Colère du dieu d'un temps dans l'apparence paternelle pour moi Ange déchu des trois mots sus réjouissante patrie et pitance éminente carence polie du dieu gentil auquel elle n'aura pas dit oui.
Ce ne sont que des mots... des mots.
Plumes jouvencelles au mimétisme d'arceaux clos de l'écho du mot où la sirène chante cette petite vertu quittant les animaux de suie d'une galaxie aux autres mots violés de pluie jugés à l'orée bleue isolée de la poésie.
Commentaires
Ca me laisse perplexe !
Boulon > (c'est dur, d'accepter de vous écrire comme "ça"... sans l'image et sans une "explication" !)
Cela m'intéresse (j'irai encore vous lire plus longuement).
Vous êtes ici (la) bien-venue... sûr !
ce que je sens c'est que vous essayez d'aller par le son
au-delà de ce qu'il porte
Viviane > je ne sais pas... pour moi, cela tiendrait plutôt du rodeo.
Ce qui est sûr, c'est que j'ai besoin d'éprouver la matière des mots, comme un scultpeur. La pierre peut se casser... mais la terre ?
Donc pour moi, rien d'expérimental - seulement un artisanat, même si peut-être aussi une fuite encore vitale...
Un grand merci de ton passage, Viviane. Vous... tu, nous ?
C'est une musique pour tous... mais le sens vous-même vous échappe... car il vous porte encore avant que vous ne le portiez... cette alchimie s'élabore dans le secret de votre athanor et déborde la frondaison des limites sans que vous n'y puissiez rien... on appelle cela : l'inspiration... dont vous n'êtes (mais c'est tout à votre honneur) que l'antenne dispensatrice... ça parle en vous... à travers vous... ça s'élabore malgré tout.
Baisers à votre convenance...
Bien à Vous...
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