A lundi !
BONJOUR ET BONSOIR A TOUS JE SERAI DE RETOUR LUNDI ET VOUS SOUHAITE UNE BONNE ET HEUREUSE FIN DE SEMAINE...
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BONJOUR ET BONSOIR A TOUS JE SERAI DE RETOUR LUNDI ET VOUS SOUHAITE UNE BONNE ET HEUREUSE FIN DE SEMAINE...
Faute !
Faisant rien, ayant rien, disant rien, commettant pas non plus l'erreur !
Non ! Ma réalité, mon Maître !
Il la chante et charme... lâchant son arme, la danse - fluide, innocentant vertical, aux cerneaux d'angle méticuleux et droits mon antenne droite et sa vision gauche...
Sa réalité invisible tient à la Vie, force de gravité de l'urgence à aimer un silence non négligeable, et son ardent menteur peut l'oublier, donner son baiser - offert à sa prière, un oxygène actif, intense, jouissif et transfiguré aux coups reçus bleutés...
Un livre demeure un livre, stèle...
Tous les jours à la boîte
mais non,
rien...
aujourd'hui c'est le sage
qui m'a dit Romarin,
demain sera la page
et vous le ferez bien,
Tous les jours à la boîte
mais non,
rien...
pourquoi perdre courage
quand vous le savez bien,
vous étiez vous Madame
et votre Romarin,
Tous les jours à la boîte
mais non,
rien...
ou cet envers du mal
et l'en-deça du bien,
vous conteniez ma larme
comme j'avais été loin,
Tous les jours à la boîte
mais non,
rien...
Ce qui est donné, est donné.
Qu'est-il donc donné ?
...fil à reculer... encombré des mains divinisées... au grand air à l'amour de spiralle... un doigt venin... banni... langue éventée - défaite... tendresse accompagnée... désir de toit... usant... habité... rencontré aimé... réparé rejoué... désir enfanté... lavé... chauffé... désirant... intégré...
Mon Amour.
Mon Enfant.
Mon Dieu.
Je suis.
Eux.
Je vous suppliais de votre page ouverte afin de lire et décrire un visage.
Votre porte de bois lourds se fermait, insuffisante, quand mon passage avait le sens et l'expression du signe...
Jeu de go de larmes, laissiez-vous pleurer ma flamme et recevoir ce don gratuit pour une dame ?
J'embrassais, incarné, tandis que vous veniez au cou veiné poète, orfèvre ou ce que vous seriez charmant, inspiratrice - connue plus tôt que découverte amie, alors...
TO BE, OR NOT TO BE PRESENT ?
Extraversion,
coupable averse,
trousseau de la nation ouverte...
dire que je l'aime...
quand il prend ma main !
Les chemins sont dansants
qui mènent à l'océan...
Voyeur ?
Dépassé le méchant va branlant
les mots et puis la pêche
Voyeur ?
Un grain de beauté pend
revêche...
Voyeur ?
Mes seins sont beaux,
rosée de firmament
Voyeur ?
Dans la flambée des sangs,
des pleurs, et de serments
Voyeur ?
Vous échapper seulement
en écartait la peur
Voyeur ?
Redresser notre erreur !
tel un filet de peurs...
Voyeur ?
Vis ton fait, voyeur, vite on fait, voix ailleurs...
Un corps dit « non » aux rêves de trêve, je pense à vos armées. J’ai peur, écarte un peu les jambes - évertue vingt ans fossoyeurs. Mon squelette est jauni par la foudre, blanchi par la cendre et rougi par l’encens, le magma de pleurs enjambe les corps bannis et j’oublie de prier - auréolée de la jeunesse des anathèmes… Fais chanter l’or désargenté antenne dévolue hautaine à l’encéphale rue… orgasme désordonné… Un chef, blessé au sol, lève sa lourde jambe dans l’axe à la mort harnachée du vent : je marche… Je dirai tout : main de dentelle - tour de main blanc... Je vous assure que je ne suis pas pure telle que vous m’entendez dans vos injures ! Vous avez d’autres leçons à me donner, citoyenne - la manière - à m’enseigner, le fond, la forme charité. Les femmes ont à leurs formes l’axe que les hommes ont difforme… Mon Amour - à ce fond de haine où tu m’aimes, faisons l’amour… Passants, au Paradis d’enfants bénis. Je veux que tu m’embrasses et me voies et me lies - être à toi plus qu’un lit à l’étroit entre toi et moi. J’avance, adepte des dieux nombreux, quêtant l’ombre farandole.
C'est un Homme !
D'où la nécessité d'un sens premier à la bitte, fluvial - doux le port, doux le regard à la nuit sans étoiles à l'aube d'un matin noir.
Il est là, il te tient, et il t'arrête, c'est un Homme !
Intérieur, extérieur, deux hommes, une mère, un homme.
La nuit se fait - fonte... où la source danse, aime !
