Une poupée de fer
Allait dansant
A ce mot teint de vair
Tout en branlant...
Sa voix tinte l'hiver
Eperdument
Arrivée la dernière
En s'en voutant...
Une cale étrangère
Etonnamment
Enchaîne un ver de terre
A l'aube un temps...
Une poupée de l'air
Assidûment
Emporte à nos enfers
Tous nos parents...
Une poupée Amour
En son mitan
Embrasse un autre vers
Et s'enlaçant...
Tous nos petits mystères
Désenvoûtant
Auront à la chaumière
Conté l'amant...
A nos bras de misère
Amoureusement
Arrête un bras de mer
En s'immisçant...
Vouons à la rivière
Tout en cabrant
Le culte de sa mère
Celui du temps...
Où la poupée de fer...
Commentaires
Dans la langue de Molière
Madame Montant
Vous êtes singulière
et j'aime autant...
difficile
La Marie Gabrielle poète me plonge dans un ravissement béat. Affectueuses bises.
Merci pour tout Marie Gabrielle.
Et bon week-end!
C'est un délice cette chanson
c'est frais
d'autant que des jeux de mots cachés
racontent tant...
ah ce que ça me plaît !
et replaît !
Dharma > j'ai peur d'entendre mal... (est-ce que vous aimez ?)
Tock > je n'ai pourtant même pas souri.
Ariaga > merci pour ton soutien... bises.
Bona > je suis émue par l'idée de votre présence - pluriculturelle.
Et vous en remercie, pareillement... rêveuse.
Viviane > TON sérum de vérité honore un fait...
*O* > (pardon d'oser...) Replay ?
ha ha !! (tu m'amuses beaucoup !)
Oui, j'aime beaucoup !
Alors, merci à vous...