Marie Gabrielle - Page 18
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Le sens de votre adresse
Sans se débarasser de moireste ombragéil me consacredame éternellepar illétrismeet pratique grisede bouches en Vcarnavalesquesen duode mépriseidéalisémon Dieusoyez donc louépar le nuageà ce fondd'eauconditionnéeaidez-moicharriant la peinej'aime le sens de votre adressedistinguant bien mon coeurau cerveau durcipar une épopéeheureusede l'absurditédu ouidessinant bienmon corps au baiserde couleurs émailléespar un coup manquéma vie...Elle dessinapour moil'éventailau rapporteurdu nonde cette femmecraqueléede terre...L'actuelle cécité duelle évoquant l'onde de la modulation qu'emblématique, soumettait alors ma critique à la carence évanescente... loin d'un carrefour de l’optique… loin !Cet amour effeuillé de la censure, vous trouviez...J’acclimatais de l'air oblique et automate le relais d’obscurité d'un cadran immaculé d'empreintes… salivant un instant étrangère à ces gens - débutant du courage à ignorer ce tourment volage et outrancier.Accusèrent-ils de triphasage intransigeant, mon embuscade ?Soudain apeurée, une myriade d'envoûtements mitraillés, à nos réflexes d’amants mendiants...J'avais mal, au rivage de serments régalant le blanc blé assemblé, jouissant, encourageant - courtisé, stigmatisé du désir chambré d'enfants cachés blessés...Aux artistes de la flambée ?Catégories : A mi-parcours 0 commentaire -
Elle
Elle dessina pour moi l'éventailau rapporteur du non de cettefemme craquelée de terre...(Madrid, Plaza Mayor)Catégories : Le blanc du blog 0 commentaire -
Le Blanc Seing
Ce tableau de Magritte m'aura servi de messager... cela, je ne l'oubliai jamais - souvenir d'éternité.
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Enquête d'un moi(s)
C'est la fête
sur ce blog
boîte aux lettres
que je quitte
en quête
d'un homme heureux
bientôt
mais peut-être...
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L'érotisme féminin
Non,
jamais enfantin...
Overdose de prose acérée,
enveloppée d'ivresse -
le regard en phare allumé -
babille de la caresse
et onomatopée.
Libérée de la honte
d'être aimée accablante...
Prouesse et vanité
de la plante...
vous lisez ?
La bouche est apparente
bocalisée.
La suite à cette autre France que vous canalisez...
Amour, deux vérités...
Vous comprenez ?L'autre qui serait pour une femme autre femme...
Fuir la pluie de limites au verbe de la vie d'un usurier du désespoir aventurier de l'aujourd’hui où j'ai besoin d’aimer ériger sans philosopher ?Point d’amants sans être aimée connaissant la profondeur du temps de cet atout dans la durée ?Donner bouleversée ce monde inversé que vous pensiez ignorant de ce que vous pensez ?Doter de faculté le seul amour connu de cet écrit distancié ?Sédimenter l'aura d'une sphère d’où viendrait un renfort de mousson ?Catégories : A mi-parcours 24 commentaires -
L n'a pas d'étoile...
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Scattered.M-G !
Je connais la soif de cet absolu qui me ferait vivre... et m'applique, par mon écriture, à contacter le vivant habité des mots. Ma création me fait découvrir l'univers littéraire empli des humains qui peuplent la Terre. Alors parmi leurs différences, je suis heureuse d'exister, et le fais savoir en poésie propre des choses.à bientôt...Catégories : Le blanc du blog 10 commentaires -
Dix trois dents
Bébé cadum a dix trois dents...
Dix trois dents est un chiffrement tort !
Chiffre mentor a dit trois dents - l'arrondi fait l'épreuve - à l'étroit dans quoi ?
Dis trois dents...ahnn !
Trop Adam, mm !
mm...
Trot Adam ! ahnn...Qui, a le rythme dans la peau ? le froid, ou bien le chaud ?
La troupe,
ou le toupeau ?
