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Mon chant du Cygne...

A tout ceux qui passeront ici, je confie ma lassitude au travail incomplet... et mon désir - de le voir compléter. 

 

 

 

Il s'agit de mon livre, paru aux éditions du Cygne il y a maintenant un an, et pour lequel je n'ai pas pris le temps, comme on le dit aussi d'un enfant.

 

 

 

Aujourd'hui, c'est son-heure-à-présent... son heure - et, main tenant.

 

 

 

C'est pourquoi je suis déjà très reconnaissante à ceux et celles qui voudront bien s'essayer à me lire, se faisant l'écho de la vie qui se trouve... attendue.

 

 

 

Je vais m'absenter un peu de ce blog en cours de travail... n'oubliant pas ceux des autres où je volète en transe, ni ce travail en cour... autour des chiffres, pairs et impairs... ni ma réalité.

 

 

 

Merci de vous laisser porter,

 

 

 

A bientôt. Je reviendrai.

 

 

 

A vous lire et répondre, en TOUT  cas.

 

 

 

Très amicalement,

 

 

 

Marie

Commentaires

  • je garde l'oreille attentive ...

  • Luc... l'oreille du garde ? En dehors de ce pauvre miracle, je n'ose rien espérer. Je vous, et je te remercie d'être là.

  • Vous voulez dire que vous allez mettre votre manuscrit en ligne ?

  • Non, Andre (j'aime votre spontanéité... qui déroute). Je veux dire que c'est à moi de faire quelque chose pour faire connaître ce livre que j'aurais peut-être sinon écrit pour rien - ou pour personne ?

    Il faut que je me bouge... or, sans parler du boulot perso, j'ai été ces derniers mois occupée bien inopinément par la découverte fascinante de la blogosphère, mais aussi fatiguante, à cause des choix qu'elle implique, et des moyens dont elle dispose, vous comprenez ?

    Dans cette note donc, j'informe, et invite. Sans aucune obligation d'achat/lecture, c'est évident... mais non, je ne mets pas non plus mon livre en ligne.

    Merci de votre passage, Andre. Et vous, qu'en pensez-vous ?

  • Que vous faites votre pub.

  • Oui atout.

  • Soit.

  • Jojuri > ma parade - que vous rendez vaine... se fait promesse de passer (chez vous - par écrit), mais ma retraite terminée...

    Je suis prête - dès aujourd'hui - à recevoir des échos du livre, mais ne l'étais pas - hier encore... alors, merci Joruri ?!

  • Bonjour Marie Gabrielle...
    Dis, ce n'est pas surtout le rôle de ton éditeur de s'organiser pour faire connaître ton travail ?

  • *0* > ...et bien, disons que je n'ai pas le temps de "potasser" la question des éditeurs.
    En revanche, il m'est arrivé de lire le souhait des éditeurs-petits... mais non par la vaillance ! - de se rassembler afin de trouver une meilleure assise (plate-forme ?) commerciale destinée à leur faciliter un passage en librairie - loin d'être évident. C'est une réalité dont j'avais été informée - avant.

    J'aime énormément ma maison d'édition, dont j'apprécie les choix éditoriaux dans l'air du temps que je respire, ainsi que la fiabilité, le sérieux et la simplicité. Je suis sûre qu'elle saura relever les défis de notre époque - cela avec succès (avec ou sans moi... mais j'espère avec, et pour longtemps).

    C'est donc à moi de m'organiser... à l'image de General Electric, n'est-ce pas ? Hein ? Oui ? Bientôt ? Toujours ?

    En fait, l'objet de ma note est également d'informer de ma halte prolongée, due à une surcharge de travail - et de profiter de ce que je commence à aimer mon livre dans sa structure et même son absence de stucture (il était temps !) pour avoir envie de le faire partager.

    Merci à toi, et bonne continuation...

  • J'arrive trop tard, c'est déjà fermé. Il faut dire que j'ai traîné en chemin...
    Merci pour vos visites et ce lien.

  • DD > De la lumière au refuge... il est ouvert !

    Hum... vous plairiez-vous encore à la glisse des vagues de chez nous ? Je suis touchée de vos paroles... osant jusqu'à vous proposer de faire ici une sympathique ballade... entre chien et loup ?

    A bientôt, Dehors dedans... (juste quelques mois, pour moi, avant de m'autoriser à sortir à nouveau - quelque chose... de quelque part), et merci de votre lenteur à vous être rendu chez moi, d'où je vous reçois bien... je crois même, 5/5.

  • Un article concernant l'avenir des petits éditeurs. Intéressants.

    http://www.lekti-ecriture.com/contrefeux/Et-si-l-avenir-des-petits-editeurs.html

    Sympathie, MG.

  • Merci pour la précision... Chloé. Nécessaire..

    Un autre point est celui (lui - aussi, lu) d'une réalité éditoriale tellement multipe - d'ïlots... qui seraient (eux - aussi) à rassembler (mais ici encore : précaution d'usage et précision...) - au fond - dans ce qu'ils ont à dire ? Alors oui, le net et ses liens sauraient-ils être utiles... de mon côté, j'ignore que j'interroge !

    A bientôt pour vous répondre, quand j'aurai lu, et - si besoin.

  • Marie-Gab. on peut s'écrire en off. La traversée des écritures et son mouvement en retrait du "montré" public, m'intéresse, parce que il faut des lignes de vie à palper dans l'obscurité relative de toute aventure d'écriture. On ne passe qu'un(e) à la fois mais sous quelques regards bienveillants, on peut oser le pas qui fait peur entre deux encoches inconfortable de la paroi, autant dire de la page où s'arrimer...

  • Mth P > C'est ok... mais la voix off est une voie qui s'offre ouverte à l'onirique.

    Ce que j'aime dans toute poésie est la texture au séchage encore crémeux de la parole qui s'étale - peinture en feu des caligraphes. Tout est là (à) plat, et... si ça pique... c'est d'être entré en eux ?

    Et puis, Mth P, j'ai calé (au bon sens, de drôle) - buté, sur une phrase (bien) de chez vous à propos des femmes et de leur écriture (...votre note du 8 mars).

    Oui ! parce que moi j'aurais besoin d'un décapsuleur - et que vous m'expliquiez... (d'accords).

  • Yoyostero > j'essaie d'écrire votre pseudo sans m'entendre le lire autrement... mais c'est alors marcher sur des oeufs en éléphante et pire... y fêler, de la pointe !?

    Oui... vous avez lu, et je vous en remercie vraiment, car votre présence ici toute italienne - votre présence (je suis aussi toute italienne et par moitié), m'est un présent d'altière soulevant altère une vague, et le vent des mains pleines de ce talc - encore blanc...

    Hum... lorsque je sortirai d'ici (je m'impose de ne pas le faire pour l'instant, ayant de lourdes charges familiales, mais tout particulièrement en ce moment...), j'irai directement sur votre blog ; échanger (j'y ai déjà lu).

    Dans l'immédiat, oui... j'ai du mal à prioriser mes efforts sur la diffusion - si ce n'est qu'un super article vient de m'arriver dans une revue fraiche de l'année - d'une avant-garde littéraire italienne.
    Je suis donc bien heureuse... d'autant qu'une traduction est en cours, que j'irai valider, pour Pâques.

    Un grand merci - de votre signe...

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