...fil à reculer... encombré des mains divinisées... au grand air à l'amour de spiralle... un doigt venin... banni... langue éventée - défaite... tendresse accompagnée... désir de toit... usant... habité... rencontré aimé... réparé rejoué... désir enfanté... lavé... chauffé... désirant... intégré...
Mon Amour.
Mon Enfant.
Mon Dieu.
Je suis.
Eux.
Jusqu’à cette heure qui répertoriera l’erreur...
Saurais-tu l’écho du bonheur ?
Un lieu sans décombres devient papier cendré...
Le flux tapisse un damier qu’on n’a pas occulté.
Parole de rosée que l’on n’avait pas vérifiée.
La première fois qu’on y pénètre, mon cercle amidonné a la saveur d’un été aux remparts désirés par les entités criminelles…
Je comprends le courage de ceux qui m’ont aimée, admirant ma sincérité reconnue par l’altérité.
J’adore une fidélité défiant l’amitié - et j’attends que nous attendions carcasses - de vaines timidités.
Commentaires
ces triptyques sont très prenants
le premier me dit le tourbillon
l'habit tua tion des jours et des nuits
du désir
le second
dans sa forme même est flamme
et ce je suis (être ou suivre?)
dans le dernier les É qui scellent la plupart des vers sonnent comme un appel
j'aime beaucoup la phrase " et j'attends que nous nous attendions carcasses"
un ser (re )ment du tout le corps en dessus en dessous jusqu'en ce lieu ou la peau ne cache plus rien des sentiments
en ce lieu tout au fond qui est à la fois eau lente et ravins.
La section en violet me semble familière. j'entends.
Les remparts désirés me ramènent à Avignon. A la lecture ,je suis dans la situation d'un accord suspendu que n'entoure aucune tierce.
N'y a t'il pas un risque schizophrénique dans la section vert bouteille ? Un risque de silence stuporeux ?
Dans tous les sens du terme: une écriture sans sujet ?
Je cherche un pôle, un amer, un nom...
LA RECOLTE DES ECHOS
Les échos du bonheur ruissellent en parpaings verts ou en ondes scarificatrices suivant les milieux ambiants. Leurs multiples fragrances reflètent la hauteur des inversions temporaires et des oublis rétroactifs, rappels des mémoires transgéniques inscrites à l'orée d'un bois de saules calcifiés. L'écho du bonheur surgit toujours au détour d'une surprise, vapeur savoureuse d'étonnement actualisé, ombre légère de souvenir évanescent, filament symphonique de sortilège silencieux. Dans certains champs sphériques se cultivent ces plantations abondantes d'échos irisés par la foudre que cueillent nonchalamment d'étranges promeneurs au satin écorcheur de vélléités tragiques, passants désabusés dont les sourires carnivores déploient les stances hallucinées de l'outre-rien hémophile.
LA RECOLTE DES ECHOS
Les échos du bonheur ruissellent en parpaings verts ou en ondes scarificatrices suivant les milieux ambiants. Leurs multiples fragrances reflètent la hauteur des inversions temporaires et des oublis rétroactifs, rappels des mémoires transgéniques inscrites à l'orée d'un bois de saules calcifiés. L'écho du bonheur surgit toujours au détour d'une surprise, vapeur savoureuse d'étonnement actualisé, ombre légère de souvenir évanescent, filament symphonique de sortilège silencieux. Dans certains champs sphériques se cultivent ces plantations abondantes d'échos irisés par la foudre que cueillent nonchalamment d'étranges promeneurs au satin écorcheur de velléités tragiques, passants désabusés dont les sourires carnivores déploient les stances hallucinées de l'outre-rien hémophile.
LA RECOLTE DES ECHOS
Les échos du bonheur ruissellent en parpaings verts ou en ondes scarificatrices suivant les milieux ambiants. Leurs multiples fragrances reflètent la hauteur des inversions temporaires et des oublis rétroactifs, rappels des mémoires transgéniques inscrites à l'orée d'un bois de saules calcifiés. L'écho du bonheur surgit toujours au détour d'une surprise, vapeur savoureuse d'étonnement actualisé, ombre légère de souvenir évanescent, filament symphonique de sortilège silencieux. Dans certains champs sphériques se cultivent ces plantations abondantes d'échos irisés par la foudre que cueillent nonchalamment d'étranges promeneurs au satin écorcheur de velléités tragiques, passants désabusés dont les sourires carnivores déploient les stances hallucinées de l'outre-rien hémophile.
si ce n'est pas marie-gabrielle qui a supprimé ces commentaires, étant en week end familial, qui donc l'a fait?