Perdue, morte, endormie, la peur au fond de la matière… tu n’es jamais peureux. Où lisais-tu que j’allais mieux ? Devais-tu - quoi, aux aïeux ? Je suis élue. Le tracé des doigts retenu, je viens blanche combattre des nues. Pas d’échelle… Tu parades à ventre creux le regard gesticule un peu du verrou obscur des cieux qui débusque mes intimes factions ! Je veux perdue au fond de l’océan, quitter celui que je livre à mon étoile des mers caillées redoutant qui m’a déjà créée. Je vois en toi l’aîné : ce fils de fou. Ta parole domptée parle une énergie mûre fleurie de fruits masculins qu'une blessure aura fait ressurgir des flots... Je ne souhaite pas mourir ayant grandi, car j’ai besoin de pères au lit du lieu qu’on m’interdit. Un petit nerf gelé redoutant à jamais sa fronde désossée, enchantée, désirée, violée, malmenée, réclamée, féconde, et bannie mamifère violé - savait, l'autorité de son être héritier.
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Femme d'un autre
Pardon Madame, j'égarai mon adresse
...paisse !
Pardon Madame, j'égarai mon adresse
...fesse !
Pardon Madame, j'égarai mon adresse...caisse !
Toi ! jeune homme - qui t'es plu à tromper la porte, en t'écoutant - à la quatrième ouverture, du pas de l'huile avertie de la sauge - sache accueillir un sot de l'armure, à la fête ventrue de l'autre rive et tombeau du pan de ma paroi tombé sans savoir pourquoi, fruit d'une aventure en esprit - au regard de la femme d'un autre...
Les mots semblent tirer par les cheveux un être délectable appelé à penser par soi-même encore tout décongestionné...
Le courant prisé comme obligation - tout n’est pas sexuel au cœur. Parmi ces formes d’hôtes en rêveries enfantines - orchestration de trêves et moulinet d’action... je veux épouser l’autre en son action. Allons, viens ! Ma réalité parfait la horde de sa combustion où rien n’est gratuit quand on aime. L’herbe à ce mouton sensible est action, qu’on la dise ou la pense... ou que nous la fassions ! Les pattes fragiles de questions aux ailes obsolètes aiment ce qui est drôle… Ne blesse pas mon cœur de grive. J’ai besoin de tes yeux - la pluie arrive. Tu es le centre pensant de l'ogive élégante. Une autre rive échappe étourdie contemple la sphère et rend flou par oubli ! Cueillir en faisceaux des lumières de fleurs pour cet ami...Catégories : A mi-parcours 1 commentaire -
Mon dieu de père
Mon dieu à votre offrande cupide,imprévisible, inconstante et miséricordieuse,
vous auriez ouvert l'abîme,
sans le feu de derrière la vitre abyssale - qui avait frappé.
Il était dieu, je devais quelque chose à ses feux !
Intervenir, amoureux, se battre, tenir, fatiguant l'embrassade à son embrasement nébuleux...
Le mensonge avait fait ses oeufs - escargots mouchetés de braise - mes jeux ?
A la porte, choquée par sa laideur, la troupe entière à l'accueillir - ce dieu disant sa maladresse... paraissant deux.
Un mot de chantage presse ?
Un risque à prendre avant l'aveu ?
Et cet avent de ma détresse, précipitant parmi les dieux...Mon dieu, je vous ai perdu sans finesse, mais le parcours est assez leste, assez targué de ma sagesse, et de vos doigts aventureux.
Mon dieu, sans la profondeur de ma nuit, vous aurez souffert ma tendresse, vos bras trop longs pour la caresse.
Mon dieu de père absent lorsque de la prise à la main de fer... je vous aime !
