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Vous ?

 

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Fille de père
 
 
 
 

"Elle"... n'aurait rien à voir.

 

La petite fille n'avait rien eu à voir, dans la brutalité d'essences - un biais vertigineux, ou la cisaille de l'antre - un, seul, déprimé, abandonné - à son dieu.

"Viens..." - murmurait sa gueule ouverte, les jambes - froides, priant d'y engloutir un avenir du monde...

"On ne papote pas sur l'avenir du monde..." - répète un père qui, dans la fronde aurait grandi les armes et, crépitant le seuil encore tout engourdi, là, juste à côté d'elle - et puis, de qui la gronde - hautement souri. 

(Humm... le métier est trop dur ! Le petit bout de terre... sera-t-il donc honni ?)

L'enfant lit à son père - encore tout ébahi, qu'en son pays le petit doigt de fer ferait qu'on dise oui, à tout ce qu'il sait taire... Elle - opérait la nuit (quand d'autres pensent à braire...).

- ...une part à l'ennemie, que l'autre avait bannie ? (la fille omet la mère... qui n'aurait pas ourdi).

- Vous ? - enfant de la Terre, écoutez bien ceci : l'ombre du Monastère est à notre merci...  Vous étiez l'équivoque - et l'ancienne partie...

 

* * * 

  

Le travail s'est parfait dans la partition à écrire. Tout est affaire de dons - restés à définir...

- Aurait-elle donc... menti ! Vivez votre vie belle.

Voyez le caractère... vous n'avez pas voulu... elle n'avait plus paru. Etrangère vertu de qui s'est fait un ange, n'est-ce pas ?

- Aurait-elle su ? Je l'ai trouvée émue, devant ce fait étrange, que vous aurez vécu...

Tout est affaire de sens - triste, était leur amour d'un pitoyable effort. Ecrire à l'oracle pensant, cessant, voûtant l'ennui - vissant encore ses rêves, las - d'entonner en cage...

 - La pensée pour chacun, mais le baiser pour tous ? Une pensée pour vous... un baiser pour chacun.

 

* * * 

 

 - Les mots affluent vers moi, d'une effroyable erreur... Faut-il en faire ici le pont ?

Son doigt de fée s'en est allé courir derrière la foule ! La soif, l'aubépine, deux ennemies au bain... La folie est courante ! Je voulais dire la chance, à ceux qui ont trahi, ceux-là - emplis de doutes, mais enfermés - aussi. 

- Son silence d'envie... parricide. Fortuit...

- Lire ? - à moitié saoulée par la joie... Détruite - par l'autre investiture - que sont vos lois.
 
Colère, enfin te voilà ! Humainement visible. Tu sourds comme une image - et ton message éteint - s'était mis à revivre, et nous le sentions bien - assis parmi les pauvres vivres... 

- La bêtise seconde - où le plaisir s'atteint. Vous trouveriez vous-même, en l'état d'être sourde...

 

* * * 

 

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Commentaires

  • Tu es terrible. tu annonces toujours que tu vas cesser d'écrire sur ton blog et puis je viens faire un petit tour nostalgique et alors je trouve des textes nouveaux (?) superbes. Aurais tu une soeur jumelle . Je t'embrasse quand même mais je vais bouder...

  • Ouais, Ariaga, j'suis du signe du Cancer avec un ascendant Gémeaux (...et plein de trucs là-bas).
    Sauf que là, tu vois, j'ai eu besoin d'exorciser une histoire très ancienne, qui doit remonter. Alors...
    Merci pour "superbe"... ça me touche beaucoup.
    Non, non, c'est de cette semaine, alors je suis un peu nase et l'aspi là - je l'ai posé un instant, mais je vais le reprendre ! - comme les comptes, les lingettes, un vrai grand agenda où on y voit, et surtout, de quoi ne pas nous sentir frustrés (épuiser, écraser par la médiocrité, lancinante...).

    Bouder, mais quoi ?
    Cette fois-ci, c'est la bonne... non ?
    Faut pas dramatiser.
    Bise,
    A bientôt chez toi... Ariaga (si je tiens le coup, parce qu'ici, on a parlé beaucoup de dégâts colatéraux... tu vois ? Reste à traduire...).

  • Même si je pars, Ariaga, je reste, et surtout, je repose... et reviendrai avec des textes, je pense. Aujourd'hui, je suis sans bureau, et je crois que ce n'est pas bon...

    Il m'était difficile, en l'absence de rémunération réelle et avec l'assez grande difficulté à prendre confiance en moi, sans "connaissance de cause", de réorganiser mon temps "façon métier", tu comprends ? D'autant que le conditionnement peut être fort... outre le fait que j'ai deux et deux pré-ados à la maison.

    Cela mûrit, et j'aurai besoin, de plus en plus, j'en suis sûre, d'aller vers la personne vraie, et fiable...

    Je te remercie beaucoup d'être passée, Ariaga.

  • Bonjour !!!
    Ca fait longtemps...

    Juste...j'ai lu.
    Vous devenez de plus en plus ... explicite ... non ?

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