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Marie Gabrielle - Page 7

  • Lire

     

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    - Lire ? - à moitié saoulée par la joie... Détruite - par l'autre investiture - que sont vos lois.

     

     

     

     

     

  • Silence d'envie

     

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    Son doigt de fée s'en est allé courir derrière la foule ! La soif, l'aubépine, deux ennemies au bain... La folie est courante ! Je voulais dire la chance, à ceux qui ont trahi, ceux-là - emplis de doutes, mais enfermés - aussi. 

    - Son silence d'envie... parricide. Fortuit...

     

  • Ecrire...

     

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    Tout est affaire de sens - triste, était leur amour d'un pitoyable effort. Ecrire à l'oracle pensant, cessant, voûtant l'ennui - vissant encore ses rêves, las - d'entonner en cage...

     

     

     
     - La pensée pour chacun, mais le baiser pour tous ? Une pensée pour vous... un baiser pour chacun.

     

     

     

  • Etrangère vertu...

     

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    Le travail s'est parfait dans la partition à écrire. Tout est affaire de dons - restés à définir...

    - Aurait-elle donc... menti ! Vivez votre vie belle.

    Voyez le caractère... vous n'avez pas voulu... elle n'avait plus paru. Etrangère vertu de qui s'est fait un ange, n'est-ce pas ?

    - Aurait-elle su ? Je l'ai trouvée émue, devant ce fait étrange, que vous aurez vécu...

     

  • Enfant de la Terre

     

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    "Elle"... n'aurait rien à voir.

    La petite fille n'avait rien eu à voir, dans la brutalité d'essences - un biais vertigineux, ou la cisaille de l'antre - un, seul, déprimé, abandonné - à son dieu.

    "Viens..." - murmurait sa gueule ouverte, les jambes - froides, priant d'y engloutir un avenir du monde...

    "On ne papote pas sur l'avenir du monde..." - répète un père, qui dans la fronde aurait grandi les armes et, crépitant le seuil encore tout engourdi, là, juste à côté d'elle - et puis, de qui la gronde - hautement souri. 

    (Humm... le métier est trop dur ! Le petit bout de terre... sera-t-il donc honni ?)

    L'enfant lit à son père - encore tout ébahi, qu'en son pays le petit doigt de fer ferait qu'on dise oui, à tout ce qu'il sait taire... Elle - opérait la nuit (quand d'autres pensent à braire...).

    - ...une part à l'ennemie, que l'autre avait bannie ? (la fille omet la mère... qui n'aurait pas ourdi).

    - Vous ? - enfant de la Terre, écoutez bien ceci : l'ombre du Monastère est à notre merci...  Vous étiez l'équivoque - et l'ancienne partie...

     

    * * *

     

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  • L'ombre du Monastère...

     

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    - ...une part à l'ennemie, que l'autre avait bannie ? (la fille omet la mère... qui n'aurait pas ourdi).

    - Vous ? - enfant de la Terre, écoutez bien ceci : l'ombre du Monastère est à notre merci...  Vous étiez l'équivoque - et l'ancienne partie...

     

     

  • Le petit bout de terre

     

     

    (Humm... le métier est trop dur ! Le petit bout de terre... sera-t-il donc honni ?)

    L'enfant lit à son père - encore tout ébahi, qu'en son pays le petit doigt de fer ferait qu'on dise oui, à tout ce qu'il sait taire... Elle - opérait la nuit (quand d'autres pensent à braire...).

     

     

     

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  • Viens

     

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    "Viens..." - murmurait sa gueule ouverte, les jambes - froides, priant d'y engloutir un avenir du monde...

    "On ne papote pas sur l'avenir du monde..." - répète un père qui, dans la fronde aurait grandi les armes et, crépitant le seuil encore tout engourdi, là, juste à côté d'elle - et puis, de qui la gronde - hautement souri. 

     

     

  • La petite fille

     

    "Elle"... n'aurait rien à voir.

    La petite fille n'avait rien eu à voir, dans la brutalité d'essences - un biais vertigineux, ou la cisaille de l'antre - un, seul, déprimé, abandonné - à son dieu.

     

     

     

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  • Introduction

        Prise un jour, jouant l'eau de la rivière de peau qu'un glissant serpent d'acier vert à ce puissant amant martela d'étoiles - à ce front d'ivoire... je décrivis, par son aspect - la couverture triangulaire de ce brillant de foi qui a fait l'eau.

        La loi venue d'ailleurs s'épandait encore en des bras que j'aimais, tandis que l'amour d'un jour fuyait son tour, une gorge nouée douloureuse et sa note tenue d'infinies paroles amères...

        J'aurais pénétré l'endroit plaisant au dieu rallongeant notre ciel de quelque décennie, sans le sourire envieux de la mort joyeuse  jaloux de la séquence à deux tressant des peines comme amoureux du parler doux de duveteuses soies animales.