Eclabousssure de sang, ma mémoire entière confiée à l'abîme, mal entendant, suturant et blessant le coeur de l'autre, j'ouvrirai d'abord la plaie, pour en extraire à la pince ce jaune aventureux, vacance de l'amnésie... et ventre malchanceux...Sourire foetal aux insensibles à l'autre d'autres incapable de la mise en cause et douleur à sa chair désossée... tout est étranger.Sexe, outrage à l’amant - ouvrage de suie. Mon sexe indissociable, humble mirage au cordage qui trahit, vous m’encombrez de vers zébrés… je vous aime à présent. Vous m’aimez damnée. Malingre répétition de paons, cela - redites-le souvent segment amical ! Vous croyez simplement, sans être jamais sûr. Je sais comment vous profitez de cet instant où j’entends. Je barre pour émietter face au vent, car je veux vous quitter, un temps. Solitude. Les mots simples et tranchants, je tremble et vous assure n’entendre pas vos murs... Je suis au masculin quand une colère m’étreint. Je crois que je n’arriverai pas à prendre la place qui m’appartient. Il est si beau qu’il n’en fait pas souffrir… Le laisser au hasard ? Il est des mots qu’on étourdit... Des corps longs à s’éteindre… Si prompts à la saisie. C’est un livre très féministe assez bon… et redoutablement machiste, plutôt long.Catégories : A mi-parcours 3 commentaires -
Corps et âme
Un sujet difficile que ce corps étranger où l'enfant vaque une aile endormie toute âme inassouvie le tracé droit et sage graine de pluie chantée sur l'entrée souterraine légère pente à vagabond...Le désir sonde fonde ressent fourche-sel étranglée dès l'instant du moment retenti de la haine profonde du milieu d'arguments vaste blasphème...
Chaleureuse tendresse à l'élan du poète passait-elle de ce corps innocent-diabuleux-et-grand à ces mots inventés hagards ?
Ame de vinaigre et poids tu abolis des âges au sang sauvage la question.A vous lire, ce coeur bat éreintante saucée la fonte de ses neiges, à planète sablée...
La mort d'un enfant assassine distribue les cartes de rêves coupés, soeur de coeur et frère volontaire ! pour qui l'heure avait pu sonner.
Etincelle résolue muée solitaire je rampe sur la boule du cristal, mais j’ai parlé d’un lit à la rivière ignorant tout de l’écosphère divinement ! La muse ennuyait l’amant distrait enquis attaché de ses mystères ! Chambre mortuaire de forme alanguie demeurée l’habitant terni de notre envie… ce cadeau d'ambroisie ou liqueur de châtaigne, et je rêve à la reine anéantie.Catégories : A mi-parcours 45 commentaires -
Aurevoir
JOYEUX NOël !BONNE ANNéE 2007 !!Je serai de retour pour la Galette...Catégories : Le blanc du blog 26 commentaires -
Endormir
Endormir un relai de fatigue.
Au désir, une porte fermée - coulissante des ombres.
Et puis la fille, qui s'élance bienheureuse.
Ressentie se balance.
On n'y croit pas, ce pas feutré entendu - de l'espérance, disait qu'il n'y avait que moi - de vérité soudaine - à celui - vivifiant - de l'aubaine...
Je ne crois pas l'écoulement du feu doux, chaleureux, écourte les ondes pour sentir mieux - que moi - j'écarte les mondes.
Qui voulait LE vivant ?
Qui LE voulait vivant ?
Avec qui parlais-tu ?
A quel ange obscur cachais-tu ton sein ? montre-le moi bien !
Poisson d’eau douce ! va... c’est ma divine erreur.
Je suis de trop - la moitié d’un noyau protégé de mes sœurs - et tournoie, bâillon à ma foi - écriture absconde... corbeau mon amour, libère d’un jour, où je fuirais ton bras ?
La honte ferait alors voler en éclat ma place utérine contraire à la rime - câline idée qu’on assassine...
Un sentiment m’ignore, auquel je mens !
Vivre ? accepter ce retour dénaturé pour y noyer de coulis mon histoire...
Mouvement circulaire, de civière, et d'atypique maquis militaire, un concert prend feu gentiment, poudrière...
On l’éteint, c’est l’argent, celui qu’on donne au visionnaire, un recul est imminent ; le mot bravé - gravant.
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Peuple des capitaux (1)
Un poison de la vie conduisant l'enfant travesti à ma mort donnée sans amitié - j’aurais fini d’aimer, penché - mort sans cœur - une enveloppe à la froidure glacée, mais elle - qui n'aurait pas été lue, qu'allait-elle faire - dans cet au-delà ?
Le peuple des capitaux soignait son doux visage lorsque, prenant une plume à l’oracle du liquide opaque - j'écrivis, pour ma ville fantôme, qu'une ombre de menace nouvelle assistait au temps, n'ayant encore pas pu y lire...
