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A mi-parcours - Page 4

  • Ma réalité, mon Maître

     
    Faute !


    Faisant rien, ayant rien, disant rien, commettant pas non plus l'erreur !



    Non ! Ma réalité, mon Maître !


    Il la chante et charme... lâchant son arme, la danse - fluide, innocentant vertical, aux cerneaux d'angle méticuleux et droits mon antenne droite et sa vision gauche...

     

    Sa réalité invisible tient à la Vie, force de gravité de l'urgence à aimer un silence non négligeable, et son ardent menteur peut l'oublier, donner son baiser - offert à sa prière, un oxygène actif, intense, jouissif et transfiguré aux coups reçus bleutés...

     

     

     Un livre demeure un livre, stèle... 

     

     

    Je rêve à toi libre !
     
    Aventure indexée répertoriée dans son émoi.
     
    Les mots reculent, à force d’être à toi…
     
    Qui es-tu ?
     
    Voix du monde ?
     
    Autosuffisante violence et transe non apprêtée...
     
    Amour courant à rebours du temps, emblématiques tours...
     
    Il n’est pas d’amour absent - le féminin détend des mots clos.
     
    Nous ne sommes pas égaux.
     
    Les mots sont un aperçu du couvent !
     
    Et ce courant m’attend diligemment.
     
    J’aime la fête...
     
    C’est triste, de s’enfermer là-dedans ?
     
    Quelqu’un m’entend ?
     
    Je suis la convertie à d’autres panoplies surprise d’un refus : n’étions-nous pas tous blancs ?
     
    J’ai parlé pour des fleurs n’étant en pleurs que pour quelques amants…
     
    Débutants, encerclés par des vents percutants agonisant pour moi à l’autre place - celle où j’étais néant ?
     
    Je n’arrive plus à écrire, ton prisonnier.

     

  • Tous les jours

      
    Tous les jours à la boîte
    mais non,
    rien...

    aujourd'hui c'est le sage
    qui m'a dit Romarin,
    demain sera la page
    et vous le ferez bien,

    Tous les jours à la boîte
    mais non,
    rien...

    pourquoi perdre courage
    quand vous le savez bien,
    vous étiez vous Madame
    et votre Romarin,

    Tous les jours à la boîte
    mais non,
    rien...

    ou cet envers du mal
    et l'en-deça du bien,
    vous conteniez ma larme
    comme j'avais été loin,

    Tous les jours à la boîte
    mais non,
    rien...

     

    Ce qui est donné, est donné.

    Qu'est-il donc donné ? 

     
     
     
    Je criais à l’enfer qu’il cède, retournant à l’or et aux saisons. Une offre de raison voit le père - au milieu des moutons comme une réalité, à part la salaison des repères...
     
    J’abandonne un instant cet ordre de la diction... Il faut se concentrer sur l’objet de nos pères ! D’où vient la sensation que j’existais hier ? Qu’avant la mort, j’étais déjà - au père ?
     
    Honnêteté d’un baiser… Personne ne m’aura lue mais tous m’auront aimée… La vérité bien camouflée met en colère qui voulait taire bien en contradiction… Les mots ont oublié la parution. Tout s’est transmis par onction - solde, robe…
     
    J’en appelle à la loi notre mère afin de trouver un repère, pour valider nos cieux, poétiser nos jeux, érotiser nos feux… aimer… Est-ce que je parlais d’autres sphères que celle où l’on est amoureux ? Non, seulement de taire une misère.
     
    L’amour est patient, envoûtant, presque obsédant… dynamisant, désobligeant. Est-il blanc, pédant - la pudeur au cœur de ses derniers vingt ans - amusants et farceurs, jouissance de l’amant ? Il meurt… je n’aimais pas l’azur ignorant l’amitié. N’est-il pas un amour de la réalité ?

     

  • Give

     

    Mon Amour, ma treille, mon coeur tout blanc,

    ...give me a gift !

