l'être pas osé.... Ce sont, ambres du jour . Pourquoi s'était-on dit qu'il y avait toujours ce simple miroir, d'histoire : Je crois à nos chairs qui lissent, mais le temps de se flétrir ,et de s'oublier n'empêche- il pas ?
Mth P > c'était décisif.
"et de s'oublier n'empêche pas" : sujet de panique potentielle chez moi. J'ai pensé forum en réponse à qqu'un qui ne verrait sur une photo rien d'autre que soi et jamais une situation vécue hors et en-dehors de soi - quelle qu'elle soit ! - pervertissant ici encore la beauté. Prétentieux de ma part ?
C'est le temps qui empêche, pas l'oubli ... Etre en dehors de soi est la règle dès lors qu'on écrit, même sur soi. L'écriture s'interpose comme vigile de ce va et vient. La panique serait peut-être ( pure hypothèse non encore sertie) quand ça se fige en icône qui ne répond plus ... de rien, ni à personne. "Moi - Me "ne m'intéresse plus depuis longtemps, j' ai fait autrefois le grand tour du propriétaire pour enlever toutes les clôtures ne permettant pas la libre circulation des affects. Je me suis rendu compte que rien ne ressemble plus à un roseau ou à un chêne que le roseau et le chêne du voisin d'en face. Je m'amuse encore à peindre des repères en fluo pour ne pas effrayer les préposés aux cadastres, mais tout au fond de mes pensées ,toutes les haies ont fondu au profit d'errances positives. J'aime l'odeur des jungles subaquatiques, ce sont les plus nourrissantes, mais il faut un tuba et des mouvements lents de palme,pour espérer y glaner sa pitance . Finalement dans la vie, ce qui m'intéresse, c'est le perfectionnement du matériel de plongée... La beauté est essentiellement maritime ou son écho: la prose époustouflante d'un firmament fossilisé. Mais ce n'est qu'un point de mire de poète... tu sais... Sans raison, je l'oublierais ?... C'est là que j'aurais les chocottes...
Libre circulation des affects ? Ou bien libre expression de notre visage en vérité ?
Sans raison, ou bien avec seule une raison ?
Propositions :
Libre circulation de tous nos visages déclinant sourdement leurs affects.
Raison essentielle mais plusieurs versions toujours , comme en peinture pour détailler le propos (comme on sculpte dans un socle de marbre immémorial).
Mth P > J'ai répondu à ce que j'ai entendu par l'image...