Adieu des dimanches pluvieux - la rangée de douze sourit vicieuse absente au ventre malheureux - son corps est souple de la fumée d'un dieu et son amour - tangible - comme peut l'être au mort du regard uni - silencieux, le dialogue imperméable à l'aveu - disant qu'il savait mieux - le canal de buée, sur une plage horaire à ce fonds monétaire où tu voulais - pieu d'orge, en mystère ambitieux, mais toujours ce silence - ou le son silencieux...
Le sourire de ton ambition vaine enroule rance un jour de soie, pour y tracer le vers qui l'ennuie de sa liqueur en pire d'amours anciennes payées d'heures perdues - vaines - que Femme fit Ange...
Sa voix d'or lègue - langues - les ferments odieux que j'ignore et je fonds, imprégnée de la loi, au détour - pieds et foi - du refrain de sa main qui persiste - où l'amour était triste - quand il se ferait bien...
Commentaires
l'amour n'est jamais triste sauf ceux qui le font cents amours
En fait, Io - je crois que ce qui fait tomber la tristesse est peut-être lié aussi à son absolu.
Tristesse, haut refuge mordoré de l'amour, qui ne saurait renoncer à son absolu.
. > La couleur mordorée, comme parole... vous avez raison, c'est l'amour, dans l'absolu d'un pas.
J'ai cru un instant à une erreur de concordance, de ma part : il s'agissait alors d'une qualité...
La probabilité n'était donc encore pas en cause, mais uniquement le fait de savoir.
Merci de votre lecture attentionnée...
C'est presque le rentrée avec ces si beaux textes ? Bises.
Oui, mardi...
La rentrée ne se fait jamais bien toute seule - le tout serait donc de faire une montagne de rien - rien.
Je vais encore laisser choir un peu mon lieu - dans ses textes, car j'ai besoin de consulter...
A bientôt donc, Ariaga !!!