Pardon Madame, j'égarai mon adresse
...paisse !
Pardon Madame, j'égarai mon adresse
...fesse !
Pardon Madame, j'égarai mon adresse
...caisse !
Toi ! jeune homme - qui t'es plu à tromper la porte, en t'écoutant - à la quatrième ouverture, du pas de l'huile avertie de la sauge - sache accueillir un sot de l'armure, à la fête ventrue de l'autre rive et tombeau du pan de ma paroi tombé sans savoir pourquoi, fruit d'une aventure en esprit - au regard de la femme d'un autre...
Les mots semblent tirer par les cheveux un être délectable appelé à penser par soi-même encore tout décongestionné...
Le courant prisé comme obligation - tout n’est pas sexuel au cœur. Parmi ces formes d’hôtes en rêveries enfantines - orchestration de trêves et moulinet d’action... je veux épouser l’autre en son action. Allons, viens ! Ma réalité parfait la horde de sa combustion où rien n’est gratuit quand on aime. L’herbe à ce mouton sensible est action, qu’on la dise ou la pense... ou que nous la fassions ! Les pattes fragiles de questions aux ailes obsolètes aiment ce qui est drôle… Ne blesse pas mon cœur de grive. J’ai besoin de tes yeux - la pluie arrive. Tu es le centre pensant de l'ogive élégante. Une autre rive échappe étourdie contemple la sphère et rend flou par oubli ! Cueillir en faisceaux des lumières de fleurs pour cet ami...
Commentaires
Maisse... Ah non, zut, ça ne marche pas !