Dès lors, ces fervents d'une action contraire et solidaire - par le pont des vivants et des morts, ambitionnèrent cette raison féline à l’hypnose, transfigurèrnt leur fatigue de blanche extase à la rose, affirmèrent rien - d'un capital nu, frelaté d'omnivores aériens, seul au monde à l'instant basculé sensible - en gravité de charretier fredonnée, par ses chemins lus - à d'autres pas dominés... Ainsi reconduiraient-ils la demi-morte sur la terre qu'elle ne devrait alors plus quitter.Néanmoins, donnerait-elle sa réponse de sphinx - à un homme - donnée, reçue, ponctuée, vive, vague et déserte : « aimez-vous ? ».La lourde porte - tournée, la page - salie de poussières dormantes - j'aurais peut-être entendu la Lune hurler, sans briser ce silence, où j’allais me lover : son regard apparu intense, mais sa voix d’enfantin plaidoyer... repliée, dans l'espace : "...choisissez-vous... de... blesser... notre... étrange... atmosphère ?".M'étant soudain trouvé à la barre de cette insolvable menace, j'aurais alors senti la pluie - touchée du souffle des gris - s'entortiller autour de nous : sa quête évoquant la mémoire foetale y fécondant ce long refrain de notre épopée sauvage : "...la mort nous sépare... sans assiduité... et je pars… la mort... nous sépare... loin du port... et de la jetée…".* * *
Dans cette maille, que j'aurais assortie - pour elle - aux cabrioles ouatées des mots qu'elle écoutait oisive afin que le jour aille sans peine - mon chevalet vivait très tôt la tempête absente des écorces et l’espoir d'un milieu transi des cendres...- ...j'ai eu besoin d'aller dans le mur...- et maintenant, vous sentez-vous mieux ?- oui, parce que j'ai cru à la "via ferrata" !- notre avancée intuitive n'avait-elle encore pas eu lieu ?- si, justement...- vous m'effrayez, un peu !- et pourquoi donc ?- ignoriez-vous...- d'enfreindre la loi des dieux ?- l'adoration est nécessaire !- ...elle paie si peu !La sincérité bâchant son ami d’enfance au fil rouge d'une vie maudite, on m'aurait cherché, à son dernier jour - offrant au cliquetis d’épée - au lacet dégonflé, de mouette - au plein ciel - quand elle s'y serait exprimée, ainsi : "...encouragez... notre... peuple !".
Ici serait gâchée mon enfance... parce que des fenêtres ouvertes - j'aurais gardé l’océan - sans y contempler ce regard prédateur, empli de larmes cabrées, riche - à l'inquisition - ou l'amant - des raideurs obligées de la danse : nous ne serions pas tous - engagés... sur la voie du mur.
Au lendemain du son étrange, au for étrange et nauséabond de son réflexe d'entrailles - je ne pensais qu'au feu brûlant puisque adepte, et l'otage de ses quatre saisons, la Terre n'y existait plus déroutante, mais... l'enfant y serait mort, grâce aux larmes sablées, qui auraient éclaté - du tronc de son oeil - le désert - d'une libre tangente - à son visage d'excavée...Oui ! - que son livre vous ramène en arrière, pour aller de l'avant et qu'assumé, il vous conduise... à l'indicible, offert à interprétation - qu'il soit un désert qui gronde, freinant l'ombre de l'envie... que de la force de nos écritures - et pesée constante des correspondances, renaisse enfin la vague d'assaut - décrivant sa maison sur la tombe du vivant - où nous irions enfin libres - pionniers de modestes rencontres là où, partout ! la mère aurait survécu à son enfant dépendant.Le dieu père l'aurait encore trahie, par l'image, à son effet pervers, inscrit sur l'autre page - mais elle trouvait le courage de confier à la vie son passage, transi : "...à vie... je confie à mon lecteur que ce livre tient du défi et de la première fois... quand la langue me manque j'en invente une autre... la première fois je prends à la vague sa démarche floue... mon livre exprimant brutalement la différence s'attache sincèrement au don... temps du verbe dans l'exagération du manifeste il arrête... je confie à son fil mon lecteur... je n'ai pas regretté sur la braise la touche que vous trouviez bien... câlins...".
