FATIGUEE DE SOURIRE A L'HABIT ?
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FATIGUEE DE SOURIRE A L'HABIT ?
PAYER EN NATURE UN TRIBUT NOIR
UN ROND DU VOL DU TIR DES AILERONS
LE JOUR EST AUJOURD'HUI CELUI D'HIER.
Colère du dieu d'un temps dans l'apparence paternelle pour moi Ange déchu des trois mots sus réjouissante patrie et pitance éminente carence polie du dieu gentil auquel elle n'aura pas dit oui.
Ce ne sont que des mots... des mots.
Plumes jouvencelles au mimétisme d'arceaux clos de l'écho du mot où la sirène chante cette petite vertu quittant les animaux de suie d'une galaxie aux autres mots violés de pluie jugés à l'orée bleue isolée de la poésie.
A tout ceux qui passeront ici, je confie ma lassitude au travail incomplet... et mon désir - de le voir compléter.
Il s'agit de mon livre, paru aux éditions du Cygne il y a maintenant un an, et pour lequel je n'ai pas pris le temps, comme on le dit aussi d'un enfant.
Aujourd'hui, c'est son-heure-à-présent... son heure - et, main tenant.
C'est pourquoi je suis déjà très reconnaissante à ceux et celles qui voudront bien s'essayer à me lire, se faisant l'écho de la vie qui se trouve... attendue.
Je vais m'absenter un peu de ce blog en cours de travail... n'oubliant pas ceux des autres où je volète en transe, ni ce travail en cour... autour des chiffres, pairs et impairs... ni ma réalité.
Merci de vous laisser porter,
A bientôt. Je reviendrai.
A vous lire et répondre, en TOUT cas.
Très amicalement,
Marie
La Galerie Thuillier présente
XYBÊ
Vernissage le Mardi 20 mars 2007 de 18 à 21h
EXPOSITION du 17 au 29 mars 2007
13, rue de Thoigny
75003 PARIS
Tél. : 01 42 77 33 24
web : www.galeriethuillier.com
ouvert tous les jours sauf dimanche et jours fériés de 12h à 19h
métro : St Sébastien Frossard ou St Paul
L'habitat narcissique est pièce de musée insensible qu'alluime au parfum du train suffisant le siège en floraison de rien courbure ombrée secrète embouche et conception du bien.
La femme espérait la mystique sexuelle désirée et non la mystification d'un sexe subi.
Confort fiévreux de l'intelligence...
attendu qu'à ce dos de l'homme pur...
sa pluie briserait en secret le courant que la lumière évide...
réprouvant sa caresse puissante à ce premier baiser de pierre...
La Terre est ronde - on naît d'accord.
Au théâtre, tout est sacré : la lumière, la parole, le public. Tout est signe, sym-bole. Dans les grandes choses comme dans les petites, dans les questionnements sur le destin de l'homme comme dans la mort du petit chat ; c'est l'inexpliqué, l'inexplicable qui nous est révélé... en fait, la poésie du monde.
Au théâtre le spectateur est invité à goûter à sa propre sacralité. C'est lui-même qu'il reconnaît sur la scène, lui-même sous les multiples aspects de sa nature complexe. Par son talent et par son travail, l'acteur, en s'exposant, en se livrant à lui comme à son double, lui ouvre la porte de son mystère ; les aspérités, les infractuosités, les déficiences même de la nature sont la matière première indispensable à l'art dramatique : traversées par la lumière, elles révèlent l'ineffable grandeur de l'être humain.
L'émotion véritable qui naît de cette prise de contact avec l'Infini est la seule quête du théâtre. C'est cette même émotion qui déclenche le rire, les frissons ou les larmes. Qu'il pleure, qu'il rie, qu'il dorme, qu'il prie, qu'il souffre, l'homme n'est-il pas toujours le même ? Sa véritable grandeur, c'est dans quelqu'état qu'il se trouve de se laisser regarder, sauver par le regard d'un autre.
Ma pause, en ce courant des trois saisons n'est pas orchestration du songe.
Elle admire un matin, perdue dans d'autres rondes, assujettie au bien de notre mappemonde.
Sa bouche en arc tombe, grisée par le chagrin des mondes... sans cause.
Les choix
que je fais
correspondent
aux besoins
qui sont les miens
qui me conduisent
à savoir
qui je suis
...
Tout doucement, je laisse un blog se refermer : mien.
J'ai beaucoup de travail à faire ailleurs - dans un ailleurs...
Je ne répondrai pas aux commentaires et communiquerai par mail, le temps de revenir, un jour lointain.
Je pense à tous mes compagnons - d'une Sphère !
A bientôt ?
Marie
Ce soir est page, elle tombe... ta rime, oesophage en papier nylon, brûle !
Admets l'imagination, construit - ou déconstruit, évite alors la démolition.
Selle !
Ignore un chagrin de peau blonde, souris de plomb, mon pain de rose !
Retour du clandestin, tu écarquilles la main sauvage, billetterie de l'âge marmoréen.
Le sexe ouvert, et à la page - choque un cheveu de verre : un peu de brume revienne !
Bouchée de mur, inoffensifs embruns : tourne - sur la platine dure...
Le plaisir est une dot...
« Bois ! » ordonnions-nous à chaque loi du souvenir de toi, humour noir jaloux de nous - rempart fou de cette phrase au triste rendez-vous de partage, hotte et houx - blanche de ces nuits fatiguées à l'adresse bonifiée - frondant, trois jours comblée. J'ignorais que tu jouisses... corsage vécu d'étranges outrages où je fus parée - cordage, orée de rivages appuyée des passés fleuris : mes premiers pas. N'ayant pu changer de lit - un obstacle - basculé de la joie, arrêté au détour de tes bras - je lis. Fini ? Réponds ! Je t'aurais prié enfui près d'un lieu qu'on interdit, dont tu condamneras l'accès, reprochant d'être laid dans l'oubli... aimé d'une pluie rapportant à la rose un outil - faisant seul à cette rose ce qu'on interdit à la prose... filières et vies d'adagi, aux pères loyaux. Ma vipère avait tremblé. A son autre prière d'aveugle dentelière, avais-tu dit oui ?
Petit Poucet des roues tranquilles
dérouté par tant de ces îles -
l'univers immense perclus de ta démentielle attirance,
l'ignorais-tu ?
Petit Poucet des ombres blanches,
conduisais-tu la nuit ces manches
au jeu de l'honnête vertu,
doux à la danse ?
Empli du sable apparu poudre blanche,
parlais-tu de chasser l'esprit
que farcissait
naturellement la transe ?
Mon train connaissait-il de ta cadence
autre chose que la triste violence
d'un sourire allangui par l'ennui
de la verte espérance de ceux qui ont trahi ?
Son tableau m'aura servi de messager... cela, je ne l'oubliai jamais - souvenir d'éternité.