CHARMANT PRELUDE
Le train de nuit n'a pas survécu au marécage, son odeur est couverte de fange, un nouveau pilote dirige ce tram. Aux armes d'un cercle amidonné, est-il moins criminelle que celles dont il s'est emparées, appliqué qu'elle est à nettoyer les traces évanescentes de l'innocence? Des embruns rouges irisent le ciel, l'odeur des combats défigure la beauté, quand l'abjection passe les frontières et répand la moisissure sur son passage. Le paysage a l'air tranquille mais le sournois glisse dans son nuage de fumée, dégoulinante de croyance en son pouvoir. Les Jivaros ont entendu l'appel, le feu rugit dans les greniers, les poisons sont armés.
CHARMANT PRELUDE
Le train de nuit n'a pas survécu au marécage, son odeur est couverte de fange, un nouveau pilote dirige ce tram. Aux armes d'un cercle amidonné, est-il moins criminelle que celles dont il s'est emparées, appliqué qu'elle est à nettoyer les traces évanescentes de l'innocence? Des embruns rouges irisent le ciel, l'odeur des combats défigure la beauté, quand l'abjection passe les frontières et répand la moisissure sur son passage. Le paysage a l'air tranquille mais le sournois glisse dans son nuage de fumée, dégoulinante de croyance en son pouvoir. Les Jivaros ont entendu l'appel, le feu rugit dans les greniers, les poisons sont armés.
il ne semble pas inutile de repositionner ces quelques textes qui ont disparu subrepticement:
AVEC LA FOUDRE
Une fragrance étincelante
Nimbe ton aura d'Amoureuse
Bienvenue à toi ô Vivante
Dans l'atmosphère bienheureuse
L'écho d'azur salue l'absente
Dans une étreinte savoureuse
Ta parole devient brillante
De plus en plus entrepreneuse
L'aurore sera éxubérante
Pour célébrer la courageuse
SWAMP DOG
Dans le marais le demi-dieu
Est pour expier ses nombreux feux
Beaucoup de leurres seront présents
Pour soumettre le fils du vent
Des traits de pourpre en oriflamme
Pas de pitié dans cette lame
Attendons le retour du preux
Avec les oreilles et la queue
La roue tourne vers le Levant
Demain entendra-t-il son chant
et puis, pour redéfinir les contours de la situation, celui-là n'est pas mal non plus:
LIRE A L'ENDROIT LES REVERS
L'Homme, debout dans la plénitude de l'Être, n'a nul besoin de salamalecs prétentieux pour faire partager aux autres la qualité de son rayonnement intérieur. Celui-là sait que les offres de service dans ce registre sont pure intentionnalité guidée par ce qui n'est pas énoncé dans le discours de surface. La seule Loi en exercice dans ce monde réside dans "aide-toi et le ciel t'aidera", les naïfs et les indigents seuls croient que les prédateurs peuvent leur apporter quelque chose, aussi personne ne pleure-t-il sur le sort de ces victimes qui ignorent souvent les clins d'oeil qui leur sont adressés.
Tant que l'individu supposé n'est pas arrivé au bout de lui-même, sa seule attention ainsi que tous ses efforts doivent résider dans "commence par ta propre personne". Le jour où il atteint le bout de lui-même, il n'a plus besoin des prétendues générosités soi-disant offertes - mais en réalité vendues, les naïfs seuls croient aux cadeaux - , épanoui qu'il est dans la contemplation sereine et la connaissance que lui apporte sans contrepartie l'univers.
Les maquereaux de la vie trafiquent et détournent les énoncés d'une Loi sans règle, poursuivant des buts illusoires en s'intoxiquant de leur propre vanité. La lucidité, quand elle croise leur chemin, rit de ces fous agitant des breloques misérables dans le vent creux et rouillé de leur désespoir tout comme elle rit à l'énoncé des délires de leur discours alambiqué n'ayant pour but que de séduire des proies aspirant à la victimisation.
tout ça ne nous dit pas qui a supprimé les commentaires manquants, en l'absence de marie-gabrielle:
LA RECOLTE DES ECHOS
Les échos du bonheur ruissellent en parpaings verts ou en ondes scarificatrices suivant les milieux ambiants. Leurs multiples fragrances reflètent la hauteur des inversions temporaires et des oublis rétroactifs, rappels des mémoires transgéniques inscrites à l'orée d'un bois de saules calcifiés. L'écho du bonheur surgit toujours au détour d'une surprise, vapeur savoureuse d'étonnement actualisé, ombre légère de souvenir évanescent, filament symphonique de sortilège silencieux. Dans certains champs sphériques se cultivent ces plantations abondantes d'échos irisés par la foudre que cueillent nonchalamment d'étranges promeneurs au satin écorcheur de velléités tragiques, passants désabusés dont les sourires carnivores déploient les stances hallucinées de l'outre-rien hémophile.