La croix signait l'ensemble de sa provation sereine, au souffle retenu choqué : "Vous irez loin - entendait-on déjà, car ce livre - que nous tiendrons pour reconnaissable en son débit évoque en votre chemin notre rose...".* * *
"Etait-on quelque chose ?" - se serait inquiété, soudain - notre peuple des capitaux, fort de la signature patentée, tout à son effrayant parcours souterrain - incapable d'abolir et la sphère et le sourire éteint par la seule voix auguste et parfumée du vautour... Sourdait de sa mémoire enfouie un désir vain, du sexe féminin déchiqueté au balancier d'un geste orange, de lièvre poésie.Nous ? Le souffle court, subitement las d'être observé, il avait entendu les bruits du foin d'un enfer, au matin - à la rose cloaque, on aurait donné un ordre, pour que tout l'argent la cloue, sec : "...avance... à l'identique !" - sauf si son amour avait pu valoir, d'avantage que ce regard - au trait rapide, ou mécanique...Elle avait pourtant su garder l'espoir de la conquête vivante - s'étant rappelé, prestement, les mots qu'on leur adressait, jadis : "chiens de Terriens !". Sur ma plaquette, alors apparue mobile à ses yeux microscopiques, ma vie aurait pu se trouver réduite à ses mots d'un vert encore si tendrement écru : "...une verge combat en Mikado...".
"Simple travail d'allumeuse..." - d'autres mots m'étaient parvenus abreuvés à son verbe ouvragé - au temps fleuri, de la fontaine à ses sourires : sa folie montrerait au monde des habitacles que je vivais pour la rose noire, pour qui ce n'était pas d'avoir été profonde...
Mon corps, tremblait - de son aimable fredaine... maquillait l'émotion de son découragement... ma tête, immergée - froide, où tout semblait encore passer par la voix de son renouveau, restait pourtant ignorée. Son coeur battu s'orientait aux vents, tandis que mon changement d'identité restait impossible à lui avouer sans briser notre réalité...Auparavant, j'aurais pu décrire - à ce peuple des capitaux - le récit d'une légende à faire alterner ses courants avec ceux de l'être verbalisé, compatissant, mitigeant, et coupant...- la mer et le désert... deux âtres !- comment ne pas s'y perdre ?- n'y aurions-nous pas vu d'histoires ?- ne les avons-nous pas vécues ?- ...nos voix...- comme étrangères, alors passées...- et ce voyage, que nous faisions sans en garder la mémoire ?
- le souvenir absent des atmosphères...- ne me quittez pas, surtout !- auriez-vous peur - de tout ?- seulement du noir... et vous ?- je suis pétrifié !Elle décidait de mettre fin, dans sa folie - aux origines alliées qui m'avaient cadenassé au crime d'élégant, son peuple commettant son idole au pavillon des ayant droit à mon élocution - laissant sa rose noire se percevoir malade, désespérée, en érection, rose des sables - frontière passagère à la définition des sections mensongères ?Ainsi vivrait-elle au coeur d'un destin creux des lendemains - existant pour moi seul à travers les yeux d'une autre - à l'envers de ce grossissement qu'elle avait su analyser pour moi. Rendu à ses couleurs, j'avais serré des mains - introduit à la cause minime son destin paru jamais insensé - transformé l'ampleur de ma question caressante mais pénétrante, en pain.Créer un dialogue entre le moi d'aujourd'hui et celui d'hier - entre toi et moi, et ceux qui n'auront pas connu d'autre aventure que celle d'une seule sphère inconséquente...Demeurant dans sa triste solitude, je tenais les ingrédients d'une potion solide que le désaveu de ma castration balayait, avec ce que je gardais d'ambition : malgré tout je ne respirais pas la confusion en mourant déjà - d'un face à face avec son incompréhension.(à suivre ?)Catégories : Peuple des capitaux 64 commentaires -
Séculiers
TANT DE VOIX QUI CIRCULENT LES DEVOIRS QUI S'ECULENT SECULIERS NOUS DISONS NON A QUI OUI A QUOI LA SOURDINE EST LE FREIN MIS A MA RAISON LE DERNIER QU'IL ME RESTE OUI J'AURAIS OURDI L'UNISSON BALLET D'ETREINTE EMANATION DU CORPS PLAISIR BUCAL ASPIRATION DU SON ORCHESTRE EN VA D'UNE EJACULATION MON EQUILIBRE N'EXISTE PAS JE LE CHERCHE VOUS ETES LA.
