- Emplissez-vous d'amour... divinité de son plaisir - étreignez moi ! Vous recevez, je crois, les lettres que j'écrivais - que je postais - cinglante parole sirupeuse - en des mains douces - écartelant de l'eau, tous les passages - en ma lumière.
- Vous pouvez caresser : je ne vais pas vous mordre !
- Votre foi... que sa mort entreverrait peu, la vision que je vis seule en vous - Jeune Ami, votre courage...
- Il est difficile de vous attraper : trop de vos paroles courtes - pas une veine secourable, mais ce désir... qui enchante !
- Comme les mots privés s'emportent - je veux aussi savoir que le plaisir ouvrira rien de leur décor antique, parce que... vous savez, nous savons - tandis qu'eux, ceux-là... - vraiment, sont.
- Des lettres ? Regrettez-vous jamais la chaleur qu'entraîna votre fibre amoureuse ?, solide - du sien, qui s'offre à l'autre - le goût du soir, au joug de son petit matin - les doigts ronds de la carne pédestre, et le si beau - Coeur-Chien...
- Pauvre animal - il tambourine... tellement distrait : un sourire se retourne - vibrant, chaud, rouge, aérien... : "...ce grand vide doit disparaître !".
La gorge se découpe, quand le plaisir vrombit. Je suis l'homme - et son mâle - elle, se conduit ainsi : ferveur ouverte par le haut - que je pénètre, heureux, profondément - sa conque - en tête, grise des vents - la douceur, attachée - confiante en l'autre - son désir, vrai - ma vie... qui nous élance...