CHARMANT PRELUDE
Le train de nuit n'a pas survécu au marécage, son odeur est couverte de fange, un nouveau pilote dirige ce tram. Aux armes d'un cercle amidonné, est-il moins criminelle que celles dont il s'est emparées, appliqué qu'elle est à nettoyer les traces évanescentes de l'innocence? Des embruns rouges irisent le ciel, l'odeur des combats défigure la beauté, quand l'abjection passe les frontières et répand la moisissure sur son passage. Le paysage a l'air tranquille mais le sournois glisse dans son nuage de fumée, dégoulinante de croyance en son pouvoir. Les Jivaros ont entendu l'appel, le feu rugit dans les greniers, les poisons sont armés.
et encore, gmc n'a pas le temps d'ajouter tous ceux des jours précédents qui ont été supprimés; par la grâce de qui?
qui a mis le bordel à l'intérieur de ce blog?
qui écrit en orange?
que sont devenus vert bouteille et violet?
en quoi consiste réellement l'action éminemment sournoise et manipulatrice de la chose appelée varna? qu'a-t-elle effectué comme bouleversements dans le psychisme de marie-gabrielle?
on ne sait toujours pas qui profite de l'absence de marie-gabrielle pour supprimer des commentaires sur son blog:
que sont devenus les écritures vert bouteille et violette?
qui écrit en orange?
une hydre aurait-elle dévoré une tribu de succube?
repositionnons le champ des débats:
CHARMANT PRELUDE
Le train de nuit n'a pas survécu au marécage, son odeur est couverte de fange, un nouveau pilote dirige ce tram. Aux armes d'un cercle amidonné, est-il moins criminelle que celles dont il s'est emparées, appliqué qu'elle est à nettoyer les traces évanescentes de l'innocence? Des embruns rouges irisent le ciel, l'odeur des combats défigure la beauté, quand l'abjection passe les frontières et répand la moisissure sur son passage. Le paysage a l'air tranquille mais le sournois glisse dans son nuage de fumée, dégoulinante de croyance en son pouvoir. Les Jivaros ont entendu l'appel, le feu rugit dans les greniers, les poisons sont armés.
LA RECOLTE DES ECHOS
Les échos du bonheur ruissellent en parpaings verts ou en ondes scarificatrices suivant les milieux ambiants. Leurs multiples fragrances reflètent la hauteur des inversions temporaires et des oublis rétroactifs, rappels des mémoires transgéniques inscrites à l'orée d'un bois de saules calcifiés. L'écho du bonheur surgit toujours au détour d'une surprise, vapeur savoureuse d'étonnement actualisé, ombre légère de souvenir évanescent, filament symphonique de sortilège silencieux. Dans certains champs sphériques se cultivent ces plantations abondantes d'échos irisés par la foudre que cueillent nonchalamment d'étranges promeneurs au satin écorcheur de velléités tragiques, passants désabusés dont les sourires carnivores déploient les stances hallucinées de l'outre-rien hémophile.
AVEC LA FOUDRE
Une fragrance étincelante
Nimbe ton aura d'Amoureuse
Bienvenue à toi ô Vivante
Dans l'atmosphère bienheureuse
L'écho d'azur salue l'absente
Dans une étreinte savoureuse
Ta parole devient brillante
De plus en plus entrepreneuse
L'aurore sera éxubérante
Pour célébrer la courageuse
SWAMP DOG
Dans le marais le demi-dieu
Est pour expier ses nombreux feux
Beaucoup de leurres seront présents
Pour soumettre le fils du vent
Des traits de pourpre en oriflamme
Pas de pitié dans cette lame
Attendons le retour du preux
Avec les oreilles et la queue
La roue tourne vers le Levant
Demain entendra-t-il son chant
avec un bonus de fin août dont marie-gabrielle se rappelle sûrement:
ARCHANGELLE
Sur la route de Jéricho elle a trouvé
Le parfum de la poudre et ses pouvoirs
Sa nature explosive l'entraîne
Sur le chemin des éclats de granit
Lames à la main sa cuirasse ruisselle
Des étincelles de l'ambre et du vermeil
Elle cherche l'ultime combat
La glorieuse défaite des consacrés
Magie de la guerre entrailles au soleil
Duel des transparences dans l'opacité
on ne sait toujours pas qui profite de l'absence de marie-gabrielle pour supprimer des commentaires sur son blog:
que sont devenus les écritures vert bouteille et violette?
