Je ne pourrai pas, je ne pourrai plus...
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Je ne pourrai pas, je ne pourrai plus...
Les quatre livres qui ont marqué mon enfance...
Les Fourmis, Bernard Werber
Le Maître de Forges, Georges Ohnet
L'Eternel masculin, Jaqueline Kellen
L'Alchimie de l'amour et de la sexualité, Lee Lozowick
Les quatre écrivains que je relirai et relirai encore...
Ceux qui ne feront qu'un.
Les quatre auteurs que je ne lirai probablement plus jamais...
Ceux qui divisent.
Les quatre premiers livres de ma liste à lire...
La Force de l'intuition, Malcolm Gladwell
Dialogue avec l'Ange, Gitta Mallasz et Dominique Raoul-Duval
Au lecteur précoce, Claude Pujade-Renaud
Histoire de l'oeil, Georges Bataille
Les derniers mots d'un de mes livres préférés...
Et pour les humains ?
Elle émet une réponse évasive :
Ils ne présentent pas grand intérêt
La guerrière insiste :
Et s'ils nous attaquent à nouveau avec leur feu ?
Plus l'adversaire est fort, plus il nous oblige à nous surpasser.
Et ceux qui vivent sous la grande roche ?
Belo-kiu-kiuni ne répond pas. Elle demande à rester seule, puis se tourne vers le cadavre de l'ancienne Belo-kiu-kiuni.
La nouvelle reine incline délicatement la tête et pose ses antennes contre le front de sa Mère. Elle demeure ensuite immobile, un temps très long, comme plongée en une CA d'éternité.
Les Fourmis, Bernard Werber
Les quatre lecteurs qui ne se sont pas encore prononcés et dont j'aimerais connaître les "quatre"...
Bobi and Bobi, Cat, Dharma Shishya, Nonihil.
Très amicalement...
Accepter l'infinité de ce mal...
Panino Pianino ignorait encore que la guerre noyait à ses pieds le ressac des dieux mitoyens... "Je ne sens plus qui est ma mère...", clama-t-il doucement - de sa voix portée par l'attention, comme une ombre rendrait à sa folie ce qui chaque matin occupe le champ de sa vision...
"A moi !" - s'esseya-t-il en vain... les mots ne sortirent plus que par un son mouillé, éparpillé - impossible - de pensées calcinées dans un état calcaire - la joie de s'exprimer, nouvelle encore, vague - un temps du seul baiser.
Panino Pianino percevait la présence de qui serait entrée vêtue de son pas calfeutré qu'il aimait contenir dans une allure de dame. Elle était apeurée...
Bonjour à tous...
Je viens de recevoir A mi-parcours qui - je dois l'avouer - est vraiment mignon et coquin...
Cette note est une invitation postée pour celles et ceux qui auront eu l'envie d'ouvrir ces pages - à me dire leur plaisir ou la rage, leur surprise - ou la fatigue - s'ils ont aimé, ou s'ils ne sont pas "entrés"... par e-mail, par exemple. Cela pourrait m'aider, alors, n'hésitez pas... de même que pour le premier de mes livres paru - le Livre de l'anomalie.
Voilà donc, simplement une porte ouverte, sincère mais amicale... à tous. Avec, d'avance - un grand merci - aussi pour vos attentions silencieuses.
A bientôt,
Marie Gabrielle
Un coeur enchaîné, la dame embellie tambourina s'investissant de la dague encore profondément enfouie - son histoire, secrète - le ton de son amour saccadé d'un creux de la voix qui s'inonde - à la flamme tremblante de toute idée ; le verbe absent s'aimait laissant passer ces mots : "Dessine des étrennes sur ma peau...".
Les amis du grand Oubli se droguèrent à l'oreille de l'orgueil, accusèrent à la rive des cieux le ressort de vie démente, la nuit du deuil - et l'écueil à l'eau sculptée. Le courroux pavoisait minable...
Panino Pianino n'avait pas rougi - les yeux pourtant braqués des angles dessinés présents repentants naïfs, à cet axe fastueux qui conduit en magie au mot simple qui meurt...
Elle, amoureuse - arrachait par poignées les cheveux tombés de main forte à la rosée qui s'éveillait homme gris - l'oreille des mots promettait le suc onctueux d'une chair égale à ce goût pimenté de la coquille Saint-Jacques...
Un coeur enchaîné, la dame embellie tambourina s'investissant de la dague encore profondément enfouie - son histoire, secrète - le ton de son amour saccadé d'un creux de la voix qui s'inonde - à la flamme tremblante de toute idée ; le verbe absent s'aimait ainsi, laissant aller ces mots : "Ecris-moi des étrennes sur la peau...".
Cette masturbation est enseigne...
Incorrigible est ma fortune...
Hello... hello, je suis de retour...
Disons que j'ai réfléchi à l'appel du blog... et que je vais tenter le geste altérophile. Il me faut en effet conjuguer vie de famille et travail d'écriture à cet amour grand et certain de vivre enjoliveur à la Blogosphère... Arriverai, arriverai pas, dans tous les cas... je tente ?
A lundi donc pour des notes timides face à la seule indulgence attendue...
Bon et joyeux Dimanche !
Je nous invite à des échanges par mail ou commentaires... et d'abord pour d'heureuses surprises.
Je suis très heureuse que ces textes soient appelés à vivre "dehors" - emplis de nombreux souvenirs, et bien sûr aussi de pages tournées...
Pour l'instant, la catégorie "Pair et Impair" a donc été réduite à une seule mais réelle introduction et puis, elle change de nom...
Je n'oublie rien et garde tout de nos échanges, sachant aussi très sincèrement avoir besoin de vous à ce carrefour de la vie... que fait la quarantaine.
Pour vous encore, beaucoup de vitalité en ces longues saisons... encore et à très bientôt j'espère,
Marie Gabrielle
Dans ce recueil une voix se lève, en quête de l’origine. Les mots jettent ici un oeil au-delà de la cendre. Le poème se fait étincelle, complice d’une aube fragile qui rejaillit, comme pour la toute première fois.
Christophe Condello vit à Laval où il a été membre du conseil d’administration de la société littéraire et aussi assistant
à la direction, chargé du volet poésie, de la revue « Brèves littéraires ».
Après « Les jours fragiles » (Le Noroît, 1997), « L’ailleurs éparpillé » (Le loup de Gouttière, 2005), « La seconde
résurrection » est son troisième recueil d’initiation poétique.
Illustration de couverture : d’après une peinture de Claude Latour
Éditions du Cygne
4, rue Vulpian
75013 Paris
t/f : 01 55 43 83 92
editionsducygne@club-internet.fr
www.editionsducygne.com
Extrait :
Panino Pianino n'avait pas rougi - les yeux pourtant braqués des angles dessinés présents repentants naïfs à cet axe fastueux qui conduit en magie au mot simple qui meurt...
Elle amoureuse arrachait par poignées les cheveux tombés de main forte à la rosée qui s'éveillait homme gris - l'oreille des mots promettait le suc onctueux d'une chair égale à ce goût pimenté de la coquille Saint-Jacques...
Un combat de mots n'est pas lâcheté...