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Marie Gabrielle - Page 11

  • Le deuil de son hasard...

     

    Arpentée par son désir de vivre...
    ...la poésie gonfle une voile...

     ...y insuffle sa parole sombrée...

     En poète, j'en ramasse l'éclat...

    ...au tranchant d'une pensée adepte...
     
     ...pratiquée par ses compagnons de mort.
     
     
     
     
  • Panino Pianino (10)

     

    Où ce mot fuse qui distingue, comprenne à cet amant des saules un dévoiement honnête en cas d'égaré :  "You could and should..." - où ton âme ensorcèle - en dame à cet oubli des mots, la blanche fauchée...


    Parole fuseau, langue capeline - grelot par un don de fer courbe à ses travers légaux, le livre jamais ne se vide où tu cherchas l'inspiration.


    Les mots sont force et tu les dois égaux à ceux qui nous précèdent - Panino ! - que nous véhiculons, puisque le combat brise - en message au sourire figé - son ombre en propos ennemi...

     

     

  • Panino Pianino (9)

     

     

    La jouissance féminine dépend de l'amour au phrasé court de la matière intéressée par un feu tigré intégrant au ténor arpenté de perles allambiquées aux ardeurs souterraines le saint espoir de vivre attendri.


    Je me sens petit tas d'or aux bras amoureux tandis que je suis ronde et que tu m'aimes. Alors embrasse-moi beaucoup -  partout encore...


    Ce flot bleu des doigts assistants du goût des attributs de la pensée d'un autre n'envahit plus sans la mysogynie des faibles.

     

     

     
     

     

  • Panino Pianino (8)

     

    Adieu des dimanches pluvieux - la rangée de douze sourit vicieuse absente au ventre malheureux - son corps est souple de la fumée d'un dieu et son amour - tangible - comme peut l'être au mort du regard uni - silencieux, le dialogue imperméable à l'aveu - disant qu'il savait mieux - le canal de buée, sur une plage horaire à ce fonds monétaire où tu voulais - pieu d'orge, en mystère ambitieux, mais toujours ce silence - ou le son silencieux...



    Le sourire de ton ambition vaine enroule rance un jour de soie, pour y tracer le vers qui l'ennuie de sa liqueur en pire d'amours anciennes payées d'heures perdues - vaines - que Femme fit Ange...


    Sa voix d'or lègue - langues - les ferments odieux que j'ignore et je fonds, imprégnée de la loi, au détour - pieds et foi - du refrain de sa main qui persiste - où l'amour était triste - quand il se ferait bien...
     

     

     

  • Panino Pianino (7)

     

     

    Faire l'amour à ce dieu qu'éblouit ce que ne fit jamais un feu là où tu m'enfermas lorsque je te noyai au fluide parolier qui s'était publié...


    Tabula rasa d'un saut divin folle à l'instant de se parler si haut fort à mes lèvres ou trop doux à mon coeur au temps que je vis seule en silence de nom...


    Nos deux voix sont l'alliée du désespoir des phrases tombées si court caresse du doigt des beautés de l'amour en sa voie, pour toujours...

     

     

     

  • Panino Pianino (6)

     

     
    Deviendrait-on pas femme en reniant la féminité de sa culture de zouave au temps seul de l'échange entre élans pitoyables étant hissée toujours comme hydratant mirage ?
     
     
    Elle savait ! fleur jaunie par sa hauteur - le héros pourpeline au souffle de la Terre - une déflagation figurant sa vérité...
     
     
    Par une écoute saine l'expérience prévaut sur cette voix si grave en ce refus des mots que l'on dit pour se taire alors pris en défaut.

     

     

     

     

     

  • Panino Pianino (5)

     

     

    L'économie des mots coûtait cher à ma flamme - ami dévot, car je serais sa dame - entendant retrancher de ce ventre fleuri plus de feuilles polies de points ailleurs du drame.
     

    Ta poésie n'est pas, car je suis seule toujours en milieu transparent des paroles tenues par ce fond blanc du dos qui s'est tordu - Panino - toi et moi les eaux chargées d'une envie de compas de sa toise.
     

    Les mots disaient un geste et la trame interdite à l'entrée condamnée que j'essoufflais en tête au corps un des semailles à ce voile à la face des choses de vie tracée en pauvre.

     

     

     

     

  • Lieu de bord...

     

     ...

    J'ai trouvé

    ton corps

    cette masse au mien

    la bouche des efforts 

    en silence de mousse

    d'un lieu de bord... 

    sondable éternité

    présence chaude

    fatale surdité

    indomptée...

    s'atomise... 

    ton âme ouverte

    en circuit fermé

    de l'ostensoir

    qui luit...

    son histoire

    abandonne 

    aux baisers

    de l'ivoire

    qui fuient

    celle qui

    suit ... 

    *

     

     

     

     

  • Taguée par Riddims...

    Devoir de vacance...

    "Cette chose que l'on ne saît pas encore de moi

    qui se figure par sept points nommés

    s'affiche ici en ce jour saint de l'année 2007..."

     

    1/7 Une cible à deux mils m'exciterait bien...

    2/7 Je m'envoie en l'air avec les mots, en militant pour une mystique sexuelle et non pour la mystifification du sexe... 

    3/7 Je pense que c'est à chacun de sauver le monde, et pas qu'à moi.

    4/7 Pour moi... l'écriture est une nourriture, tandis que la lecture s'attache à la jeunesse.

    5/7 Je voudrais savoir pourquoi je ne renie pas la fidélité comme idéal romantique...

    6/7 Je n'aime pas les grands menteurs qui sont les enfants vicieux de l'existence.

    7/7 Je n'ai pas peur d'aimer.

     

      

    Et vous ? (le jeu dit sept...)

     

    Réfracteur, Colporteur, Métalogos, lrdf, Ezrah, Pharamond, Pant.

     

    (((merci de vos participations************** 

     

     

  • Parti...

     

     

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    Je ne l'avais pas vu...

    lui, l'oiseau plat.

     

    Je le prends avec moi, et me pose sur lui,

    main d'en-haut - corps du bas... 

     

    Ficelle à mon doigt...

     

    Son adieu précipite ses pas, s'envole et couronne...

     

    Il émet libre, vrai...

    cru d'entière filière amoureuse d'un oui

    fier et d'hier et d'aujourd'hui...

     

    Parti...

     

     

     

  • Aperçu sur la toile...

     

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    Un aperçu sur la toile avant de la quitter...

    Vous dire combien je tiens à vous,

    et que j'ai opté pour la ligne... 

    Ainsi des textes ici créés

    demeurés avec vous,

    espace de comm...

    bel été visité

    par nous

    A+

      

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  • Pièces isolées...

     

     

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    Pièces isolées pour se dire à l'aurevoir du ton...

     

     

     

     

     

     Armoire aux saisons pleines...

     

     

     

     

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    Essoufflement de la diction emplie des rêves de sa malédiction...

     

     

     

     

     
     
     
     
    Je hais jusqu'à la raison de ma peine...
    Avorton.