C'est un homme qui chatoie, devant celui qu'elle aime, devant l'homme...
(Un Homme)
Cartomancienne de nuits sans âge,
lumière aux suffrages maudits,
la gaine musèle de doux errements les rêves de naufrage...
de l'amant de ma vie.
Je renie le courage à mourir sacrifiée à d’autres otages en quittant le feu d’un autre monde.
La vie qui l’inonde recouvre un terrain d’ombre : les cactus remplacent les barbelés : c’est la paix du matin d’enfer, d’une nuit très longue…
Aimer un seul homme en deux lieux. Bras, frein. Le monde allume, un peu dangereux. Il se saisit de moi, des yeux - attend violemment d’être deux.
La punition du monologue… terme très doux qui parlait à chacun. Je ne comprenais pas ce qu’on plaçait en moi : quels habitants - le non, fort et humain - résistant.
Mon corps, son cœur loge l’ennemi… Derrière le froid visage du marbre lépreux. Des pleurs secs ne saignent pas, un rire honnête ne plaint pas.
L’horreur à son comble penche l’édit du ventre. Mes yeux seuls au monde… On plombe la fronde.
Que l'idée motrice gravée tende le bûcheron, tangue de plomb l'horizon sans un rire, et ce afin que tout l'effort chargé du motif de nos peurs devienne réalité... crainte et partage des mondes par une ouverture à l'écrit de nos références communes dans l'histoire à vivre, de près ou de loin regard voilé de la médina, au mien noir qui s'en trouve...
"épouse-moi !", disait-il à la réalité.
La réalité ? Sa réalité...
L’ennui réduisant à de tout petits riens, nous savions que dehors se trouvaient sous les morts des chansons...
Un filet logeait seule, la confiance que nous lui accordions, je prenais l’autre résolution…
Rivière à des gonds de chats modeste émanation des pierres que nous désunissions, paroles élaborées du train de notre évolution, la beauté d’un corps mort trouble, étrennée par l’ami ; il est percutant de voir le corps édifiant, dissident peu vertueux, ventre creux - les tentacules vertes - moment cloîtré, infime paysage - courageuse jouissance vertu aux amoureux… ce conte merveilleux.
Je veux me souvenir des seins en bois incapables d’aimer vidés de leur sève !
La reine fossoyée - squelette envenimé, tortillant affamée son emblème !
Je déclare la guerre du vin, du verbe et du vous ; on m’encercle les mains, allonge mes bras vers le bas - enferme, derrière la porte en bois…
D’autres gardiens - penseurs ou musiciens - l’autre porte - assassin de mes lendemains.
J’allais être une porte et ne le savais point, mais j’allais être morte et ne l’ignorais pas : entre deux - je suis porte, entre deux… je suis morte !
Ce que vous charriez pour mon compost - je vous en remercie... une suée de lave offense votre... glotte ?
Vous pleurez ma carotte, avant de feindre un foin vous mentez, j'asticote, et perdure la note...
Vos talons qui pivotent, instable chose trotte, retenue de ma porte qui claque !
Morte.
Bouche dégoût.
Non ! Bouche d'égout...
Parcourir la vie d'un ensemble de mondes...
Qui portait ces couleurs ? D’où partaient leurs îlots, aux parfums trompeurs que j’aime trop ? Aux vagues œsophages inqualifiables et sauvages, milieu de saints amas de corps sauvages, maudissant mon visage… où le combat est de chaque matin.
Une page tournée, un livre s’éprend… A deux, nous allions bien : jambes, corps, train puis soudain, « l’autre », en travers du chemin. Il faut mentir, le temps de ressentir - épousant qui m’aura tracée, retrouvée, aimée laissant derrière la guerre auréolée...
Accorde à ta main l’ange étrange à mon lit carré !
Tu échanges avec l’homme charmant… préfères dénaturer le verbe trinitaire plutôt que la mère aux vers ambrés. Prostituée échancrée, désenchantée - inconsciente des mots qui traversent mon ventre - tombée, je confonds l’amitié brève et la velléité.
Un souffle empli de cris représente cette vie, d’un amour parti - que cherchait l’assassin dans le noir… J’ai envie de mourir !
L’espace d’un instant perdurait l’infini firmament - preneur d’une intelligence de la terre : le dieu. Nous travaillions à être ensemble au plaisir offert : j’aurais tué mon père… avais-je inventé l’autre ? Folle, disparue... je ne réponds rien.
Il a fait froid. Nous étions bien.
Je t'ai donné beaucoup pour moi même tout...
Tu donneras ce qui serait autour de toi si tu pouvais marcher.
Ecartelé par ton désir pantois l'envie de moi sente carré transe méchante et macchabée de la chair hantée des cadences...
La colère et ta fiente misère trop peu méfiante ?
Intelligente parturiente au temps donné où tu aurais compté... d'autres l'aimaient puisqu'un Amour se joue dans la durée.
