La jouissance féminine dépend de l'amour au phrasé court de la matière intéressée par un feu tigré intégrant au ténor arpenté de perles allambiquées aux ardeurs souterraines le saint espoir de vivre attendri.
Je me sens petit tas d'or aux bras amoureux tandis que je suis ronde et que tu m'aimes. Alors embrasse-moi beaucoup - partout encore...
Ce flot bleu des doigts assistants du goût des attributs de la pensée d'un autre n'envahit plus sans la mysogynie des faibles.
Commentaires
Lu dans le désir de vous entendre dire votre texte sans signes de ponctuation...pourtant si ponctué.
C'est beau comme le feu qui se consume lentement dans l'athanor.
Sans ponctuation... comme dans l'ancien testament.
Sans ponctuation... jouissance continue.
Prenant sans détour, déplié.
. > merci de me le suggérer...
Ariaga > votre écriture me rapproche souvent du coeur en tant qu'organe voisin, et je ne comprends pas que cela soit possible... une vie d'avant et d'après la mort - alors en vie ?
Nebo > je l'ignorais...
Caillou > je cherche encore un référend... vous ?