qui écrit en orange?
une hydre aurait-elle dévoré une tribu de succube?
repositionnons le champ des débats:
CHARMANT PRELUDE
Le train de nuit n'a pas survécu au marécage, son odeur est couverte de fange, un nouveau pilote dirige ce tram. Aux armes d'un cercle amidonné, est-il moins criminelle que celles dont il s'est emparées, appliqué qu'elle est à nettoyer les traces évanescentes de l'innocence? Des embruns rouges irisent le ciel, l'odeur des combats défigure la beauté, quand l'abjection passe les frontières et répand la moisissure sur son passage. Le paysage a l'air tranquille mais le sournois glisse dans son nuage de fumée, dégoulinante de croyance en son pouvoir. Les Jivaros ont entendu l'appel, le feu rugit dans les greniers, les poisons sont armés.
LA RECOLTE DES ECHOS
Les échos du bonheur ruissellent en parpaings verts ou en ondes scarificatrices suivant les milieux ambiants. Leurs multiples fragrances reflètent la hauteur des inversions temporaires et des oublis rétroactifs, rappels des mémoires transgéniques inscrites à l'orée d'un bois de saules calcifiés. L'écho du bonheur surgit toujours au détour d'une surprise, vapeur savoureuse d'étonnement actualisé, ombre légère de souvenir évanescent, filament symphonique de sortilège silencieux. Dans certains champs sphériques se cultivent ces plantations abondantes d'échos irisés par la foudre que cueillent nonchalamment d'étranges promeneurs au satin écorcheur de velléités tragiques, passants désabusés dont les sourires carnivores déploient les stances hallucinées de l'outre-rien hémophile.
AVEC LA FOUDRE
Une fragrance étincelante
Nimbe ton aura d'Amoureuse
Bienvenue à toi ô Vivante
Dans l'atmosphère bienheureuse
L'écho d'azur salue l'absente
Dans une étreinte savoureuse
Ta parole devient brillante
De plus en plus entrepreneuse
L'aurore sera éxubérante
Pour célébrer la courageuse
SWAMP DOG
Dans le marais le demi-dieu
Est pour expier ses nombreux feux
Beaucoup de leurres seront présents
Pour soumettre le fils du vent
Des traits de pourpre en oriflamme
Pas de pitié dans cette lame
Attendons le retour du preux
Avec les oreilles et la queue
La roue tourne vers le Levant
Demain entendra-t-il son chant
avec un bonus de fin août dont marie-gabrielle se rappelle sûrement:
ARCHANGELLE
Sur la route de Jéricho elle a trouvé
Le parfum de la poudre et ses pouvoirs
Sa nature explosive l'entraîne
Sur le chemin des éclats de granit
Lames à la main sa cuirasse ruisselle
Des étincelles de l'ambre et du vermeil
Elle cherche l'ultime combat
La glorieuse défaite des consacrés
Magie de la guerre entrailles au soleil
Duel des transparences dans l'opacité
amusant, quel peut bien être le plaisantin qui a mis cinq fois ce commentaire alors que gmc ne l'a posé qu'une seule fois?
INNOCENTS CRIMES
L'innocence aux mains barbelées déchire les voiles amidonnés d'un volcan assoupi. Porté par l'écho de la voix verte s'éveille le parfum des assassins, ranimant la braise qui étouffait sous la main anxiogène et indélicate du castreur. Sans un mot, les dagues à la main, le courant électrique de la jeunesse se rappelle qu'il fut un jour tueur de roi. Les yeux ouverts sur la mitraille, des braises inversées au fond des pupilles, la lave qui assèche les marais se souvient qu'elle s'appelle Antigone et qu'elle porte en elle l'amour de son frère, inscrit en lettres pourpres sur fond d'éther. Les pleurs de l'acide génèrent les réactions thermodynamiques qui font fleurir les fronts de libération. Dans ses mains d'esclave, elle porte la fureur des éléments, dévorant les chimères invisibles pour éradiquer les fléaux misérables dans un bain régénérant d'ascétique abondance. Le napalm te sourit, enfant de l'harmonie, il n'attend que ton bon plaisir.
qui filtre les messages de marie-gabrielle?
