Profonde s'attrappe l'antenne où se draine une absence de mes rimes lassées d'habitudes.
Un silence affectueux de l'opprobre exprime l'élément fédérateur caressant les reins de plumes.
Tant d'armes ! mais bien peu de ces résistances...
La méchante âme rivait des yeux gardés ouverts sur cette lune !
Remerciez, cloches et clochers abandonnés à ces mains appropriées.
La mathématique de l'äme est celle de mon coeur malade.
Leçon d’aborigène - entendue de ce gène attendu par la reine au long train du carnage et veuvage à son immensité... comment défendait-on la vie de ceux qui connaissaient leur peur alors partis certains d’avoir haï ? Face aux vents d'une histoire barrée créant nauséabonde la clé du ministère, pour l’infante adultère à des cécités noires portées par ses colombes - un sexe se récrie, par une mortelle féconde... ma tentation retrouve là son silence, pendu au si petit matin des yeux de ton ramage à dessiner en gerbes l'antenne de mes seins durs - verticale caresse au mur du drap de musiciens à ce vitrail de lendemains obscurs… Tu es donc beau. Reconnais ce destin chevauchant tes chemins à mon corps ! Nourris-moi... Achevons la rencontre... Tu ne seras jamais, comme moi - l'impie de tes sens, et pourtant je t'assemble à l'idylle étourneau de mots - seule force du pas de ta pensée. Je ne crois pas tes lèvres en sang identifiables, gardant à ma vision l'espace entouré de notre aura psychique livrée à son secret.
Commentaires
J'entends là se gonfler la voile lyrique.
Et vous avez raison ? J'aimerais tant vous suivre à cette cour des mers...
Il n'y a pas que le voile lyrique qui se gonfle... vous en arrivez à me troubler...
Cela m'étonnerait... dis-je la peur au ventre un cheveu sur la langue.