Les élans qui se tuent ont de l'avenir dans le bouddha honni en ces termes pourtant assemblés quand ils se ressemblent puisqu'il en va des loups que l'on croise...
A Macao, le mot dit l'étincelle quêtant, baisant, ramant, ourdissant cette oreille hostile au souffleur disant l'eau.
Je crois que sur mes jambes il était un travers de bois, et qu'au-dessus d'un astre se traînait la loi, pauvre tournesol en colère, et triste maladroit ?
Débranche… la réalité n’est pas ce qu’on en dit. L'on dit à bouche que veux-tu n’être jamais lu - et c’est vrai, et cela - personne ne l'aurait su ? Je me tais. Article d'une mort, et distant et blanc, franc et présent. Poliment jouir et vertueusement partir et jamais seul : qui l’a dit ? C’est lui - c’est elle blanchie qui remonte - un filet déchiré... mélodie qui s'arpente des cieux écartés, repentants - du ventre, traçant vers d’autres lieux ce trait cadenassé d’horizons. Vos vertes conquêtes ne sont ni floraison... ni mes pensées secrètes. A la fenêtre, un point condamne la liberté d’un âne... Le silence de trop vallait-il à la faux l'action guerrière ? Une courte paille - courtisant d'affreux tenanciers, dirait encore mieux que volaille : poulailler. La boîte à idées d'un dédale d’emmurés fut la logique du chiqué...
Commentaires
"Les élans qui se tuent ont de l'avenir dans le bouddha honni en ces termes pourtant assemblés quand ils se ressemblent puisqu'il en va des loups que l'on croise..."
Les élans qui se tuent survivent dans des formes larvaires meurtrières ?
Je ne pense pas personnellement pouvoir qualifier cet état de larvaire. A moind d'y réfléchir...
Je songeais à ces - vers ? "Si tu vois le bouddha, tue-le" (approximativement cela). Les élans qui se tuent seraient donc ce bouddha apparent trop facile, à même pas chercher à élucider, ni même dans un rire jaune.
"à la fenêtre un point condamne la liberté d'un âne"
très sympa, quoique ce soit l'âne qui s'imagine être condamné (c'est déjà bien qu'il se sache âne)
"poulailler" est excellent aussi
Macao se prête aux fièvres...