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Marie Gabrielle - Page 9

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    Tout bien considéré la colonisation de nos planètes d'eau, les nouvelles dimensions attribuables à leur esprit patriote ouvriront au second espace, dont cette toile infinie servira de passerelle conduisant à l'espace interplanétaire par sa mort cruellement défiée : une intelligence vive - conservée, dans un dialogue sauf.

     

  • Parfaits

     

    Nous ne sommes pas parfaits, et nous fichons de l'être. Pourquoi s'était-on dit qu'il n'y avait pas d'histoire ? Je crois à ce simple miroir, mais toujours pas au forum, car il empêche le temps de se flétrir - de s'oublier à cet effet jouissif de la déduction : ce sont nos chairs qui lissent, ambres du jour, osé...

     
     
     

                                                                                                                                                                                        (...)

     

     
  • Harcèlement

     

     

        La colère de tes doigts empêchés de jointer la joue envenime ma loi qui fuselait le poids du magnétisme à l'homme de bois - ravisant ton minois...

     

        ...redevable d'un harcèlement.

                                                                                                                                                  (Le livre de l'anomalie, p. 53)

     

     

  • Un sexe

     

    Un sexe qui pénètre ronge et range édifice d'audace requise à de nouveaux supplices. Mes peurs auront séché son oeil rougi par la brise des cieux, corsettant le dieu sincère que j'étais en colère du dessein des adieux au choc maléfique.

                                                                                                                                                            (A mi-parcours, p. 90) 

     

  • Nu...

     

    Sans donner la vie, donner la mort, donner sa vie sans la mort. Ce livre est impie ! Un rire étrange - ma vie, ton livre, le songe de la vie qui se répète : oui. Je t'aime infiniment paysage aux otages impartiaux de l'autre horizon d'homme - nu, parce qu'il est beau... Un rire éclate, et mille morceaux de suite : Errante.

                                                                                                                                                                                        (...)
     

  • Etreinte

     

    "Sexe - outrage à l'amant, ouvrage de suie. Mon sexe indissociable, humble cordage au mirage qui trahit, vous m'encombrez de vers zébrés... je vous aime à présent. Vous m'aimez damnée. Malingre répétition de paons, cela - redîtes-le souvent, segment amical ! Vous croyez simplement, sans être jamais sûr. Je sais comment vous profitez de cet instant où j'entends. Je barre pour émietter face au vent, car je veux vous quitter, un temps. Solitude. Les mots simples et tranchants, je tremble et vous assure n'entendre pas vos murs... Je suis au masculin quand une colère m'étreint. Je crois que je n'arriverai pas à prendre la place qui mappartient. Il est si beau qu'il n'en fait pas souffrir... Le laisser au hasard ? Il est des mots qu'on étourdit... Des corps longs à s'éteindre... Si prompts à la saisie. C'est un livre très féministe assez bon... et redoutablement machiste, plutôt long."

     

    (A mi-parcours, p. 40-41) 

     

     

  • Sincérité

        "Ma colère est sincère : la balle - que j'enterre, n'est pas prête se taire. Elle est une autre mère porteuse d'un autre voeu. J'y vois du caractère et dessine un peu mieux... voudriez-vous, mon père, claquer cette portière ? Je dirai cet adieu - et tairai ma misère..."

     

    (Le livre de l'Anomalie, p. 35)

     

      

  • Les petites pages

    Le miroir est en vie un mot qui ne s’efface pas… On s’adressait ou pas à des étrangers… L’entrée s’est trouvée là… Au milieu des chants – une ouverture en net à cet ailleurs personnifié qui m’a fait vous parler... Les mots sont encore ceux des condamnés…

    Une parole était, aura été, ou sera née de la plume toujours mobile de l’auteur en quête des vies du personnage qu’il ou elle a aimé...

    Panino Pianino sensibilise entière la corolle d’une gamme vivace quand il épie l’espace du propre souvenir...

     
    Quelle est donc cette voix qui m'appelle, et se troue ? Grand cadeau... tu m'as oubliée... Cela - c'est toi que je connais et peux rencontrer... Quelle est cette matière - que je peux rencontrer ? Est-il mort ? Pourquoi est-il mort ? Si je les tuais - je mourrais, avec douleur contraire à lâcheté, mais douceur éphémère... La tension n'est pas la mort... Le fait de sombrer - ou de tomber, si... Sept pensées. Sept enchaînements... Et la mer.

     

  • Au milieu des chants

     
     
    Le miroir est en vie un mot qui ne s’efface pas… On s’adressait ou pas à des étrangers… L’entrée s’est trouvée là… Au milieu des chants – une ouverture en net à cet ailleurs personnifié qui m’a fait vous parler... Les mots sont encore ceux des condamnés…

    Une parole était, aura été, ou sera née de la plume toujours mobile de l’auteur en quête des vies du personnage qu’il ou elle a aimé...

    Panino Pianino sensibilise entière la corolle d’une gamme vivace quand il épie l’espace du propre souvenir…

     

    Marie-Gabrielle MONTANT poursuit ici la trilogie de l’attente courtoise qui anime ses deux ouvrages parus aux Éditions du Cygne, et se prépare au jeu de sa nouvelle écriture. Le livre de l’anomalie dit un passé. À mi-parcours révélait un présent. Au milieu des chants décrit à son avenir – un chant.

     
     
     
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  • G

     

    Quelle est donc cette voix qui m'appelle et se troue ? Grand cadeau, tu m'as oubliée...