ARCHANGELLE
Sur la route de Jéricho elle a trouvé
Le parfum de la poudre et ses pouvoirs
Sa nature explosive l'entraîne
Sur le chemin des éclats de granit
Lames à la main sa cuirasse ruisselle
Des étincelles de l'ambre et du vermeil
Elle cherche l'ultime combat
La glorieuse défaite des consacrés
Magie de la guerre entrailles au soleil
Duel des transparences dans l'opacité
INNOCENTS CRIMES
L'innocence aux mains barbelées déchire les voiles amidonnés d'un volcan assoupi. Porté par l'écho de la voix verte s'éveille le parfum des assassins, ranimant la braise qui étouffait sous la main anxiogène et indélicate du castreur. Sans un mot, les dagues à la main, le courant électrique de la jeunesse se rappelle qu'il fut un jour tueur de roi. Les yeux ouverts sur la mitraille, des braises inversées au fond des pupilles, la lave qui assèche les marais se souvient qu'elle s'appelle Antigone et qu'elle porte en elle l'amour de son frère, inscrit en lettres pourpres sur fond d'éther. Les pleurs de l'acide génèrent les réactions thermodynamiques qui font fleurir les fronts de libération. Dans ses mains d'esclave, elle porte la fureur des éléments, dévorant les chimères invisibles pour éradiquer les fléaux misérables dans un bain régénérant d'ascétique abondance. Le napalm te sourit, enfant de l'harmonie, il n'attend que ton bon plaisir.
on ne sait toujours pas qui profite de l'absence de marie-gabrielle pour supprimer des commentaires sur son blog:
que sont devenus les écritures vert bouteille et violette?
qui écrit en orange?
une hydre aurait-elle dévoré une tribu de succube?
repositionnons le champ des débats:
CHARMANT PRELUDE
Le train de nuit n'a pas survécu au marécage, son odeur est couverte de fange, un nouveau pilote dirige ce tram. Aux armes d'un cercle amidonné, est-il moins criminelle que celles dont il s'est emparées, appliqué qu'elle est à nettoyer les traces évanescentes de l'innocence? Des embruns rouges irisent le ciel, l'odeur des combats défigure la beauté, quand l'abjection passe les frontières et répand la moisissure sur son passage. Le paysage a l'air tranquille mais le sournois glisse dans son nuage de fumée, dégoulinante de croyance en son pouvoir. Les Jivaros ont entendu l'appel, le feu rugit dans les greniers, les poisons sont armés.
LA RECOLTE DES ECHOS
Les échos du bonheur ruissellent en parpaings verts ou en ondes scarificatrices suivant les milieux ambiants. Leurs multiples fragrances reflètent la hauteur des inversions temporaires et des oublis rétroactifs, rappels des mémoires transgéniques inscrites à l'orée d'un bois de saules calcifiés. L'écho du bonheur surgit toujours au détour d'une surprise, vapeur savoureuse d'étonnement actualisé, ombre légère de souvenir évanescent, filament symphonique de sortilège silencieux. Dans certains champs sphériques se cultivent ces plantations abondantes d'échos irisés par la foudre que cueillent nonchalamment d'étranges promeneurs au satin écorcheur de velléités tragiques, passants désabusés dont les sourires carnivores déploient les stances hallucinées de l'outre-rien hémophile.
