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Panino Pianino (8)

 

Adieu des dimanches pluvieux - la rangée de douze sourit vicieuse absente au ventre malheureux - son corps est souple de la fumée d'un dieu et son amour - tangible - comme peut l'être au mort du regard uni - silencieux, le dialogue imperméable à l'aveu - disant qu'il savait mieux - le canal de buée, sur une plage horaire à ce fonds monétaire où tu voulais - pieu d'orge, en mystère ambitieux, mais toujours ce silence - ou le son silencieux...



Le sourire de ton ambition vaine enroule rance un jour de soie, pour y tracer le vers qui l'ennuie de sa liqueur en pire d'amours anciennes payées d'heures perdues - vaines - que Femme fit Ange...


Sa voix d'or lègue - langues - les ferments odieux que j'ignore et je fonds, imprégnée de la loi, au détour - pieds et foi - du refrain de sa main qui persiste - où l'amour était triste - quand il se ferait bien...
 

 

 

Commentaires

  • l'amour n'est jamais triste sauf ceux qui le font cents amours

  • En fait, Io - je crois que ce qui fait tomber la tristesse est peut-être lié aussi à son absolu.

  • Tristesse, haut refuge mordoré de l'amour, qui ne saurait renoncer à son absolu.

  • . > La couleur mordorée, comme parole... vous avez raison, c'est l'amour, dans l'absolu d'un pas.

    J'ai cru un instant à une erreur de concordance, de ma part : il s'agissait alors d'une qualité...

    La probabilité n'était donc encore pas en cause, mais uniquement le fait de savoir.

    Merci de votre lecture attentionnée...

  • C'est presque le rentrée avec ces si beaux textes ? Bises.

  • Oui, mardi...

    La rentrée ne se fait jamais bien toute seule - le tout serait donc de faire une montagne de rien - rien.
    Je vais encore laisser choir un peu mon lieu - dans ses textes, car j'ai besoin de consulter...

    A bientôt donc, Ariaga !!!

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