    Oublie que je n'ai pas sommeil, le ventre plein de ton sarment,

    ...give me a gift !

    Tu as coupé le temps, à l'ombre de doux errements,

    ...give me a gift !

    Saigne à présent le cadre d'argent,

    ...give me a gift !

    Phrasé hallucinant, étrangeté du sang.
     
     
     
    Corps enfant sauvage blame,
     
    assis sage,
     
    ablation, millésime de la passion,
     
    qui traça l'autre évolution...
     
    celle du Sage !  
     
    Je l'avais banni...
     
    mis en cage. 
     
     
     

     

    Dans le fourré de verbes cloisonnés se cache un lion cloîtré.
    Sa parution formule un débat…
     
    J’ai foi en votre auto dictée.
    Je connais la voix qui stimule l’entente de nos doigts...
     
    Assez naïve de croire en toi puisant dans mes ramures la force d’être à moi.
    Je revêtis habit plus capiteux que la rime...
     
    Un accent me tue : celui d’une rue où j’imagine en chœur tes actes de labeur auprès d’une âme sœur.
    Domicilier mon cœur… 
     
    Rassurer ton présent et celui de mes sœurs.
     
    Je vends ! 
     
     
    La lumière est à ce titre un dépôt.
    Il y a la rime au crime...
     
    J’ai envie d’être à vous.
    Les faisceaux de lumière qui sont à ma charnière n’entreront pas...
     
    Je suis l’âme errant au milieu des tourments.
    Les mots d’une source, un pas bleu...
     
    Questions observées grains de terre, d’orge ou de blé - pépites d’or, nous jonglons  sur des sons.
    Tout n’est-il pas matière ?
     
    Et nous arrivons... je n’aimerais pas vous plaire.
     
    Des galons à la pierre !
     

     

  • Désir

     

    ...fil à reculer... encombré des mains divinisées... au grand air à l'amour de spiralle... un doigt venin... banni... langue éventée - défaite... tendresse accompagnée... désir de toit... usant... habité... rencontré aimé... réparé rejoué... désir enfanté... lavé... chauffé... désirant... intégré...

     

     

    Mon Amour.

    Mon Enfant.

    Mon Dieu.

    Je suis.

    Eux. 

     

       

    Jusqu’à cette heure qui répertoriera l’erreur...
     
    Saurais-tu l’écho du bonheur ?
     
    Un lieu sans décombres devient papier cendré...
     
    Le flux tapisse un damier qu’on n’a pas occulté.
     
    Parole de rosée que l’on n’avait pas vérifiée.
     
    La première fois qu’on y pénètre, mon cercle amidonné a la saveur d’un été aux remparts désirés par les entités criminelles…
     
    Je comprends le courage de ceux qui m’ont aimée, admirant ma sincérité reconnue par l’altérité.
     
    J’adore une fidélité défiant l’amitié -  et j’attends que nous attendions carcasses - de vaines timidités.
     
  • Insuffisante

    Je vous suppliais de votre page ouverte afin de lire et décrire un visage.

    Votre porte de bois lourds se fermait, insuffisante, quand mon passage avait le sens et l'expression du signe...

    Jeu de go de larmes, laissiez-vous pleurer ma flamme et recevoir ce don gratuit pour une dame ?

    J'embrassais, incarné, tandis que vous veniez au cou veiné poète, orfèvre ou ce que vous seriez charmant, inspiratrice - connue plus tôt que découverte amie, alors...

     

    TO BE, OR NOT TO BE PRESENT ?

     

     

    Extraversion,

    coupable averse,

    trousseau de la nation ouverte...

    dire que je l'aime...

    quand il prend ma main !  

     

     

     …trahir, les gens peureux ?
     
    Caravane, ville reine, peinait, milieu cristallisé, à l’essence de cieux...
     
    Nous avions récité, l’histoire, au miroir...
     