SANS nom SANS père !
Rive à thème comptoirs obscènes... La rime à terme est à vous ! Vous vouliez que je vous dise « je t’aime ». Vous étiez saoul, seul devant vous. J’étais votre autel… étant celle qui se trouvait, en face de vous - que je morcelle, à cause de vous - au fond du trou... vous étiez - vous ?J’ai besoin de m’exprimer d’une façon voilée, ne l’ai-je pas dit ? Il existe un DERNIER…
Combien sommes-nous - à chanter quand on pleure ?La pâleur est résolution - aux mœurs.Je ris, de mon lit vide ATTENDU un jour meilleur - entonne l’hymne…Entendons le crime.Je n’ai parlé à personne : ni homme, ni femme - mais de mon charme, lorsque l’énergie stagne.Pourquoi lui, pourquoi l’erreur - pourquoi deux yeux en vie au bagne ?Il était un mouton - appelé Blason ; la vie du chœur faisait son bonheur... fragile - utile donneur.Durable, aimable, mais coupable, et encastrable.Mes yeux couverts suspendaient l’attente de cieux épineux réveillés par l’hypnose...Je me suis évadée évasée, embrumée - buvant n’importe quoi - afin de m’aliter si près ! - creux, feu de bois... fond de petit bois - à moi.Catégories : A mi-parcours 8 commentaires -
Trompée
Trompée par l'audace d'un coin de cuirasse rime facile et larme lasse dure l'envie... As à l'as dos à dos plus de trace on a monté le train de nuit pièce après pièce progressant dans l'oubli à l'affût d'une saveur de chair élevée fière nature odorifère à l'autre panoplie d'outre Terre... Chaque maille reprise après l'avoir cousue était à s'y méprendre le lien conçu. De l'escorte assez rare faite confiance aveugle ou barbare il ne demeurait rien car un roi immobile projettant son espace déplaçait les mystères du seul univers qui lui serait soumis... promesse vaine et trahie portée du mot maquillé de ses cris.Ne rentre pas qui veut.
Ma voix n’est que prison de bois : je m’accroche à celle... qui n’était pas le roi. Je suis doublée en nos cœurs attendris... par la saveur, du choix. J’ai besoin... d’un vous étrange conduisant à d’autres touts ! Vous acclamez ma détresse ? - elle est à vous car j’étais sa maîtresse - sans être vous : vous - étiez son ivresse - j’étais son loup, loin de tout - proche après vous. Vous daignerez lire mon adresse - sans atout - et m’enverrez quelques caresses - malgré tout. Vos caresses habilitent les nôtres - enorgueillies d’autres prouesses, sans maladresse. Je ne comprends pas de mots sans tristesse ; défaite au nœud de votre paresse. Je fonds. Je n’ai rien dit rien écrit qui soit bon ; mais j’ai transmis mon savoir émue par ta gloire, et sans baiser. La tendresse aux histoires ventrues rejoint les femmes unies par l’avis d’un miroir : je me tue : pardonne à ma vertu qui attend, que ta mémoire me lâche un « que veux-tu ? », pointu - de publier - enfin... cet objet de mes vertus ?Catégories : A mi-parcours 10 commentaires -
Peuple des capitaux (0)
UN TEXTE A PASSER LES FêTES... JE VOUS LE CONFIE JUSQU'A L'éPIPHANIE, et puis il restera dans sa "catégorie"...
CE TEXTE EN FORME DE MèRE (autre mot pour levain) ATTEND DEPUIS LA FIN DU PRINTEMPS DERNIER...
EN DéCOUVRANT LA BLOGOSPHèRE - CET éTé, J'AI COMPRIS QU'IL S'Y RAPPORTERAIT,
MYSTERE D'UN HUMAIN QU'ELLE AIMERAIT VRAIMENT BIEN...