Douleur dans le dos étrange obscène saugrenue carême de la vue.
Je n'étais pas certaine d'avoir connue la haine...
JE M'ABSENTE jusqu'à lundi.
Merci de votre compréhension et bonne fin de semaine à vous tous.
Amicalement...
I
Un livre - que j'aimais écrire, ressemblait à une terre creuse - sombre et entière, conduisant à l'enfer... d'être compris puis jugé fou. Le livre que je veux lire est le mien - une vague, parmi d'autres parcourue, aussi brièvement ou parfaitement qu'une femme, derrière un paravent blanc.
II
A-t-il besoin d'un enfant ?
Amoureuse de lui, j'entends la sourdine de mes sentiments : dans quelle mesure est-il Dieu ?
Par mes folies d'antan - ou la secousse ultime d'un seul amant ?
Je n'aime pas souvent.
Palissandre, ma parole a faim de ces yeux qui font vendre, de l'élan merveilleux qui perce au fond de son rattachement.
III
Jamais je n'irai droit, en manteau de velours, enveloppée de
soie !
Mes ambitions perdent la raison, j'ignore de qui j'hérite cet emblème brouillon décrivant cette première journée d'été quand tu arrives à me saisir pour me filtrer... de ma féminité, je n'ai jamais entendu parler.
IV
J'aurais pu cesser de fuir, restée courbée ma liberté d'emprise mise aux mots de sa pensée - ressentir le cours de ces mots premiers nés au jus de leurs vipères... poussée obtuse avant son écroulement.
V
Mes ciels ont cet attrait de l'Orient, blancs comme faisan des ïles - combattant la mitraille de la réprobation, abattant la cloison de la masturbation - acceptant la largesse de la pigmentation - ignorant la stérilisation, redoutant l'évolution cachant... la dévotion.
...merci de votre attention. J'espère que vous aurez pris plaisir à cette lecture.
Jamais le Dimanche ? mais si... pour une lecture.
Je serai là pour vous de retour ce lundi avec quelques extraits...
A bientôt ?
Et bon Dimanche !
L'abus du maître
met à l'envers ce corps.
Tu sieds, tu ne sais pas.
Tu dois, ne le dis pas.
La blessure est ce qui te sauve d'un nouvel aurevoir.
Je sais où dans ton coeur puiser la dime faisant régner l'erreur,
dirait-il, magnanime - le maître en foi !
Seul, est un maître nu,
cratère de mue sans âge
sevrage de nos rues...
A la question qui suis-je je répondais comment il servirait de le savoir sans connaître mon nom...
Grande paresse de qui s'en est allé quêter l'Amour...
Passer par le plaisir pour accéder à l'être...
Commencer d'écrire un poème à travailler, en traduire les idées maîtresses...
Plus besoin de coussins, ni de parade, la porte refermée, il cède là où l’appréhension physique masquait la peur plus spirituelle : sa nature… Embrasse-moi, emmène-moi - embrasse-moi - aux mains sales - écoeurée, l’amour brassé, regard poilu, sourcil félin exorbité de singe, désir moribond - meurtrière - vague et trépas anguleux blasphémant tes pas... Ne m’oblige pas, mais sauve-toi : ils viendront protéger ton souffle... Il ne voit pas. J’oublie, face à l’amplitude couvrant gêne bourgeoise et vers éjaculés quadrillés des faits mal armés de notre courage des mots malhonnêtes. Ouvrage catin, experte en lendemains de femmes assorties utérines : paradoxal, amical, oral, peureux, moral - amour au féminin désireux du lien. Plus bas : au romarin épris de repentir : « reviens, reviens, demain… ». Cet amour - au pré des verbes mensongers épargnait le regard sulfureux du seul amoureux combattant l’heure duelle - d’une plainte et sosie - chantant, quand vous parlementiez - riant, quand vous émerveilliez, égoïstement travestie… sa maison faille au plébiscite.
"Impair en pair"... 40 notes à venir, et un petit fagot de mots déjà si chauds à la froidure des braises...
Crépitement d'un hiver silencieux à venir, elles se feront discrètes... sauf à vos comm. ?
Blogguer (...et parfois même catcher !) a déjà fait de ma demeure une auguste masure...
La famille aussi a besoin qu'on lui dise "oui"... de temps en temps...
Oui ! merci !
Je serai présence - disant même plus... délitescence - pour vous...
Newsletter...
Comm. ouverts...
Je vous salue, sincèrement.
A très bientôt...
Les captifs, ou Prigioni, de Michelangelo Buonarotti, me marquent encore arrachés de leur pierre...
Celui-ci accueille demeure candide.
Bienvenue ! Et bienvenue aussi aux menus services techniques actuellement sans succès, sur ce très jeune blog...
Merci aux pros de se déclarer volontaires pour d'avisés conseils !
En toute sincérité...