...y insuffle sa parole sombrée...
En poète, j'en ramasse l'éclat...
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...y insuffle sa parole sombrée...
En poète, j'en ramasse l'éclat...
Où ce mot fuse qui distingue, comprenne à cet amant des saules un dévoiement honnête en cas d'égaré : "You could and should..." - où ton âme ensorcèle - en dame à cet oubli des mots, la blanche fauchée...
Parole fuseau, langue capeline - grelot par un don de fer courbe à ses travers légaux, le livre jamais ne se vide où tu cherchas l'inspiration.
Les mots sont force et tu les dois égaux à ceux qui nous précèdent - Panino ! - que nous véhiculons, puisque le combat brise - en message au sourire figé - son ombre en propos ennemi...
La jouissance féminine dépend de l'amour au phrasé court de la matière intéressée par un feu tigré intégrant au ténor arpenté de perles allambiquées aux ardeurs souterraines le saint espoir de vivre attendri.
Je me sens petit tas d'or aux bras amoureux tandis que je suis ronde et que tu m'aimes. Alors embrasse-moi beaucoup - partout encore...
Ce flot bleu des doigts assistants du goût des attributs de la pensée d'un autre n'envahit plus sans la mysogynie des faibles.
Adieu des dimanches pluvieux - la rangée de douze sourit vicieuse absente au ventre malheureux - son corps est souple de la fumée d'un dieu et son amour - tangible - comme peut l'être au mort du regard uni - silencieux, le dialogue imperméable à l'aveu - disant qu'il savait mieux - le canal de buée, sur une plage horaire à ce fonds monétaire où tu voulais - pieu d'orge, en mystère ambitieux, mais toujours ce silence - ou le son silencieux...
Le sourire de ton ambition vaine enroule rance un jour de soie, pour y tracer le vers qui l'ennuie de sa liqueur en pire d'amours anciennes payées d'heures perdues - vaines - que Femme fit Ange...
Sa voix d'or lègue - langues - les ferments odieux que j'ignore et je fonds, imprégnée de la loi, au détour - pieds et foi - du refrain de sa main qui persiste - où l'amour était triste - quand il se ferait bien...
Faire l'amour à ce dieu qu'éblouit ce que ne fit jamais un feu là où tu m'enfermas lorsque je te noyai au fluide parolier qui s'était publié...
Tabula rasa d'un saut divin folle à l'instant de se parler si haut fort à mes lèvres ou trop doux à mon coeur au temps que je vis seule en silence de nom...
Nos deux voix sont l'alliée du désespoir des phrases tombées si court caresse du doigt des beautés de l'amour en sa voie, pour toujours...
Vous rencontrer est rêve incertain...
Ame d'artiste pour l'excellence...
...
J'ai trouvé
ton corps
cette masse au mien
la bouche des efforts
en silence de mousse
d'un lieu de bord...
sondable éternité
présence chaude
fatale surdité
indomptée...
s'atomise...
ton âme ouverte
en circuit fermé
de l'ostensoir
qui luit...
son histoire
abandonne
aux baisers
de l'ivoire
qui fuient
celle qui
suit ...
*
Devoir de vacance...
"Cette chose que l'on ne saît pas encore de moi
qui se figure par sept points nommés
s'affiche ici en ce jour saint de l'année 2007..."
1/7 Une cible à deux mils m'exciterait bien...
2/7 Je m'envoie en l'air avec les mots, en militant pour une mystique sexuelle et non pour la mystifification du sexe...
3/7 Je pense que c'est à chacun de sauver le monde, et pas qu'à moi.
4/7 Pour moi... l'écriture est une nourriture, tandis que la lecture s'attache à la jeunesse.
5/7 Je voudrais savoir pourquoi je ne renie pas la fidélité comme idéal romantique...
6/7 Je n'aime pas les grands menteurs qui sont les enfants vicieux de l'existence.
7/7 Je n'ai pas peur d'aimer.
Et vous ? (le jeu dit sept...)
Réfracteur, Colporteur, Métalogos, lrdf, Ezrah, Pharamond, Pant.
(((merci de vos participations**************
Je ne l'avais pas vu...
lui, l'oiseau plat.
Je le prends avec moi, et me pose sur lui,
main d'en-haut - corps du bas...
Ficelle à mon doigt...
Son adieu précipite ses pas, s'envole et couronne...
Il émet libre, vrai...
cru d'entière filière amoureuse d'un oui
fier et d'hier et d'aujourd'hui...
Parti...
Un aperçu sur la toile avant de la quitter...
Vous dire combien je tiens à vous,
et que j'ai opté pour la ligne...
Ainsi des textes ici créés
demeurés avec vous,
espace de comm...
bel été visité
par nous
A+
Pièces isolées pour se dire à l'aurevoir du ton...
Armoire aux saisons pleines...
Essoufflement de la diction emplie des rêves de sa malédiction...
I'm so very tired... Don't let me alone
Or I'll die...
La naissance de Vénus
Sandro Boticelli