    J’avais craint de décevoir celui qui de nos sœurs épouserait la mineure, blâmé l’oubli castrateur, créé les sons du cœur hasardant - d’un champ d’erreurs les ultrasons menteurs...
     
    Tu meurs... je meurs, entre vous deux...
     
    Je lis - dans vos insomnies l’envers d’un conte !
     
    Le vent - sale des cieux soufflait-il ?
     
    Des mots soldats entraînés, aux crampes vaginales, jamais sortis du cœur - jamais outrageusement soleil levant je les aime, lueurs de chemins repentants - j’éteins ma voix qui est ailleurs…

     

  • Voyeur

     
    Les chemins sont dansants
    qui mènent à l'océan...

    Voyeur ?

    Dépassé le méchant va branlant
    les mots et puis la pêche

    Voyeur ?

    Un grain de beauté pend
    revêche...

    Voyeur ?

    Mes seins sont beaux,
    rosée de firmament

    Voyeur ?

    Dans la flambée des sangs,
    des pleurs, et de serments

    Voyeur ?

    Vous échapper seulement
    en écartait la peur

    Voyeur ?

    Redresser notre erreur !
    tel un filet de peurs...

    Voyeur ?

    Vis ton fait, voyeur, vite on fait, voix ailleurs...

     

     

    ... à la caisse à tiroirs... et l'embout du mouroir... à l'affût du miroir... encaustique !

     

     

    Un corps dit « non » aux rêves de trêve, je pense à vos armées. J’ai peur, écarte un peu les jambes - évertue vingt ans fossoyeurs. Mon squelette est jauni par la foudre, blanchi par la cendre et rougi par l’encens, le magma de pleurs enjambe les corps bannis et j’oublie de prier - auréolée de la jeunesse des anathèmes… Fais chanter l’or désargenté antenne dévolue hautaine à l’encéphale rue… orgasme désordonné… Un chef, blessé au sol, lève sa lourde jambe dans l’axe à la mort harnachée du vent : je marche… Je dirai tout : main de dentelle - tour de main blanc... Je vous assure que je ne suis pas pure telle que vous m’entendez dans vos injures ! Vous avez d’autres leçons à me donner, citoyenne - la manière - à m’enseigner, le fond, la forme  charité. Les femmes ont à leurs formes l’axe que les hommes ont difforme… Mon Amour - à ce fond de haine où tu m’aimes, faisons l’amour… Passants, au Paradis d’enfants bénis. Je veux que tu m’embrasses et me voies et me lies - être à toi plus qu’un lit à l’étroit entre toi et moi. J’avance, adepte des dieux nombreux, quêtant l’ombre farandole.  

  • C'est un Homme !


    C'est un Homme !

    D'où la nécessité d'un sens premier à la bitte, fluvial - doux le port, doux le regard à la nuit sans étoiles à l'aube d'un matin noir.

    Il est là, il te tient, et il t'arrête, c'est un Homme !

    Intérieur, extérieur, deux hommes, une mère, un homme.

    La nuit se fait - fonte... où la source danse, aime !

    C'est un homme qui chatoie, devant celui qu'elle aime, devant l'homme...

    (Un Homme)

     

     

    Cartomancienne de nuits sans âge,

    lumière aux suffrages maudits,

    la gaine musèle de doux errements les rêves de naufrage...

    de l'amant de ma vie. 

     

      

    Je renie le courage à mourir sacrifiée à d’autres otages en quittant le feu d’un autre monde.

    La vie qui l’inonde recouvre un terrain d’ombre : les cactus remplacent les barbelés : c’est la paix du matin d’enfer, d’une nuit très longue…

    Aimer un seul homme en deux lieux. Bras, frein. Le monde allume, un peu dangereux. Il se saisit de moi, des yeux - attend violemment d’être deux.

    La punition du monologue… terme très doux qui parlait à chacun. Je ne comprenais pas ce qu’on plaçait en moi : quels habitants - le non, fort et humain - résistant.

