"Impair en pair"... 40 notes à venir, et un petit fagot de mots déjà si chauds à la froidure des braises...
Crépitement d'un hiver silencieux à venir, elles se feront discrètes... sauf à vos comm. ?
Blogguer (...et parfois même catcher !) a déjà fait de ma demeure une auguste masure...
La famille aussi a besoin qu'on lui dise "oui"... de temps en temps...
Oui ! merci !
Je serai présence - disant même plus... délitescence - pour vous...
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Comm. ouverts...
Je vous salue, sincèrement.
A très bientôt...
Commentaires
"Un être en pair", c'est quoi ?
c'est comme un être en paix mais en plus nombreux et moins paisible...
Koan, "l'être en pair" poétique (je vais corriger), serait d'avoir oublié que la poésie ne donnait aucun droit à l'immobilisme.
Je suis ouverte et par avance à toute formulation étrangère (à la vision actuelle) afin d'élucider au mieux mon propos...
En d'autres termes, Koan, "l'être en pair" identifie à l'état de poète, et non à son rôle, ni même encore à son action.
Trois différences ?
Je crois, pour commencer.
Pas compris. épais. Lourd. En plus, j'adore l'immobilisme, constatant que plus les hommes agissent, et plus le monde meurt...Mais peu importe, pourquoi ne pas écrire : l'état de poète alors ? Ou mieux, comme je l'écris moi-même, " en stase poétique ? " Ca marcherait ou je n'ai rien compris ? Vous savez bien que poésir en Grec signifie "agir/action... Le verbe est performatif, je pense.
Vous avez ENCORE raison, Koan... l'immobilisme interroge un regard ouvert à 360 degrés, sa question "pourquoi" s'adressant au moindre petit doigt bougé...
Marie Curie disait, qu'il "FAUT AGIR !". C'est en ce sens que je le crois aussi.
Je ne connais pas l'expression de "stase (extase ?) poétique" et tâcherai de l'y voir chez vous.
Je n'ai pas dit, remarquez, que le poète n'avait pas le droit - bien au contraire, d'opérer immobile ; j'ai précisé que cela n'était en aucun cas un privilège assis sur un droit.
Oui, ça marcherait, comme vous dîtes..
Koan > j'ai apporté quelques modifs à ma note grâce à vos interventions judicieuses... ça va mieux comme ça ?
Un poète et un poème qui marcheraient "à l'autre", ici le "pair", dans le sens où ce serait cet autre, ce pair qui fournirait le souffle de l'inspiration ?
yes Sir, comme on marche au super... sans tongues.
VESTIGE AUTOMNAL
Un souffle court sur une expiration romanesque, langueur frénétique qui chausse des trapèzes hélicoïdaux tout en survolant d'éblouissants champs de mines déconfites. L'étendue de la profondeur des gorges d'un septentrional affluent lui inspire un sourire malicieux, sarment de bois de rose offert en hommage aux dames de bonne volonté, ultramarines éphémères s'ébattant gaiement dans des lacs escarpés. Le gué attend le passage des grues cendrées, l'automne se termine dans une flamboyance atmosphérique et la toundra se couvre des cendres asymétriques du camouflage inodore pour permettre à la nature de changer de pelisse et d'enfiler son sarcophage attractif, futur berceau d'holocauste festif.
Euh, je ne suis pas sûr que ça méritait une modification...Excusez-moi...
Euh, je ne suis pas sûr que ça méritait une modification... Excusez-moi... Je ne suis pas assez cultivé pour juger de la différence. Disons-le ainsi , je me sens "poète" (si seulement...) du sensible, plus que de la pensée...Bonsoir à TOUS les commentateurs aussi.
Allez savoir pourquoi, puisque je comprends mal, j'adore lire gmc. Plein de trouvailles.
Pneumatique à l'adresse des lecteurs du futur... la note initiale a été effacée par le sable charmant.. et remplacée.
Merci de votre patience, et compréhension.
Smack amical et salutations tout aussi amicales à votre famille.
koan