BRISé OU CONSERVé, IL SERVIRA DE BASE A L'éCRITURE D'UN ROMAN POUR LEQUEL J'AURAI(S) BESOIN DE TEMPS...
MERCI DE LUI OFFRIR VOS éCHOS ET IDéES !
VOILA... ça vient.
Catégories : Peuple des capitaux 2 commentaires -
A lundi !
BONJOUR ET BONSOIR A TOUS JE SERAI DE RETOUR LUNDI ET VOUS SOUHAITE UNE BONNE ET HEUREUSE FIN DE SEMAINE...
Catégories : Le blanc du blog 5 commentaires -
Ma réalité, mon Maître
Faute !
Faisant rien, ayant rien, disant rien, commettant pas non plus l'erreur !
Non ! Ma réalité, mon Maître !
Il la chante et charme... lâchant son arme, la danse - fluide, innocentant vertical, aux cerneaux d'angle méticuleux et droits mon antenne droite et sa vision gauche...
Sa réalité invisible tient à la Vie, force de gravité de l'urgence à aimer un silence non négligeable, et son ardent menteur peut l'oublier, donner son baiser - offert à sa prière, un oxygène actif, intense, jouissif et transfiguré aux coups reçus bleutés...
Un livre demeure un livre, stèle...
Je rêve à toi libre !Aventure indexée répertoriée dans son émoi.Les mots reculent, à force d’être à toi…Qui es-tu ?Voix du monde ?Autosuffisante violence et transe non apprêtée...Amour courant à rebours du temps, emblématiques tours...Il n’est pas d’amour absent - le féminin détend des mots clos.Nous ne sommes pas égaux.Les mots sont un aperçu du couvent !Et ce courant m’attend diligemment.J’aime la fête...C’est triste, de s’enfermer là-dedans ?Quelqu’un m’entend ?Je suis la convertie à d’autres panoplies surprise d’un refus : n’étions-nous pas tous blancs ?J’ai parlé pour des fleurs n’étant en pleurs que pour quelques amants…Débutants, encerclés par des vents percutants agonisant pour moi à l’autre place - celle où j’étais néant ?Je n’arrive plus à écrire, ton prisonnier.Catégories : A mi-parcours 22 commentaires -
Tous les jours
Tous les jours à la boîte
mais non,
rien...
aujourd'hui c'est le sage
qui m'a dit Romarin,
demain sera la page
et vous le ferez bien,
Tous les jours à la boîte
mais non,
rien...
pourquoi perdre courage
quand vous le savez bien,
vous étiez vous Madame
et votre Romarin,
Tous les jours à la boîte
mais non,
rien...
ou cet envers du mal
et l'en-deça du bien,
vous conteniez ma larme
comme j'avais été loin,
Tous les jours à la boîte
mais non,
rien...Ce qui est donné, est donné.
Qu'est-il donc donné ?
Je criais à l’enfer qu’il cède, retournant à l’or et aux saisons. Une offre de raison voit le père - au milieu des moutons comme une réalité, à part la salaison des repères...J’abandonne un instant cet ordre de la diction... Il faut se concentrer sur l’objet de nos pères ! D’où vient la sensation que j’existais hier ? Qu’avant la mort, j’étais déjà - au père ?Honnêteté d’un baiser… Personne ne m’aura lue mais tous m’auront aimée… La vérité bien camouflée met en colère qui voulait taire bien en contradiction… Les mots ont oublié la parution. Tout s’est transmis par onction - solde, robe…J’en appelle à la loi notre mère afin de trouver un repère, pour valider nos cieux, poétiser nos jeux, érotiser nos feux… aimer… Est-ce que je parlais d’autres sphères que celle où l’on est amoureux ? Non, seulement de taire une misère.L’amour est patient, envoûtant, presque obsédant… dynamisant, désobligeant. Est-il blanc, pédant - la pudeur au cœur de ses derniers vingt ans - amusants et farceurs, jouissance de l’amant ? Il meurt… je n’aimais pas l’azur ignorant l’amitié. N’est-il pas un amour de la réalité ?Catégories : A mi-parcours 23 commentaires