    Mon corps, son cœur loge l’ennemi… Derrière le froid visage du marbre lépreux. Des pleurs secs ne saignent pas, un rire honnête ne plaint pas.

    L’horreur à son comble penche l’édit du ventre. Mes yeux seuls au monde… On plombe la fronde.  

  • Médina

     

    Que l'idée motrice gravée tende le bûcheron, tangue de plomb l'horizon sans un rire, et ce afin que tout l'effort chargé du motif de nos peurs devienne réalité... crainte et partage des mondes par une ouverture à l'écrit de nos références communes dans l'histoire à vivre, de près ou de loin regard voilé de la médina, au mien noir qui s'en trouve...

     

     

    "épouse-moi !", disait-il à la réalité.

    La réalité ? Sa réalité... 

     

     

    L’ennui réduisant à de tout petits riens, nous savions que dehors se trouvaient sous les morts des chansons...

    Un filet logeait seule, la confiance que nous lui accordions, je prenais l’autre résolution…

    Rivière à des gonds de chats modeste émanation des pierres que nous désunissions, paroles élaborées du train de notre évolution, la beauté d’un corps mort trouble, étrennée par l’ami ; il est percutant de voir le corps édifiant, dissident peu vertueux, ventre creux - les tentacules vertes - moment cloîtré, infime paysage - courageuse jouissance vertu aux amoureux… ce conte merveilleux.

    Je veux me souvenir des seins en bois incapables d’aimer vidés de  leur sève !

    La reine fossoyée - squelette envenimé, tortillant affamée son emblème !

    Je déclare la guerre du vin, du verbe et du vous ; on m’encercle les mains, allonge mes bras vers le bas - enferme, derrière la porte en bois…

    D’autres gardiens - penseurs ou musiciens - l’autre porte - assassin de mes lendemains.

    J’allais être une porte et ne le savais point, mais j’allais être morte et ne l’ignorais pas : entre deux - je suis porte, entre deux… je suis morte !  

  • Compost

     

    Ce que vous charriez pour mon compost - je vous en remercie... une suée de lave offense votre... glotte ?

    Vous pleurez ma carotte, avant de feindre un foin vous mentez, j'asticote, et perdure la note...

    Vos talons qui pivotent, instable chose trotte, retenue de ma porte qui claque !

    Morte.

    Bouche dégoût.

    Non ! Bouche d'égout...

     

     

    Parcourir la vie d'un ensemble de mondes...

     

     

    Qui portait ces couleurs ? D’où partaient leurs îlots, aux parfums trompeurs que j’aime trop ? Aux vagues œsophages inqualifiables et sauvages, milieu de saints amas de corps sauvages, maudissant mon visage… où le combat est de chaque matin.

    Une page tournée, un livre s’éprend… A deux, nous allions bien : jambes, corps, train puis soudain, « l’autre », en travers du chemin. Il faut mentir, le temps de ressentir - épousant qui m’aura tracée, retrouvée, aimée laissant derrière la guerre auréolée...

    Accorde à ta main l’ange étrange à mon lit carré !

    Tu échanges avec l’homme charmant…  préfères dénaturer le verbe trinitaire plutôt que la mère aux vers ambrés. Prostituée échancrée, désenchantée - inconsciente des mots qui traversent mon ventre - tombée, je confonds l’amitié brève et la velléité.

    Un souffle empli de cris représente cette vie, d’un amour parti - que cherchait l’assassin dans le noir… J’ai envie de mourir !

    L’espace d’un instant perdurait l’infini firmament - preneur d’une intelligence de la terre : le dieu. Nous travaillions à être ensemble au plaisir offert : j’aurais tué mon père… avais-je inventé l’autre ? Folle, disparue... je ne réponds rien.

    Il a fait froid. Nous étions bien. 

  • Donné

     

    Je t'ai donné beaucoup pour moi même tout...

    Tu donneras ce qui serait autour de toi si tu pouvais marcher.

