C'est un Homme !
D'où la nécessité d'un sens premier à la bitte, fluvial - doux le port, doux le regard à la nuit sans étoiles à l'aube d'un matin noir.
Il est là, il te tient, et il t'arrête, c'est un Homme !
Intérieur, extérieur, deux hommes, une mère, un homme.
La nuit se fait - fonte... où la source danse, aime !
C'est un homme qui chatoie, devant celui qu'elle aime, devant l'homme...
(Un Homme)
Cartomancienne de nuits sans âge,
lumière aux suffrages maudits,
la gaine musèle de doux errements les rêves de naufrage...
de l'amant de ma vie.
Je renie le courage à mourir sacrifiée à d’autres otages en quittant le feu d’un autre monde.
La vie qui l’inonde recouvre un terrain d’ombre : les cactus remplacent les barbelés : c’est la paix du matin d’enfer, d’une nuit très longue…
Aimer un seul homme en deux lieux. Bras, frein. Le monde allume, un peu dangereux. Il se saisit de moi, des yeux - attend violemment d’être deux.
La punition du monologue… terme très doux qui parlait à chacun. Je ne comprenais pas ce qu’on plaçait en moi : quels habitants - le non, fort et humain - résistant.
Mon corps, son cœur loge l’ennemi… Derrière le froid visage du marbre lépreux. Des pleurs secs ne saignent pas, un rire honnête ne plaint pas.
L’horreur à son comble penche l’édit du ventre. Mes yeux seuls au monde… On plombe la fronde.