"Je me repose de nourrir parasité...", confies-tu, à cet obèse - intime d'un doute, au parent du soufre de feu.
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"Je me repose de nourrir parasité...", confies-tu, à cet obèse - intime d'un doute, au parent du soufre de feu.
J'ai cherché la lumière : elle est en l'autre - qui me regarde, ou bien effraie... Ma pensée absente confond les mots qui s'isolent - en frottant pour durer, comme - à ce flux des vies - la menace de mort - automate nourrissant la confiance parfaite en l'outil de sa face, assuré d'un retour à l'objet de sa peur. Aux deux extrémités de la matière, se trouvait l'épaisseur jalouse de la fièvre d'exister - indifférente, à la chaleur humaine d'une aussi simple matérialité...
Je suis très en colère - de ne pouvoir nommer mon âme... Pourquoi ce nom - comme insulte à la Terre ? La gentillesse de feinte - à la beauté du langage, permet d'échapper à la page. Laisse-moi donc aller... je ne voulais pas. Les mots ne me servent à rien dans ce nouvel univers qui s'entend. Je suis fatigué, mais tu demeures, sans une existence creuse des vagues. Je vais bientôt haïr... la respiration redresse - attentif, amoureux - le récif - au milieu - sensible un peu au genre évanescent qui s'échappe des mots - vigile au couteau abyssal et noir... Panino Pianino n'est pas heureux - je le dirais, en choeur : je suis là, vivante... c'est moi qui t'ai parlé : autorise-le, car je le répète : le récit de ta vie serait plus faux qu'à moitié vrai - quand tout dépend de tant, et que tu écris - sur ta stèle... "Panino ait son âme...".
De la poésie au roman se fait le pas unique dont il sera ce chemin doux, captif de nos vérités manifestes - Pianino, tandis que la vie copie des noblesses éteintes et conduit au passage...
Ce rêve en arcades de tempes met le baillon du sang amer à la bouche goûtée des larmes d'oisillons - le rire humain du soupir aristocratique...
"Une déformation introduisait malsaine au seul désir de soi... Ta loi vivace intime à l'escalier de cage ignore en triste mélomane la forme du noyé..."
...y insuffle sa parole sombrée...
En poète, j'en ramasse l'éclat...
Où ce mot fuse qui distingue, comprenne à cet amant des saules un dévoiement honnête en cas d'égaré : "You could and should..." - où ton âme ensorcèle - en dame à cet oubli des mots, la blanche fauchée...
Parole fuseau, langue capeline - grelot par un don de fer courbe à ses travers légaux, le livre jamais ne se vide où tu cherchas l'inspiration.
Les mots sont force et tu les dois égaux à ceux qui nous précèdent - Panino ! - que nous véhiculons, puisque le combat brise - en message au sourire figé - son ombre en propos ennemi...
La jouissance féminine dépend de l'amour au phrasé court de la matière intéressée par un feu tigré intégrant au ténor arpenté de perles allambiquées aux ardeurs souterraines le saint espoir de vivre attendri.
Je me sens petit tas d'or aux bras amoureux tandis que je suis ronde et que tu m'aimes. Alors embrasse-moi beaucoup - partout encore...
Ce flot bleu des doigts assistants du goût des attributs de la pensée d'un autre n'envahit plus sans la mysogynie des faibles.