    Ecartelé par ton désir pantois l'envie de moi sente carré transe méchante et macchabée de la chair hantée des cadences...
     

    La colère et ta fiente misère trop peu méfiante ?

     
    Intelligente parturiente au temps donné où tu aurais compté... d'autres l'aimaient puisqu'un Amour se joue dans la durée.

     

     

     Douleur dans le dos étrange obscène saugrenue carême de la vue.

     Je n'étais pas certaine d'avoir connue la haine...

     

     

    A toi j’avais dit oui - à moi non. Tu disais : l’unique habitant de ton cercle marin oublie aérien l’exaltation du sein - qu’un vertige ordonne aux saisons de reprendre le train, fidèle à la réalité qui l’empêcha longtemps de jouir du seul amant… Je n’étais pas la seule femme. J’en désirais un autre que je dénonce. Entends l’enfant et perçois le tourment… Je ne t’accuse pas - régulant tes pendules sur le quart de mon temps lent d’un amour blessé des meurtrières au froid - pauvre feu de nous deux inerte, et heureux... La pauvreté l’admet : on pourrait être deux à aimer Dieu. Je désire me taire afin d’écouter mieux celui qui de nos mères héritait d’un aveu : nous sommes deux… le sacrifice est l’acte de nos pères : un geste aventureux, créant des gens heureux. 

     

  • L'abus du maître

      
    L'abus du maître

    met à l'envers ce corps.

    Tu sieds, tu ne sais pas.

    Tu dois, ne le dis pas.

    La blessure est ce qui te sauve d'un nouvel aurevoir.

    Je sais où dans ton coeur puiser la dime faisant régner l'erreur,

    dirait-il, magnanime - le maître en foi !

    Seul, est un maître nu,

    cratère de mue sans âge

    sevrage de nos rues...

     

     

    A la question qui suis-je je répondais comment il servirait de le savoir sans connaître mon nom...

     

    Grande paresse de qui s'en est allé quêter l'Amour...

     

    Passer par le plaisir pour accéder à l'être...

     

    Commencer d'écrire un poème à travailler, en traduire les idées maîtresses...

     

     

    Plus besoin de coussins, ni de parade, la porte refermée, il cède là où l’appréhension physique masquait la peur plus spirituelle : sa nature…  Embrasse-moi, emmène-moi - embrasse-moi - aux mains sales - écoeurée, l’amour brassé, regard poilu, sourcil félin exorbité de singe, désir moribond -  meurtrière - vague et trépas anguleux blasphémant tes pas... Ne m’oblige pas, mais sauve-toi : ils viendront protéger ton souffle... Il ne voit pas. J’oublie, face à l’amplitude couvrant gêne bourgeoise et vers éjaculés quadrillés des faits mal armés de notre courage des mots malhonnêtes. Ouvrage catin, experte en lendemains de  femmes assorties utérines : paradoxal, amical, oral, peureux, moral - amour au féminin désireux du lien. Plus bas : au romarin épris de repentir : « reviens, reviens, demain… ». Cet amour - au pré des verbes mensongers épargnait le regard sulfureux du seul amoureux combattant l’heure duelle - d’une plainte et sosie - chantant, quand vous parlementiez - riant, quand vous émerveilliez, égoïstement travestie… sa maison faille au plébiscite.  

  • Impair en pair...

    "Impair en pair"... 40 notes à venir, et un petit fagot de mots déjà si chauds à la froidure des braises...

    Crépitement d'un hiver silencieux à venir, elles se feront discrètes... sauf à vos comm. ?

    Blogguer (...et parfois même catcher !) a déjà fait de ma demeure une auguste masure... 

    La famille aussi a besoin qu'on lui dise "oui"... de temps en temps...

    Oui ! merci !

    Je serai présence - disant même plus... délitescence - pour vous...

    Newsletter... 

    Comm. ouverts...

    Je vous salue, sincèrement. 

    A très bientôt...