        Je choisis au caillou du trois de lier secousse et tendre émoi, puisque ce barbare édenté - courant des bois à sa perte - la mienne absente, je buvais au courant des trois ajouté - succédant à cet autre détroit...

        La danse longue, ronde - j'applaudis pour toi, et toi seul - le dieu pour l'homme, et pour celui que j'aime... l'une des pierres qui grondent sous ce jeu d'eaux miséricordieuses.

     

        A nous, donc - aux autres,

     

     

     (A mi-parcours, p. 5)

     

  • La gratuité du don

     
        La gratuité du don empêche que nous perdions notre temps, l'espace auquel nous appartenions.

     

       Ce ne sont ni les mots, ni les idées, ni les ponts, ni non plus d'avoir raison, ni de percevoir la rançon - ni de comprendre votre jargon... ni de jouir de votre illumination !

     

        C'est l'amitié du rond pendant la reddition lors de la rémission.

       

     

        A la vie, à la mort - à ce panier d'erreurs et de déglutitions...

        A l'oubli de mon nom !

         

     

     

     (Le livre de l'anomalie, p.72)

     

     

  • La blessure

     

     

    L'abus du maître... met à l'envers ce corps.

     

    Tu sieds, tu ne sais pas.

    Tu dois, ne le dis pas.

     

    La blessure est ce qui te sauve d'un nouvel aurevoir.

     

    Je sais où dans ton coeur puiser la dime faisant régner l'erreur, dirait-il, magnanime - le maître en foi !

    Seul, est un maître nu, cratère de mue sans âge... sevrage de nos rues...

     

     

     

     

     

    A la question qui suis-je je répondais comment il servirait de le savoir sans connaître mon nom...

    Grande paresse de qui s'en est allé quêter l'Amour...

     

    Passer par le plaisir pour accéder à l'être...

    Commencer d'écrire un poème à travailler, en traduire les idées maîtresses...

     

     

     

     

     

    Plus besoin de coussins, ni de parade, la porte refermée, il cède là où l’appréhension physique masquait la peur plus spirituelle : sa nature…  Embrasse-moi, emmène-moi - embrasse-moi - aux mains sales - écoeurée, l’amour brassé, regard poilu, sourcil félin exorbité de singe, désir moribond -  meurtrière - vague et trépas anguleux blasphémant tes pas... Ne m’oblige pas, mais sauve-toi : ils viendront protéger ton souffle... Il ne voit pas. J’oublie, face à l’amplitude couvrant gêne bourgeoise et vers éjaculés quadrillés des faits mal armés de notre courage des mots malhonnêtes. Ouvrage catin, experte en lendemains de  femmes assorties utérines : paradoxal, amical, oral, peureux, moral - amour au féminin désireux du lien. Plus bas : au romarin épris de repentir : « reviens, reviens, demain… ». Cet amour - au pré des verbes mensongers épargnait le regard sulfureux du seul amoureux combattant l’heure duelle - d’une plainte et sosie - chantant, quand vous parlementiez - riant, quand vous émerveilliez, égoïstement travestie… sa maison faille au plébiscite.  

     

     

     

     

     

    Le jour est aujourd'hui celui d'hier...

     

     

     (A mi-parcours, p.7 et 8)

     

     

  • Terre

     

    Quel mystère ?

     
     
    Deviendrait-on pas femme en reniant la féminité de sa culture de zouave au temps seul de l'échange entre élans pitoyables étant hissée toujours comme hydratant mirage ?
     
    Elle savait ! fleur jaunie par sa hauteur - le héros pourpeline au souffle de la Terre - une déflagration figurant sa vérité...
      
    Par une écoute saine l'expérience prévaut sur cette voix si grave en ce refus des mots que l'on dit pour se taire alors pris en défaut.
     
     
     
    En poète, j'en ramasse l'éclat...
     
     
     
     
     
     (Au milieu des chants, p.18)
     
     
  • Chair égale

     

     Quel auteur ?

     

    Panino Pianino n'avait pas rougi - les yeux pourtant braqués des angles dessinés présents repentants naïfs, à cet axe fastueux qui conduit en magie au mot simple qui meurt...
     

    Elle, amoureuse - arrachait par poignées les cheveux tombés de main forte à la rosée qui s'éveillait homme gris - l'oreille des mots promettait le suc onctueux d'une chair égale à ce goût pimenté de la coquille Saint-Jacques... 

     
    Un coeur enchaîné, la dame embellie tambourina s'investissant de la dague encore profondément enfouie - son histoire, secrète - le ton de son amour saccadé d'un creux de la voix qui s'inonde - à la flamme tremblante de toute idée ; le verbe absent s'aimait ainsi, laissant aller ces mots : "Ecris-moi des étrennes sur la peau...".
     

     

    Jouer sur les mots intime veto...

     

     

    (Au milieu des chants, p.8)