Ce que vous charriez pour mon compost - je vous en remercie... une suée de lave offense votre... glotte ?
Vous pleurez ma carotte, avant de feindre un foin vous mentez, j'asticote, et perdure la note...
Vos talons qui pivotent, instable chose trotte, retenue de ma porte qui claque !
Morte.
Bouche dégoût.
Non ! Bouche d'égout...
Parcourir la vie d'un ensemble de mondes...
Qui portait ces couleurs ? D’où partaient leurs îlots, aux parfums trompeurs que j’aime trop ? Aux vagues œsophages inqualifiables et sauvages, milieu de saints amas de corps sauvages, maudissant mon visage… où le combat est de chaque matin.
Une page tournée, un livre s’éprend… A deux, nous allions bien : jambes, corps, train puis soudain, « l’autre », en travers du chemin. Il faut mentir, le temps de ressentir - épousant qui m’aura tracée, retrouvée, aimée laissant derrière la guerre auréolée...
Accorde à ta main l’ange étrange à mon lit carré !
Tu échanges avec l’homme charmant… préfères dénaturer le verbe trinitaire plutôt que la mère aux vers ambrés. Prostituée échancrée, désenchantée - inconsciente des mots qui traversent mon ventre - tombée, je confonds l’amitié brève et la velléité.
Un souffle empli de cris représente cette vie, d’un amour parti - que cherchait l’assassin dans le noir… J’ai envie de mourir !
L’espace d’un instant perdurait l’infini firmament - preneur d’une intelligence de la terre : le dieu. Nous travaillions à être ensemble au plaisir offert : j’aurais tué mon père… avais-je inventé l’autre ? Folle, disparue... je ne réponds rien.
Il a fait froid. Nous étions bien.