AVEC LA FOUDRE
Une fragrance étincelante
Nimbe ton aura d'Amoureuse
Bienvenue à toi ô Vivante
Dans l'atmosphère bienheureuse
L'écho d'azur salue l'absente
Dans une étreinte savoureuse
Ta parole devient brillante
De plus en plus entrepreneuse
L'aurore sera éxubérante
Pour célébrer la courageuse
SWAMP DOG
Dans le marais le demi-dieu
Est pour expier ses nombreux feux
Beaucoup de leurres seront présents
Pour soumettre le fils du vent
Des traits de pourpre en oriflamme
Pas de pitié dans cette lame
Attendons le retour du preux
Avec les oreilles et la queue
La roue tourne vers le Levant
Demain entendra-t-il son chant
avec un bonus de fin août dont marie-gabrielle se rappelle sûrement:
ARCHANGELLE
Sur la route de Jéricho elle a trouvé
Le parfum de la poudre et ses pouvoirs
Sa nature explosive l'entraîne
Sur le chemin des éclats de granit
Lames à la main sa cuirasse ruisselle
Des étincelles de l'ambre et du vermeil
Elle cherche l'ultime combat
La glorieuse défaite des consacrés
Magie de la guerre entrailles au soleil
Duel des transparences dans l'opacité
INNOCENTS CRIMES
L'innocence aux mains barbelées déchire les voiles amidonnés d'un volcan assoupi. Porté par l'écho de la voix verte s'éveille le parfum des assassins, ranimant la braise qui étouffait sous la main anxiogène et indélicate du castreur. Sans un mot, les dagues à la main, le courant électrique de la jeunesse se rappelle qu'il fut un jour tueur de roi. Les yeux ouverts sur la mitraille, des braises inversées au fond des pupilles, la lave qui assèche les marais se souvient qu'elle s'appelle Antigone et qu'elle porte en elle l'amour de son frère, inscrit en lettres pourpres sur fond d'éther. Les pleurs de l'acide génèrent les réactions thermodynamiques qui font fleurir les fronts de libération. Dans ses mains d'esclave, elle porte la fureur des éléments, dévorant les chimères invisibles pour éradiquer les fléaux misérables dans un bain régénérant d'ascétique abondance. Le napalm te sourit, enfant de l'harmonie, il n'attend que ton bon plaisir.
c'est surprenant ce mic-mac, censure puis non-censure, qui bidouille les commentaires de marie-gabrielle???
et maintenant, fin de la modération?
extraordinaire!
quelqu'un sait-il écrire un poème sur ce blog?
FIESTA DE FUEGO
Dans le satin des nuits sans lune brille un diamant vert aux contours illimités. L'aube se lève sur un champ de bataille, qui sont les survivants de l'holocauste? La brume recouvre toujours les cendres jusqu'au matin de flamboyance, quand tombent les cathédrales de l'absence de charité. S'éveille des nuits de fonte une ombre lumineuse, la terreur blanche est de retour pour incendier les miradors des partitions solitaires. Et dans l'Amour du cimeterre, dans la joie des flèches de feu, dans la puissance des volcans régénérés s'émerveillent les fleurs de la folie, sulfureuses filles du cobra, frappeuses de sceau au timbre brûlant, cracheuses d'innocence au manteaux nus. Elles sont attendus sur la scène, au milieu des sunlights intransitifs, pour une représentation unique en hommage à la beauté souveraine. Que le spectacle s'épanouisse!
FIESTA DE FUEGO
Dans le satin des nuits sans lune brille un diamant vert aux contours illimités. L'aube se lève sur un champ de bataille, qui sont les survivants de l'holocauste? La brume recouvre toujours les cendres jusqu'au matin de flamboyance, quand tombent les cathédrales de l'absence de charité. S'éveille des nuits de fonte une ombre lumineuse, la terreur blanche est de retour pour incendier les miradors des partitions solitaires. Et dans l'Amour du cimeterre, dans la joie des flèches de feu, dans la puissance des volcans régénérés s'émerveillent les fleurs de la folie, sulfureuses filles du cobra, frappeuses de sceau au timbre brûlant, cracheuses d'innocence au manteaux nus. Elles sont attendus sur la scène, au milieu des sunlights intransitifs, pour une représentation unique en hommage à la beauté souveraine. Que le spectacle s'épanouisse!
Bonjour Viviane, et pardon de ne répondre qu'un lundi, mais je tâche actuellement d'adopter une discipline qui permette à ma famille de vivre heureusement ma présence sur la Blogosphère - pour mon bonheur... aussi, et ne "blogue" pas pendant le week-end.
Moi aussi, j'aime cette phrase, que j'ai (un peu) modifiée par rapport à sa version première (en ajoutant le trait d'union...).
Je vous remercie bcp de votre ressenti sur le "je suis", qui m'a vraiment apporté, profondément...
Enfin, j'aime votre poésie et me suis trouvée heureuse de ce petit bout de tissu - de couleur... que vous auriez accroché à ma vieille branche, ici, en passant.
Merci - et, à bientôt !
Merci Koan... je ne peux rien ajouter. Merci de me permettre d'entendre ma voix.
A bientôt ici ou ailleurs, pour que notre chaleur soit humaine...